« Une vie en chiraquie » est l’histoire de ma vie romance durant le règne de Jacques Chirac. Qu’est-ce que raconte « une vie en chiraquie » ? C’est l’histoire d’un amour contrarié, tout l’environnement autour de cet amour va œuvrer pour le faire échouer. C’est l’histoire d’une manipulation psychologique réalisée grâce à des écoutes téléphoniques pour empêcher que je porte plaintes et témoigne contre la corruption du groupe Bouygues. Cette histoire parle de corruption et d’organisation de la société des hommes. C’est l’histoire d’un autre amour d’une fuite vers la Hollande et d’une poursuite des écoutes téléphoniques contre un homme. Cet Homme, moi, découvre que la démocratie est illusoire et il est poursuivi par un totalitarisme ce totalitarisme c’est le totalitarisme de la corruption du monde capitaliste. Cet homme revient vers la femme qu’il aime, elle porte plainte pour harcèlement sexuel et physique, il va finir dans un hôpital psychiatrique, la police après l’avoir mis sous écoute fini par le psychiatrisé pour l’éliminer de la société des hommes.
L’histoire se résume ainsi,encore une fois et de manière obsédante, j’aime une femme, on me manipule pour m’en empêcher, alors je la rappelle, elle me dit « je suis sur le point de succomber », moi, manipulé, je crois qu’elle est à un autre, en même temps, je suis mis sous écoute, par le pouvoir parce que je suis contre la corruption, je connais l’amour avec une polonaise, je fuis en Hollande, pour rejoindre cette polonaise qui devient ma femme, le phénomène des écoutes téléphoniques me poursuis en hollande, ma vie devient folle. Ma vie est tellement folle que je le deviens, fou, je craque, je fais des séjours en hôpital psychiatrique, mais lors de mes incidents psychiques, je rencontre Dieu, le surnaturel intervient dans ma vie. Dieu m’assigne une mission, je dois capturer Ben Laden, je suis un peu fou, mon retour vers Isabelle, la femme que j’ai aimé n’est pas raisonnable. Est-ce que je veux du sexe ? Est-ce que je veux de l’amour ? Je lui parle de Dieu et de l’histoire de ma vie. Elle raconte tout au flic, la Police a un dossier sur moi, il est évident qu’il faut m’éliminer, ils se servent de la relation problématique avec Isabelle pour me mettre en Hôpital psychiatrique, de cette façon, je suis éliminé de la société.
Alors comme je suis torturé à coup de surdose de médicament, je décide de me venger, mais comme j’ai rencontré Dieu, je ne peux le faire n’importe comment, donc je décide de raconter au monde l’histoire de ma vie, je vais publier « une vie en Chiraquie », le monde doit savoir que Dieu existe, le monde doit savoir les agissements de la corruption. C’est une histoire obsédante qui trotte dans ma tète, je crois voire un symbôle de ma destinnée, mais il n’y a pas de symbôle, c’est une suite de hazard, alors comme un petit enfant, je me raconte cette histoire, comme une obsession, cette histoire me rend fou, alors je vous la raconte, le drame de ma vie c’est que cette histoire est vraie, si elle était fausse, je l’oublierai et je passerai à autre chose, mais elle est vraie, et comme un fou, je raconte cette histoire vraie, alors que des gens sages me conseillent de me taire, d’oublier, d’oublier, les puissants de la terre, de la terre de France que j’aime et qui ont mis ma vie en prison. Nous sommes dans une société et trop d’hommes savent ma folie, les hommes s’amusent avec moi, et ils n’arrète pas de me manipuler, jusqu’à me tuer. Ils savent tous que je suis fou. Cette pensée même me conduit à une peur incroyable, à une mise en abime, je suis fou depuis tant de temps et les hommes l’ont vu, je perd mon intimité, je n’ai plus d’intimité, je n’ai plus de secret, alors il ne me reste qu’une chose à faire dire la Vérité, pour l’histoire, pour que les hommes comprennent, le véritable danger de la corruption. Par avidité l’homme veut aliéner l’homme.
« « Une vie en Chiraquie » est un scoop et une critique de la société française, c’est pour cela que « une vie en chiraquie » peut devenir un Best Sellers, un Best Sellers pas pour aujourd’hui, mais pour les générations futures, l’homme est un animal social, alors on peut par les moyens modernes isolés la vie d’un homme et l’exclure de la société, en faire un paria, parce que la corruption est la règle, la règle non écrite et cette règle a chassé de la société des hommes, un homme, dont je raconte la vie : »
Chapitre 0 : l’Amourette entre Erik Worme et Isabelle Veillet
« Erik est amoureux d’Isabelle, mais il n’ose pas se déclarer, Erik passe le miroir, il devient fou amoureux. »
Une vie en chiraquie raconte une partie de ma vie et pourtant cela n’est pas une biographie et il y a pour cela de multiple raisons. La première est que ma vie recèle divers mystère que je ne sais pas moi-même il me faut pour les raconter les inventer un peu, et faire une œuvre romanesque a partir d’une vérité dont je ne discerne pas tous les traits. Mais à ne pas douter, il se trouvera nombre de lecteurs plus intelligent que moi qui trouveront une meilleure raison que mes irraisons. La deuxième est que je fus déclaré fou, c’est donc l’histoire d’un fou, raconter par un fou, c’est de l’art fol, hors les fous ne racontent pas de biographie, il s’agit donc bien d’un roman. Il me serait pénible de rendre l’étendu de ma folie, de rappeler tous mes délires, car j’ai beaucoup oublié, c’est dommage car la folie fait voire des choses belles, elle fait d’une mauvaise idée, une chose extraordinaire et j’aurais aimé vous rendre cette impression de beauté, mais mon histoire, ma petite histoire qui trotte dans ma tète, cette histoire est fait d’oublis, je n’ai plus de culture, l’oubli fait un grand vide dans ma tète, je n’ai plus de cerveau, il me reste cette culture d’un homme qui a tout oublié. Je vais vous rendre avec des mots simples un certain nombre de mes délires dont je me souviens, cela ne sera pas très poétique, mais je ne suis pas le héros. Le héros, c’est le système qui m’a mis sous écoute et qui en a fait un tabou, quitte à me rendre fou, le système c’est ce grand méchant qui voudrait tout corrompre tout aliéner à sa personne et qui n’aime pas tellement un mot qui met cher « Liberté ».
Avant de commencer ma vie en chiraquie, il faut que je vous raconte une petite chose, car cette vie en chiraquie commence à l’élection de Chirac et finit par l’élection de Sarkozy. Cette petite chose est antérieure à ces événements. Je suis tombé follement amoureux d’une femme qui s’appelle Isabelle Veillet, je devais avoir environ trente ans et à ce point c’était la première fois, c’est ce que l’on appelle le coup de foudre. La première fois que je rencontrais Isabelle , je ne tomba pas amoureux d’elle, j’avais du courir un marathon avec Frédérique Saulnier, le mari de ma cousine Véronique Michelet qui est la fille de Claude Michelet, qui est lui-même le fils d’Edmond Michelet, qui fut grand résistant et ministre du général de Gaulle et de Pompidou, je site ce personnage et je m’arrête sur lui car je suppose que si on remontait on passerait par le roi David et Abraham, et parce que il va devenir un des héros d’une vie en Chiraquie. Il y a dans une vie en chiraquie bien des personnages, les mauvais sont les fils du gaullisme qui en ont fait une bien piètre chose et les bons sont morts, dans la mort tout a été magnifié, ils appartiennent a un gaullisme qui n’existe pas, celui qui est dans ma tète, le gaullisme du romantisme, ils sont morts, ceux sont les bons, ils viendront à mon secours. Il faut dire en parlant du gaullisme que je suis l’inventeur d’une utopie, une de plus, le Gaullisme d’extrême gauche, car j’ai deux affinités l’extrême gauche et De Gaulle. Nous sommes deux dans ce cas en France, Chirac et moi, mais Chirac ne pait pas ses cotisations et en plus il m’a fait mettre sous écoute, ce qu’entre camarade ne se fait pas. Quand j’étais jeune, j’étais de gauche, mais ma famille était de droite, j’étais dans une famille très accroc au général de Gaulle, mais très à droite, mon extrémisme de gauche choquait ma pauvre mère, elle aurait voulu que je change mon vote, car je votais pour Arlette Laguiller, c’était la conception de la démocratie de ma mère, la démocratie fait le lit des biens pensants et moi pour ma part, je suis un mal pensant. En somme par ma famille, j’avais acquis la nostalgie gaulliste, comme les personnages romantiques du XIX ième siècle vivront dans la nostalgie de l’Empereur, ainsi mes copains de gauche ne me reconnaissaient pas comme l’un des leurs, bref une fois de plus j’étais seul avec mes utopies bien à moi, à mois seul. Tout cela pour vous dire que la première fois que j’ai rencontré Isabelle, je ne suis pas tombé amoureux d’elle, parce que je ne l’ai pas vu. Elle avait apporté, les sandwiches, elle était passée et avait disparu. Il faut dire que nous partageons avec Isabelle la même tar, nous sommes timides, nous avons plus souvent dans la vie disparu qu’apparu.
C’est la deuxième fois que je suis tombé amoureux d’elle. Cela se passait à Marcillac, un hameau prêt de Brive ou Edmond Michelet avait une propriété Bourgeoise avec sa ferme que ses enfants ont hérité, cela devait être le dernier weekend de vacances. Isabelle était avec sa sœur Catherine Veillet Michelet, sa cadette, car les sœurs Veillet sont cinq, pour mon bonheur je n’en connus que trois, je serais a l’heure actuel cliniquement mort si j’avais rencontré les deux autres, car je ne suis que moribond. Isabelle et Catherine sont Veillet par leur père, mais elles sont Monod par leur mère, une grande famille protestante bien connue, une famille dont fait partie le cinéaste Jean Luc Godard, plus tard je me prendrais pour Belmondo et je courrerais ma vie à bout de souffle. Au début, je ne remarquais que Catherine, nous jouions au Trivial Poursuit ou avec immodestie je montrais l’étendue de ma culture, Isabelle devais se moquais de moi, elle était polytechnicienne, mon inculture devais la faire rire. Je ne remarquais que Catherine, parce que l’on ne remarque que Catherine. Catherine et Véronique, ma cousine, sont ce que j’appelle les connes jacquasseuse, elles jacquassent, alors on les remarque, on ne remarque qu’elle et pourtant se cacher un trésor. Je serais bêtement tombé amoureux de Catherine, car j’étais seul et j’attendais l’amour, mais son mari Gilles Michelet pourtant d’habitude si discret apparu. Gilles est aussi cousin de Véronique, son père s’appelle Yves Michelet et avait été en ces temps le redac chef de la feuille de choux du RPR, il va je crois jouer un rôle dans notre histoire. Je crois que les cousins Michelet, et les Veillet avaient organisé notre rencontre avec Isabelle, parce que nous étions seuls tous les deux, l’organisation de rencontre de ce type est la nouvelle façon d’arranger des mariages chez les bourgeois. Seulement, l’amour stupide, mon amour stupide pour Isabelle n’était pas convié à cette fête.
Durant mon long amour de moi pour Isabelle, je suis allé voire souvent au musée d’Orsay, le déjeuner sur l’herbe de Manet, le personnage féminin me faisait penser à Isabelle et moi j’étais le peintre, et les nymphettes au fond du tableau, c’étaient mes connes jacquasseuses. En général, j’étais amoureux des femmes, mais je n’osais pas le leur dire, cela me traumatisait, avec Isabelle, je fis la même chose, je passais plus de quatre ans à rêvasser l’amour, à penser qu’à elle, elle était devenu une déesse, plus importante que ma propre personne.
Je me rappelle quand le coup de foudre c’est produit, nous avons joué sur l’herbe a la pétanque avec Isabelle, mon parrain, Claude Michelet, était de la partie, il jeta un regard sur Isabelle, qui en dit long sur les potentialités de cette femme, alors dans le regard de mon oncle, je savais que c’était elle, je me trompais, c’est dans le regard de mon oncle que j’en fus terriblement amoureux.
J’avais trente ans, j’étais puceau et c’était la première fois que cela m’arrivait, pas d’être puceau, cela était un mal qui trainait en longueur, mais bien d’être amoureux. Nous rentrions sur Paris, elle avec sa sœur, moi seul. Je me rappelle ce qui m’a plu en elle, c’est qu’elle était timide et seule et qu’elle y arrivait et que moi je n’y arriverais pas. Par la suite, il y eut d’autres choses qui me firent l’aimer, mais tout me confirmer qu’il s’agissait de l’âme sœur. Je rentrais sur Paris et parce que je me connaissais, je me fis la réflexion suivante : « si tu n’appelles pas cette fille dans les quinze jours, alors tu souffriras comme un chien. » La suite allait me prouver que je n’avais pas complètement tort. Pas mal pour un puceau, comme quoi on peut être puceau et avoir de l’intuition sur la vie.
Par la suite, les trois ans qui ont suivi, je fus amoureux fou d’elle, et moins je lui avoue plus je devenais fou, je sacrifiais ma vie à cette amour, je ne fis que fréquenter la sœur qui me raconta des choses sur la famille Monod, sa mère était un rejeton de cette illustre famille et sur son père physicien, une coïncidence j’avais voulu faire cette profession, ce qui avait été une véritable passion, elle aussi contrariée, pour moi. Son père avait réalisé sa passion si bien qu’Isabelle deviendra un monstre d’ambition… Elle n’a pas accepté la carrière modeste de son père et les vexations qui durent s’en suivre. Je crois qu’elle jugea ses parents, et c’est ce jugement rigide qui fit la vie d’Isabelle… Si Isabelle ne connut pas l’Amour c’est qu’il y avait eu le couple bohème de ses parents… En fait la pauvre Isabelle, serait tombée amoureuse de charlot comme son père, si bien qu’elle se refusa à l’amour. Mais je dois dire, je connais très peu d’Isabelle, sa sœur Catherine eut le soin de me masquer tout d’elle, si bien qu’Isabelle qui est la grande histoire de ma vie est une terra incognita pour moi.
Je fréquentais bêtement surtout le couple de Frédérique et Véronique Saulnier ma cousine et leurs amis intimes les Michelet Gilles, Gilles et Catherine, si bien que je les connais plus qu’Isabelle que j’aimais. Avec Gilles, nous avons fait du tennis et avec Frédérique Saulnier nous nous donnèrent a la course à pied, nous firent deux a trois marathon de Paris.
De temps en temps trop rarement, j’étais invité, chez les Saulnier et nous nous sommes ainsi fréquenter. Isabelle se donnait à l’amour de son impuissant d’Erik Worme ce qui devait la rompre de la monotonie de ses histoires si jamais elle en connut. Isabelle et Erik était amoureux gentiment, Erik devenait fou paranoïaque, il allait traverser le miroir, car l’Amour rend fou, mais Isabelle avait de charmant petit rêve, mais pour une raison que j’ignore, elle si adulte pourtant, ne pris pas la mesure de mon être, et au lieu de prendre les devant, elle se laissa conquérir ce qui aboutit a l’échec.
Ces diners avec Isabelle étaient charmants, car nous nous aimions en silence, à la fin du repas la sœur Catherine rompait l’ambiance, elle me demandait tout le temps de raccompagner sa sœur… Cela rompait le charme de nos rencontres, cela me semblait d’une vulgarité invraisemblable.
Finalement notre entourage se lassa de notre amour et ils connurent un dédain profond pour ma personne, je dois dire sans rire, qu’ils me haïrent. Je suis a moi tout seul une exception sexuelle, je suis un homo-masturbatus, et je dois convenir que de tout temps, je connus la haine des autres pour ma différence… Ils me considèrent comme immature, comme si la sexualité était l’alpha et l’Omega de la maturité. En fait, je suis deux personnes, un petit vieux bien sage, et un adolescent immature.
J’aurais pu connaitre d’autres amours, je me rappelle d’une secrétaire qui m’amusait, mais je n’aimais qu’elle, seulement pour elle, j’allais percer l’enveloppe de ma timidité… J’aurais du en aimer une autre, cela m’aurait permis de me lancer avec plus de chance vers Isabelle, car Isabelle n’était pas une bonne dépuceleuse en raison de ses tars à elle, et puis elle ne m’aimait pas assez.
J’eux une idée similaire à cela, je me rappelle c’était un jour d’Avril, il faisait si beau, le matin je m’étais dit je vais appeler Isabelle, nous allons manger ensemble, ma vie était atroce, cela était devenu une vrai obsession. Puis j’avais invité ma sœur, ensuite j’avais laissé passer l’après midi, alors je fis le mauvais choix, je décidais d’aller voire une putain noire pour me dépuceller. Elle l’aurait fait si je lui avais avoué, mais cela me bloqua encore plus, j’ai eu honte de moi-même, en plus de tout, en plus de n’être pas capable de dire a Isabelle que je l’aimais, je me fis des putains. C’était le niveau zéro de la sexualité. Ce qui me plaisait c’était d’avoir peur, même à une pute, je n’ose pas dire « c’est combien ? », alors j’hésite, cette hésitation me grisait.
Je sombrais dans la dépression, je me faisais des bières, je mangeais à peine, je n’en avais pas le gout et ensuite parfois la nuit j’allais aux putes.
J’allais sombrer à nouveau quand je me remis à m’entrainer pour le marathon, cela me sauva un petit peu, mais je n’eux pas la force d’avouer mon amour à Isabelle, mais cela ne fus que de très peu. Isabelle s’était lassée je crois, on lui avait expliqué que j’étais coince sexuellement et que je la faisais par perversité, ce qui n’était pas le cas. Elle en conçut une haine pour ma personne, car l’amour la haine c’est tellement si proche.
Voila, je devenais fou, Chirac va se faire élire président de la république ce qui n’était pas sans me plaire moi l’homme d’extrême gauche, et ce qui va décevoir la France, car entre Mitterrand et Chirac, nous choisîmes de profonde intelligence, mais collatéralement nous nous engageons vers une décadence inéluctable. Bouygues le créateur de l’entreprise pour laquelle je travaillais, avait une réticence pour les intelligents, je crois qu’il avait raison, l’intelligence conduit a l’impuissance, j’en sais quelque chose.
Pour finir de parler de Chirac et Mitterrand, je me faisais souvent échos dans nos diners amoureux avec Isabelle et les quatre autres, du dégout que j’avais pour la corruption, j’avais en effet commencé ma carrière par les lycées de l’Ile de France et c’était la gabegie, Mitterrand et Chirac plongèrent la France dans la corruption parce qu’ils étaient a ce point de vue profondément de droite et qu’il y a une faculté a droite de se faire d’un monde capitaliste amoral. Gilles Michelet me prédit qu’un jour je regretterai cette pensée et que je ne devais pas parler du boulot comme cela. En fait, je faisais partie de Bouygues, groupe éminemment corrompu et je ne partageais pas cette philosophie, c’était mal, j’en ai conscience aujourd’hui, j’étais un grand pécheur, je voulais le fric mais ne pas me commettre.
J’ai parlé des fois de la corruption, 99,99 % des élites est complice, ce qui nous est explicitement demandé nous les élites est de fermer les yeux pudiquement, la société française est totalement complice de l’état de corruption de ses élites, l’anémie a ce sujet est total, le réveil viendra de la, pour quitter la décadence qui nous guette, il faudra revenir vers la vertu, autant dire que la route est longue.
L’histoire peut commencer.
Mais avant qu’elle commence, j’oubliais de vous dire. Isabelle partie en vacances à l’Ile de la Réunion, c’est ce qu’elle avait dit à sa sœur au téléphone, et j’avais voulu y aller avec elle, mais comme vous l’avez compris je n’osais pas, alors je trainais dans Paris et je passais devant un magasin de mariage et je me mis à pleurer, je pensais à Isabelle, je pensais à ma lacheté. Alors j’achetais un CD de Gainsbourg « je t’aime moi non plus », mais je le faisais en pensant à la Javanese, qui allait devenir prémonitoire, j’écrivais une lettre à Isabelle et je lui écrivais « Dis moi oui ou dis moi non, si tu me dis « oui »les jours auront la clareté du soleil, et si tu me dis non ils auront la quiétude d’une nuit de pleine lune ». Mais je déchirais cette lettre, je voulais repousser cette issue à l’infini, j’aurais voulu être infiniment, éternellement amoureux d’Isabelle. C’était une perversion la bande des quatre, Gilles, Catherine, Frédérique et Véronique allèrent me soigner à leur façon de ce mal.
Chapitre 1 : Le suicide de mon cousin David Michelet
« David revient de la Bosnie Herzégovine avec la folie de la guerre, il est fou, il se suicide, David était mon préféré, profonde tristesse »
David était un être sensible, il avait une sensibilité a fleur de peau, c’était un être génial. Il avait été le dernier je m’en souviens chez les Michelet Claude, c’était un frère de Véronique, mais la dernière place il l’avait perdu au détriment de Paul Michelet. Claude Michelet avait été le dernier chez Edmond, et il garda une sorte de privilège à cette place, Claude Michelet a écrit « une fois sept » qui raconte, je crois, cette autre histoire. Le fait que David fut un roi détrôné, reflète une partie de sa personnalité. David n’avait aucun talent, excepté un, celui du cœur, ce talent fait de lui un roi dans les cieux. Par gout, David serait devenu artiste, il avait un gout pour le dessin, mais ses parents l’en empêchèrent, car ils refusèrent de le laisser monter à la capital pour s’exercer à ce talent. David a un frère nommé Jean Marc qui est monté à la capital, Jean Marc a sombré dans la drogue, cela a refroidi les parents de David. Si bien que l’expérience de Jean Marc a détourné David de son destin, il aurait du apprendre le dessin, le destin lui fit apprendre d’autre chose.
David n’est pas monté à la capital, je ne sais comment, il embrassa une carrière qui lui allait si mal pourtant, il s’enrôla dans l’armée. David parti rejoindre les casques bleus en Bosnie Herzégovine.
Je ne sais que très peu de chose sur la période de David en Bosnie Herzégovine, d’ailleurs plus j’écrirai ce récit, plus je m’aperçu que je ne sais rien à rien… Je sais qu’il a connu une putain yougoslave et que celle-ci fut sa première, j’imagine le trouble émotionnelle que cela fut de connaitre cela en pleine guerre : elle lui apporta du bonheur et il ne pouvait la protéger. Je sais que David fut choquer parce qu’il du observer, il ne faisait qu’observer et consigner les horreurs de la guerre. Une fois, les casques bleus s’amusèrent à jouer au football avec des tètes, c’était l’horreur absolu de la guerre, David n’était pas véritablement en phase avec son commandement. Les officiers sont des bourrains, cela n’était pas vraiment la philosophie de David, cela aurait mieux convenu a son frère aine, l’alcoolique, lui était un vrai soldat, c’était un vrai bourrain, jouer avec des tètes ne l’aurait pas traumatisé outre mesure, François, le frère ainé de David, est gentil, mais il est comme cela, c’est un soldat, pas de cerveau, pas de traumatisme. Malheureusement pour lui, David était fait d’un autre bois. A son retour son frère le blaissa en lui disant qu’il n’était pas un soldat, c’était pourtant la triste vérité.
Je me rappelle aussi d’une lettre qu’il écriva a ses parents, leur narrant la guerre ; Claude Michelet tout fier nous dit « vous ne pouvez pas comprendre, David fait la guerre comme moi, je les fais. » Claude avait fait la guerre d’Algérie. Mon cerveau s’arrêta, son père était dans le faux, le cas de David était différent, autre guerre, autre personnalité. C’était comme si mon cerveau savait le destin tragique qui nous attendait. Claude se trompait, je me suis souvent posé la question « est-ce que j’aurais du lui en parler ? » Mais à la réflexion je doute qu’il m’ait écouté.
Ce qui arriva, arriva, David revint de la guerre avec la maladie. Il était sous le choc, son cerveau n’avait pas accepté le choc de l’émotion de la guerre. Peut être avait il perdu sa putain yougoslave en tous les cas, il avait perdu la raison, c’était un légume… Je suis allé le voire a l’asile avec Frédérique Saulnier, le mari de Véronique, son beau frère. Il pouvait à peine nous parler.
Par la suite, il se remit de cette folie, mais il avait la manie du suicide, il pensait à mettre fin a ses jours sans arrêt. D’autre part, il lui arrivait de se mettre sous une table et de dire « faites attention, il y a des snipers ! » Il était obsédé dans sa tète par des images de guerre, il était sous le choc.
Il est allé voire mon frère Laurent, aux Etats-Unis, il voulait s’engager dans la légion étrangère, mais les américains n’étaient pas si fous.
C’est alors que vint les quinze jours avant son suicide, j’étais invité à Marcillac… Pour le malheur de David, son père l’avait maintenu dans son milieu familial qui était malsain pour lui… Je considère les Michelet comme des petits monstres, ils ont tué le plus faible, c’est comme cela que cela se passe dans les nichets de chien.
Nous étions à l’anniversaire de David ; Il y avait des points positifs rassurants et des points négatifs. David n’avait gout à rien son père Claude lui avait offert un cheval, Geronimo, et son fils n’en avait aucun plaisir, et il lui dit pathétique : « mais tu n’as aucun plaisir ! » Il essayait de souffler la vie dans les poumons de son fils, mais c’était peine perdu. Cette image de ce père se battant seul pour sauver son fils restera longtemps graver dans ma mémoire. Mais voila, Claude Michelet avait eu beaucoup de succès littéraire et un peu d’argent, mais tout cela était insuffisant pour ramener à la vie son fils, je crois qu’il aurait tout donné pour sauver David. Les points négatifs, c’est que David se droguait, il se levait tard, il trainait sa misère plutôt que de se prendre en main. Mais il y avait des points positif, car David aurait pu vivre, il en va ainsi du destin des hommes, la pièce ne tombe pas toujours du bon coté. La vie est une fonction positive ou nulle, une fois nulle, elle le reste éternellement.
David avait invité un groupe de jeune qu’il fréquentait à son anniversaire, parmi il y avait une petasse, mais très gentille, cette fille aurait pu ramener David a la vie, bien que la mission était trop importante pour elle.
J’étais dans la maison basse a Marcillac prêt du billard, personne ne pouvait me voire, quand je surpris cette conversation avec la mère de David, Bernadette Michelet, la sœur de ma mère. : « Quand on s’appelle Michelet, on ne sort pas avec une petasse. » Si Bernadette avait été une vraie mère ce qu’elle ne sera jamais, elle aurait dit « vas y, mon fils mord dans la vie, aime, cette fille est une petasse, cela n’est pas grave aime, vie. »
David était aux portes de la mort et elle, Bernadette, lui faisait des leçons de moral. J’ai envie de lui dire dans mon délire, si les Michelet n’épousaient pas des petasses vous n’auriez jamais été baisé ma tante…
Bernadette est sois disante complexe, elle a épousé un homme pour son nom, c’est ce qu’elle a aimé parce que les femmes sont comme cela, on lui a fait payer chez les Michelet le fait qu’elle était une petite paysanne pas forcement très intelligentes, alors elle est rentrait en elle-même et elle s’est collé a son mari, elle n’a su être qu’une chose l’épouse. Elle a tué son enfant, c’est le terrible secret que ce couple a ensemble.
David était comme ces insectes qui se cognent au vitre pour pouvoir sortir, David a toujours quémandé de l’affection à cette mère horrible, il sera frustré à vie d’avoir jamais eu cette affection. David n’avait aucun talent, c’était la honte pour cette mère, David dessine des tombes ou il y avait inscrit « Michelet raté ». C’était cette mère qui lui avait mis dans sa tète qu’il était raté. David aurait réussi parce qu’il avait un talent rare c’est celui du cœur.
Si j’étais un romancier un jour, j’aurais imaginé la scène suivante, la mère voit son fils avec son fusil mal planqué sous ses vêtements, elle croit voire un sexe, alors elle a une répulsion et elle commence a compté, en fermant les yeux et elle commence comme cela « 1 j’aime mon père, 2 j’aime mon mari… » et au fur et à mesure ou elle compte elle a du mal de masquer les noirceurs de son âme, et a 30 elle entend bang et elle est soulagé elle a un orgasme son fils est mort, il s’est suicidé. Claude Michelet est père dans les fibres les plus profondes de son être, mais seulement, ils forment un couple fusionnel avec ma tante, et elle est incapable d’affection maternelle, elle les a élevé dans le fantasme de la grandeur du nom Michelet.
Tout ceci est bien exagéré pour décrire Bernadette, mais une chose est vraie elle fut soulager de la mort de son fils de ne plus avoir ce fils fou sur les bras, cette fêlure dans l’éducation qu’elle lui avait donné. Mon oncle et ma tante ont loupé tous leurs enfants, c’est le grand échec de la vie de mon parrain parce que je crois qu’il a perdu son âme dans l’amour de ma tante, il a perdu son libre arbitre, son succès a été une horreur, c’est un méchant con, certes il a gardé son humour, mais il a tout perdu dans sa famille infernale. Il est vrai qu’il a perdu le meilleur de tous David Michelet, seul Paul est rachetable dans cette famille.Mais l’amour fusionnel avec ma tante a tout l’air d’être un pacte diabolique… La fusion n’est pas a ce qu’il faut tendre dans le mariage, parce qu’elle masque mal des secrets terribles et des pertes de liberté. Mon parrain n’est plus lui-même, il a perdu son génie créateur.
Le dernier soir que j’étais à Marcillac, j’ai discuté avec David Michelet, c’est la dernière fois que je l’ai vu. Je l’ai laissé parler sans rien dire, je lui ai donné deux Lucky Strike car à l’époque je fumais. David faisait du cheval à Brive dans un centre équestre, avec les bourgeois de Brive qui c’est notoire sont de véritable connard. Un bourgeois avait tué son cheval sous lui, la barbarie de la scène offusqua David. David savait se révolter, je croyais qu’il était sauvé, je me trompais, j’avais parié en « David le Michelet raté », tout le monde disait et lui-même le croyait, mais moi j’avais parié en lui, je le voyais avoir un grand avenir. J’ai perdu et je n’aime pas perdre, en perdant David j’ai tout perdu.
Je suis revenu travailler dans la filiale du groupe Bouygues pour lequel je travaillais, c’était loin d’être génial, j’étais dans un placard ma carrière était fini avant d’avoir commence.
C’est la que je reçu un coup de fil de Suzie une amie belge de mes parents qui est aussi mon amie. Cela n’a pas été un membre de ma famille, cela n’a pas été un Michelet, cela a été Suzie :
« Il s’est passé un drame à Limoges, tu sais ?» Suzie confondait Limoges avec Brive La Gaillarde, je crus et j’eux l’image que la gare de Limoges était sous les eaux. Je lui répondais « Non, je ne sais qu’est ce qui s’est passé ?
-Ton cousin David a donne fin a ses jours. »
Cela a été surréaliste, je n’en croyais pas mes oreilles, le fait que cela fut une étrangère qui m’annonça la mort de David me fit croire plus tard que j’étais responsable de cette mort. En tous les cas, je ne pus pas faire mon exercice de deuil, je n’allais pas a son enterrement, il fut incinérer a Limoges. Frédérique Saulnier avait choisi qui était Person non grata à Marcillac et d’évidence je n’étais pas bien venu chez mon parrain.
Quand je pris ma voiture en rentrant chez moi, je hurlais de douleur et je m’exclamais « David qu’as-tu fait à tes parents ? » au lieu de pleurer la victime je pleurais les bourreaux.
Plus tard, j’apprendrais l’anecdote suivant quand mon cousin se suicida, il avait subtilisé un fusil, était monté dans sa chambre et la il se donna la mort en se faisant éclater le crane, les pompiers sont venu, Claude a refuse que les pompiers aident pour nettoyer c’est lui-même qui a lavé le sang de son fils dans cette chambre.
Plus tard, je penserai à un poème, que j’appelais le poème de la vraie élite, ce poème disait la chose suivante, c’était en l’honneur des casques bleus « ils étaient quatre mille, on les appelait les croisés, car ils faisaient des croix dans de grands cahier (ils consignaient les événements ainsi dans des grands cahiers), c’était l’armé de la vraie élite, pas ceux de L’INSEAD ou de Polytechnique, non eux ils étaient la vraie élite, Lave, lave le sang de ton fils tu n’effaceras pas les traces de l’armée de la vraie élite »
J’étais dans la dépression, cet événement fut un détonateur, j’étais tellement triste que j’avais du sable dans les oreilles, je n’entendais plus les gens, j’étais totalement reclus sur moi… Une fois à Paris, mon parrain était dans son appartement, je lui laissais un mot mais je n’entrais pas pour lui parler, j’étais tellement triste pour lui que je ne pouvais pas parler, il a dû me croire insensible, en fait j’étais mort, le reste de la famille Michelet allait me donner le coup de grâce.
Isabelle avait dit à sa sœur Catherine : « les hommes faibles comme Erik sont fragiles dans pareille situation, les suicides en série cela existe. » La sœur allait recevoir cette information et elle va faire le nécessaire pour me pousser au suicide.
Si j’avais été intelligent, j’aurais appelé Isabelle, j’étais tellement triste qu’elle, elle m’aurait consolé mais je n’en fis rien, je n’y ai même pas pensé.
Chapitre 2 : Le complot de mes cousins Michelet
J’ai connu Isabelle, chez les Michelet, Fred Saulnier, le mari de ma cousine Véro, est en relation avec ma DRH chez Bouygues, Bouygues veut se séparer de moi alors ils veulent me dégouter, avec Fred ils décident de me rendre jaloux
Comme je disais, j’étais un homme abattu, j’avais du sable dans les oreilles, je fus inviter chez Catherine Veillet Michelet et Yves Michelet, en la présence de Frédérique Saulnier, nous étions a quinze jours de la mort de David. Le contraste était saisissant, les trois étaient frais comme des gardons, pour eux la vie de ce pauvre David n’avait pas beaucoup de prix, Frédérique Saulnier n’avait qu’une ambition dans la vie c’est de faire carrière chez son beau père Claude Michelet pour lui David n’était qu’un prétexte à s’attirer les bonnes grâces de son beau père, en se rendant utile.
Ces trois la, je ne sais pourquoi se prit d’une haine totale pour ma personne, ils mirent en place un piège. Moi, j’étais naïfs, je ne vis les choses que de façon fantasmagorique, depuis la mort de David tout était fantôme.
Ce que j’apprendrais plus tard, Frédérique Saulnier était en rapport avec ma DRH qui voulait se séparer de moi, parce que je n’étais pas à proprement parlé un homme du groupe Bouygues, je n’étais pas un vrai Bouyguesman, je suis un pur et je ne suis pas assez travailleur pour eux alors ils voulaient me dégouter pour que je donne ma démission.
Frédérique Saulnier, Catherine Veillet Michelet, et Gilles Michelet eurent l’idée de me rendre jaloux, cette jalousie va me rendre complètement fou et malade.
Du fait de mon malheur, j’étais comme un légume à ce diner, alors à trois ils parlèrent en ma présence, à voix basse, à peine audible ce qui me donna l’impression que ma vie était un cauchemar.
Ils disaient qu’Isabelle avait connu l’amour et qu’elle était partie avec son amoureux aux Mans.
J’avais du sable dans les oreilles, je ne réagis pas directement au discours et il me fallut diriger l’information.
A force d’attendre, j’avais laissé passer Isabelle, après la mort de David mon cousin favori, mon amour au masculin, j’avais aussi perdu l’amour de ma vie, Isabelle.
Cela fut comme une détonation, jamais je n’avais été aussi triste de toute ma vie, je ne savais plus qui je pleurais Isabelle ou David, comme je ne savais pas qui pleurer, je me crus faux. Voila ce fut le début de ma dépression. En fait, ma dépression date de mon adolescence, à l’école au lycée, j’étais déjà fou.
Au boulot, les gens étaient au courant, car Frédérique Saulnier leur donnait des informations, alors ils me rendirent jaloux d’un conducteur de travaux qui avaient une voiture immatriculé dans la Sarthe. Pour moi, c’était évident, Isabelle avait une liaison avec Michel Bouder parce que l’histoire de l’escapade amoureuse d’Isabelle dans la Sartre et ce gars brillant de la Sartre cela ne pouvait être que lui. J’étais névrotiquement jaloux de Michel Bouder, quand je le rencontrais, je palissais, je ne pouvais pas rester en sa présence, cette jalousie me rendait complètement malade. J’étais triste, dépressif et jaloux, parfois je m’en voulais de ne pas aimer suffisamment amoureux d’Isabelle, si je l’aimais vraiment j’aurais du être heureux de la savoir heureuse avec un autre. Parfois je l’aimais à ce point là. Mais je me sentais petit, aimé de personne.
Puis le temps passa, vers décembre 1995, ma cousine Véronique organisa son anniversaire, rue Claude Decan à deux pas de la rue Nicolaï là où habitais Isabelle, là où nous nous rencontrions Isabelle et moi, j’étais nevrosé par cette jalousie, c’est pour cela que j’allais voir Frédérique Saulnier et je lui demandais si Isabelle n’avait pas un amant du nom de Michel Bouder, Frédérique me dit « tu n’as qu’à lui demander », je n’oserai jamais… Comme Frédérique avait monté le coup, il devait jouir du fait que la jalousie avait marché, la DRH était au courant de la nature de ma nevrose, tout le monde dans la filiale où je travaillais firent de moi la tète de turc, c’était tellement drôle de voire souffrir un vieux garçon pour une veille fille.
Avant l’anniversaire de Véronique, j’étais dans un tel état nerveux qu’il fallait que je parle à Isabelle, il fallait que je lui parle avant d’aller à cet anniversaire, car je sais que je serais stupide ma timidité me rend grotesque. Mais je n’osais pas parler en direct a Isabelle, j’appelais d’abord sa sœur, qui s’empressa de prévenir Isabelle, et quand je l’appelais, elle avait réponse à tout elle s’amusa à me flinguer, si bien que jamais nous n’aurons de conversation intime avec Isabelle, tout va se passer dans un malentendu.
Hors j’allais donc quand même à cette anniversaire, je fus grotesque, ma timidité m’empêchait de parler a Isabelle, et j’étais tellement coincé que tout le monde le remarquait. Denis Piot un cousin par alliance de Gilles et Véronique, déclara « il est puceau », les hommes ont la mémoire courte… Denis Piot ne vit pas que cette fille Michelet était amoureuse de lui, il avait lui aussi un sentiment pour elle, elle en fut malade, elle alla a l’hôpital, une tante dit a Denis Piot cette fille Michelet est amoureuse de toi, il apporta des fleurs a l’hôpital, et ils se marrierent. Mais pour l’heure oubliant sa propre histoire, il me trouvait puceau.
Quand Isabelle quitta l’anniversaire de Véronique, j’eus le courage de me glisser dans l’ascenseur avec elle, je lui dis que j’avais des sentiments pour elle, elle me dit que cela n’étais pas partagé…
Je revins déconfit a l’anniversaire de Véronique, je revins chez moi en voiture avec Jean Marc Michelet et sa première femme Anita, Anita était une mythomane sympathique c’est elle qui fit pour ami celle qui allait devenir ma femme. Elle me dit « cette fille est étrange elle te regarde avec les yeux de l’amour. » elle me dit « cette histoire est bizarre. » Anita était peut être mythomane, mais elle ne manquait pas de bon sens, d’autre part, elle n’était pas perverse, contrairement au Michelet.
Chapitre 3 : première déclaration d’amour a Isabelle
Devant l’ardeur du désir d’Erik, Isabelle le repousse, mais elle parle avec lui, elle veut probablement le soigner de cet amour maladif
Après l’anniversaire de Véronique, il me fallait revoir Isabelle. Isabelle est protestante et à l’époque elle était dame catéchisme. Isabelle est une fervente pratiquante, elle deviendra même membre du synode protestant, si bien que nous verrons que les histoires d’amour font mentir les bonnes protestantes comme des arracheuses de dents. Mais à l’époque je ne le savais pas, j’étais amoureux et je savais que tous les mardis Isabelle était au temple de l’Oratoire du Louvre. Le temple de l’Oratoire du Louvre est le lieu ou j’aurais voulu emmener Isabelle a L’autel pour l’épouser, mais j’étais tellement impuissant que même dans mes rêves ma timidité m’en empêcher.
Le mardi suivant, l’anniversaire de ma cousine, je fis le guet, parce que la veille au soir j’avais eu Isabelle au téléphone, il fallait que je lui parle. Mais j’étais trop nerveux si bien que plutôt que de me cacher, je faisais les cent pas. Je fus découvert. Je me rappelle à la sortie du temple de l’Oratoire sur le coté, il y avait une femme en rouge qui surveillait, cette femme en rouge devait aider Isabelle a fuir. Cette femme en rouge hanta longtemps mon imaginaire.
Bref ce mardi fut un échec, Isabelle s’enfuit et je ne pus lui parler, si bien que nous allons vivre dans un malentendu, comme je le disais précedemment,mes redites sont des marques de mes obsessions.
Le lundi, je l’avais appelé
« Allo ! Isabelle
-oui
-Je t’aime
-Je ne t’aime pas
-c’est pas grave
-Tu dis toujours que ce n’est pas grave alors que c’est grave (la suite de l’histoire allait démontrer qu’Isabelle avait raison.)
-Tu croiras toujours que je suis amoureuse de toi. (là Isabelle montre son plan véritable, elle continue a parler a Erik pour maintenir l’amour, tant qu’elle me parle, il y a de l’espoir, il est possible qu’Isabelle veut être aimer comme une déesse virginale. Ou elle veut être une maitresse, elle me dépucelle en me désaimant, ou elle est complexe, peut être un peu pervers)
-Nous devrions nous voir.
-Je ne peux pas te voir, je serais méchante avec toi. (Isabelle veut être méchante avec un homme qui lui dit je t’aime, elle joue la supériorité, elle lui marche sur la gueule, isabelle pensera toute sa vie que je suis un con, un faible qu’on peut écraser.)
J’aurais du poursuivre la conversation mais je suis a bout de nerf alors j’en reste la. J’aurais du lui faire la court, mais je n’en étais pas capable, je l’aimais trop et on me rendait jaloux, cette jalousie envahissait mon esprit, ce qui m’empêcha de lui parler d’amour de façon douce, comme les femmes l’aiment l’entendre, j’exprimai de la violence, une violence incroyable qui était en moi. C’est pour cela que j’ai du mal à pardonner à ceux qui firent louper le coup, la bande des quatres, les couples de Catherine et Gille et de Fred et Véro. L’amour suscite de la jalousie, ils s’employèrent à démontrer que mon amour était maladif, parce qu’il était exubérant, les hommes haïssent l’amour, le sexe oui, la raison oui, mais pas l’amour, l’amour est mort ce jour là.
J’ai écris au père d’Isabelle ou j’insultais le comportement d’isabelle parce que ses yeux me disait oui et sa bouche me disait non, j’en fus extrêmement perturber, je me comportais comme un crétin, mais l’amour justifie tout, ceux qui jouèrent dans cette histoire n’étais pas aveugle comme moi, ils étaient parfaitement lucide et il savait tout le mal qu’il me faisait. Gilles Michelet a dû haïr mon comportement à ce moment là, je pense qu’il a voulu tuer un chien enragé que j’étais.
Au boulot, j’étais de plus en plus névrotiquement jaloux de Michel Bouder, pour moi c’était lui, il suffisait que Michel est eu des carte de l’IGN gratuite pour que je me dise c’était lui. Isabelle travaillait à l’IGN, Institut Géographique National, elle y fit une carrière brillante. Isabelle sacrifia tout a sa carrière, son désir d’enfant, elle le fit taire pour avoir des enfants, a bien y regarder, Isabelle est un monstre d’égoïsme, et je pense qu’il n’y a que moi pour aimer des femmes pareilles.
Chapitre 4 : dépression
Je suis jaloux et malheureux, le jeu de manipulation chez Bouygues, me rend malade, j’écris une lettre a son parrain Claude Michelet « je sais des choses sur les lycées de la région parisienne, si je n’obtiens pas un appui politique, je casse le système » je veux de la sorte stopper les manipulations de chez Bouygues, ces manipulations ne deviendront que plus important
Je suis extrêmement jaloux, je suis en enfer, les gens autour de moi, le savent moi confusément je m’en doute. Quand je suis arrivé dans cette filiale du groupe Bouygues, je m’étais dit bien avant les déclarations d’amour, les gens savent mon histoire avec Isabelle, c’était confus, et cela deviendra une réalité. Ce qui me troubla à l’extrême, c’est que cette confusion névrotique est devenue une réalité. Frédérique Saulnier avait tissé des liens avec la Direction du Personnel de ma boite, il jouait un rôle de putain à mon égard. La direction du Personnel voulait m’écœurer, il voulait que je donne ma démission parce que je n’étais pas dans le ton de la philosophie du groupe Bouygues, j’étais trop replier sur moi, cela était jugé maladif. Fred Saulnier et la direction du Personnel allait jouer un rôle de manipulation, ils choisirent sciemment de me manipuler psychologiquement pour que je ne sache jamais où j’habitais, en fait comme j’étais fou amoureux, ils choisirent lâchement de me rendre encore plus fou.
J’étais donc jaloux de Michel Bouder, un conducteur de travaux brillant, j’étais jaloux de lui parce qu’il était brillant, je me trouvais moche, je me trouve encore moche.
Je me souviens qu’une fois, Michel Bouder était rentré en réunion avec son chef de service, il hurlait qu’il était reçu par ses beau parents, qu’il allait se marier, moi j’étais terrorisé, j’étais tellement amoureux d’Isabelle que je ne voulais pas entendre ces paroles qui étaient hurlées pourtant. Le reste du Bureau d’Etudes resta impassible. Quand je raconterai la scène a mes psychologues, ils allaient statuer sur le fait que j’entendais des voix, et que j’avais un trouble de l’interprétation, j’étais de tout temps pour mes psychologues paranoïaques, ils n’ont jamais pris conscience que des hommes s’amusent à rendre fou d’autres hommes par jeu, par cruauté, parce que le rôle de la psychiatrie est de soigner un individu et pas de soigner la société, hors bien souvent, la société aussi est malade, l’individu n’existe pas en tant que tel, l’individu c’est une invention du XX ième siècle, c’est absurde, pas étonnant que la philosophie est fait l’éloge de l’absurde, parce qu’elle a créé une notion fausse l’individu, nous sommes en fait civilisation, c’est ainsi que noous puisons notre sens.
Le psychologue qui me verra plus tard aurait dû me séparer de mon milieu professionnelle parce que même si j’étais paranoïaque à l’époque, je n’aurais jamais du revenir travailler pour ces gens. Les psychologues n’ont pas conscience que nous sommes une société de voyou et que l’on tue de la sorte l es hommes purs.
Un homme chez Bouygues que je faisais semblant de haïr pour masquer le fait que c’était un ami de Michel Bouder et qu’en fait je haïssais par jalousie Michel Bouder, me dit que j’ignorais que les hommes était méchant. En effet, j’étais un homme enfant et comme tous les enfants j’étais dans l’ignorance de la cruauté du monde. Je rapportais à Fred ces propos, il était ravi de la confiance que j’avais en lui, j’étais dans l’ignorance de leur méchanceté à eux la bande des quatre.
Puis vint mon anniversaire, je suis né le 22 février, comme la petite Claire la filleule d’Isabelle, la bande des quatre était invité aussi, je fis un cadeau stupide à la petite Claire, une voiture de course télécommandée, elle était trop jeune et ce n’était pas le bon sexe pour ce type de cadeau, mais j’ignorais ces choses là, je suis dans l’ignorance des choses du monde, je vis dans mes rêves, dans mes utopies tristes, je suis triste de ne concevoir que des utopies, je suis triste de mon propre vide et du vide du monde que nous construisons.
C’est alors que Catherine me fixa dans les yeux « tu sais, Erik, moi aussi je sais être méchante. » Elle venait de signer son acte, c’est elle qui avait fait capoter les choses entre moi et sa sœur parce que c’était sa confidence. En fait, Catherine connaissait parfaitement sa sœur, si on disait à isabelle parle à Erik, Isabelle se sentirait en prison dans un amour et elle s’enfuirait, c’est pour cela que quand je l’appelais avant l’anniversaire de Véro, elle avait parlé la première a sa sœur, pour lui dire « parle a ce pauvre Erik… » Elle jouait double jeu, elle ne voulait pas de moi comme beau frère, le résultat c’est qu’elle en aura jamais aucun. Bref, j’avais en face de moi un crotale, mon cerveau s’arrêta, comme dans mon accident mortel dont je réchappais par miracle, de retour de Nancy sur une route en Seine et Marne, à deux pas de la maison, et je me dis « un jour, je t’apprendrais la perversité Catherine. » C’est ce que je suis en train de faire, mais les hommes refuseront de publier ma prose, car je suis trop dangereux pour la société des hommes, je connais un petit secret qui peut faire exploser la république, il ne faut pas connaitre beaucoup de secret comme l’ex-président d’Elf, il suffit d’en connaitre un petit et la république saute.
Bref, j’étais manipulé de toute part, alors sous la pression, malheureux en amour, je me fis arrêter pour dépression.
J’étais malade, les gens qui m’observaient, iront jusqu'à prétendre que je n’étais pas vraiment malade, en particuliers ma DRH, mais ils durent jouer dans l’hypocrisie, car ils savaient qu’ils ne jouaient pas un rôle très claire. Frédérique Saulnier alla jusqu'à prétendre que je n’étais pas malade. Moi-même, je le croyais, car je savais que ma démarche était infantile, je fuyais un sentiment de jalousie qui m’assaillait, je fuyais cette déception amoureuse, qui avait explosé mon psyché, je n’avais jamais été aussi triste de toute ma vie. En fait, ce que j’avais été très grave, c’était le début d’une bipolarité, mon psychique allait considérablement s’aggraver. Je pense que je ne guérirai jamais de cette maladie, mais en apparence c’était une déception amoureuse infantile, mais c’était plus profond que cela, la tristesse de la perte de David avait joué un rôle, j’avais tout perdu, en y repensant je ne comprends pas pourquoi je ne me suis pas suicidé.
J’avais le sentiment d’être mis sous écoute parce que mes propos de la sphère prive était connu sur mon lieu de travail et vis et versa. Mais je ne voulais pas voire la vérité en face, alors j’inventais une histoire, c’étaient les franc mâcons qui m’avaient fait mettre sous écoute la cause de tout c’étaient les franc-maçons. En fait le coup vient de plus prêt, la famille Michelet auquel j’étais affilié aller jouer un rôle désastreux dans mon existence. Au démarrage, il y avait cette histoire d’amour avec Isabelle, Frédérique Saulnier allait raconter partout cette histoire et notamment auprès de ma DRH, il allait raconter partout que ma timidité était une perversion sexuelle. Il allait dire partout que j’étais un être pervers, il allait lâcher les loups contre moi.
Mais pendant trop longtemps, je ne compris pas le rôle exacte de Frédérique Saulnier, ma vie devint un cauchemar, je ne rêvais plus ma vie, je la cauchemardais.
J’allais avoir une très mauvaise idée. Mon parrain s’appelle Claude Michelet et est le dernier fils d’Edmond Michelet. Claude Michelet avait eu une certaine réussite comme écrivain, en écrivant « les grives au loup » et d’autres ouvrages qui ne resteront malheureusement pas dans la mémoire littéraire. Mais en tout état de cause mon parrain avait eu assez de talent pour faire un succès. Il était très fier de faire partie du Who’s Who, je crois qu’il avait une ambition malsaine, je pense que sous ses cotés sympathique et un humour certain se cache un être pervers et faux, ou plutôt un être déchiré, son succès ne lui a rien apporté, il aurait été meilleur comme paysan pauvre.
J’eu la très mauvaise idée d’écrire à mon parrain, car j’attendais de lui un arbitrage.
Dans des termes flous, je lui fis part de la manipulation psychologique dont je faisais l’objet, sans lui parler de mes crises de jalousie pour Isabelle Veillet, sans lui parler de Michel Bouder… Je concluais ma lettre en disant « je sais des choses sur les lycées de la région parisienne, si tu ne me fais pas recevoir en haut lieu, je fais éclater le système. » Ce que je savais, c’est que la filiale du groupe Bouygues pour laquelle j’avais travaillé, aurait fait à neuf l’appartement du XVI ième de Sananesse, le patron de l’ingénierie des lycées de la région parisienne, la plaque tournante par laquelle passait tout le blanchiment d’argent, affaire qui a été jugé et qui ne fait plus partie du secret, il es maintenant de notoriété publique que la corruption régnait en maitre et que je suppose que la cooptation aidant la corruption est toujours maitresse du jeu en France.
Claude Michelet, plutôt que de me contacter et de me demander ce qui n’allait pas avec moi, fis connaitre l’existence de cette lettre a Frédérique Saulnier, si bien que ma DRH savait que je voulais faire casser le système, en même temps Yves Michelet, le frère ainé de Claude eu connaissance de cette lettre. En tout état de cause le RPR pourri par la corruption et le groupe Bouygues tout aussi pourri, eurent la connaissance que je voulais faire exploser le système de corruption qui règne en France. J’imagine qu’ils prirent très au sérieux ma lettre écrite à mon parrain. J’étais un élément dangereux pour la corruption des fils du gaullisme, car la critique de la corruption avec moi venait de l’intérieur, c’était un membre de la famille Michelet si connu dans le monde du gaullisme que venait la critique, car je n’étais pas qu’un homme d’extrême gauche, j’étais un fils du gaullisme, j’étais gaulliste d’extrême gauche, j’étais plus gaulliste qu’ils ne le sont.
Il est bon de placer une analyse sur la corruption en France. Avec le temps, les démocraties s’essoufflent et la tendance aristocratique devient trop forte, la corruption est devenue une généralité, et est la véritable maitresse de la France, c’est la dictature de la corruption. Dans ma critique de la corruption, il n’y a pas de moralité, c’est une analyse froide, l’analyse est la suivante, dans le monde capitalisme la corruption est un élément nécessaire, elle permet d’apporter la richesse et de la maintenir, la corruption est un mal nécessaire. Seulement la nature humaine est ce qu’elle est, passer une étape la corruption devient la source de la décadence et la richesse qu’elle apporte dans un premier temps, elle nous la retire à tous. A nous tous collectivement, la corruption nous coute cher. En plus la corruption favorise les obsolescences, c’est un moteur fort de décadence. La puissance économique de la France dans cinquante ans, n’existera pas, car le jeune Bil Gates français ne verra pas le jour, car avec la corruption cet enfant est mort ne. C’est un raisonnement économique et non pas moral qui étaye ma critique de la corruption, ainsi, j’accepte d’être moi-même un être corrompu, car il n’y a pas de critique moral, mais l’observation que je fais, nous les corrompus faisons le lit de la décadence.
Vous voyez, j’étais dangereux parce que ma critique était original et que la corruption est généralisée. Bouygues et le RPR inventèrent un supplice pour moi. Puisque je me croyais sous écoute, ils me mirent sous écoute, ainsi, chaque fois que je raconterai mon histoire tout le monde allait se dire cet homme est fou… Mais en fait de folie, il y a la mienne, et il y a la folie de la société qui nous entoure. Ils eurent une idée géniale, mettre sous écoute un homme tout simplement amoureux, pour le pousser au suicide : L’Humanité est extraordinaire !
Conditionner par la société, je revins travailler chez Bouygues, je revins chez des gens qui avaient eu l’idée géniale de me tuer.
Chapitre 5 : retour de dépression
« Je retourne chez Bouygues, vu ma jalousie maladive, cela n’est pas une bonne idée, je rappelle Isabelle a la fin de la conversation téléphonique, elle m’avoue « je suis sur le point de succomber », je suis jaloux, je vais croire qu’Isabelle est a un autre. »
En écrivant ma vie en chiraquie, je repense à ma vie et plus d’une chose que je ne comprends pas. J’étais suivi, comme je vous ai dit, par un psychologue qui connaissait l’objet de ma paranoïa naissante, il savait que j’étais puceau que je travaillais dans le monde du BTP ; comment a-t-il pu permettre que je retourne travailler chez Bouygues. Il aurait du savoir que les hommes s’amusent à faire souffrir d’autres hommes, il connaissait mes points faibles, jamais je n’aurais du retourner travailler chez Bouygues, le peu d’argent que je gagnais ne pouvait justifier un tel sacrifice. Je croyais que j’étais observé chez Bouygues, qu’Isabelle avait noué une relation avec Michel Bouder pour se venger de moi, que toutes mes lettres à Isabelle, ces lettres de folies étaient connues par mes collègues. Partant, il était malsain de revenir travailler chez des gens qui se doutaient de ce qui se passer, bien sur j’ignorais alors le rôle exacte de Frédérique Saulnier et de Catherine Veillet-Michelet, je vais bientôt l’apprendre, mais ce que je vais croire c’est qu’Isabelle est dans le coup, qu’elle se venge.
Je crois qu’elle a voulu souvent se venger de moi, parce que je n’étais pas à la hauteur de cette histoire d’amour, elle aurait voulu que je sois un autre, si bien que très souvent, elle a dû me haïr. En plus, elle ne voulait pas devenir vieille fille, cela a du être un sacrifice, et elle a dû me haïr, elle aurait voulu m’apprivoiser.
J’étais très mal a l’aise, j’ai toujours été ultra-timide, et mal à l’aise en société, je n’ai jamais aimé les cocktails, je ne me souviens d’aucune conversation qui m’ai laisse un souvenir impérissable, au contraire je m’ennuis à périr, je me sens dans ces réunions être le vilain petit canard, mais là c’était pire, il y avait Michel Bouder et j’étais jaloux. D’un autre coté, je voulais laisser mon sentiment de jalousie, car je ne voulais pas apprendre qu’Isabelle était à un autre, cela aurait arrêté nette mon sentiment amoureux, il fallait continuer à croire qu’elle pouvait être a moi, entretenir ce sentiment quitte a être stupide vis-à-vis de Michel Bouder, je voulais continuer à être amoureux et malheureux. Tout le monde savait mon sentiment confus, mais la société est hypocrite nul ne me parla ouvertement.
J’avais travaillé pour le groupe Bouygues qui est un groupe de construction parce que à la sortie de l’école je voulais faire de la recherche fondamentale, mais mon père ce brave homme avait coupé les vivres, si bien que j’avais fait une expérience chez EDF, la société qui fournit l’électricité en France, puis j’avais fait mon service militaire en Allemagne a Pforzheim, j’avais servi dans la cavalerie légère.
Enfin a mon retour de service militaire, il fallait bien rentrer dans la vie active, alors j’ai choisi Bouygues, parce qu’ils étaient les premiers et parce que je voulais me frotter a une expérience de pragmatisme. Cela fut réussit, je commençais ma carrière par les lycées de la région Ile de France. Bref un pur était lâché dans la jungle. J’aurais pu tirer mon épingle du jeu car les Michelet aurait pu faire ma carrière, mais je ne l’ai pas demandé et pour tout dire il n’avait pas une affection démesurée pour ma personne. Je m’ennuyais fortement dans mon début de carrière. Intellectuellement, je connus toujours un fort manque, la différence entre l’école et le monde réel me troubla. Je voulais avoir des responsabilités, chez Bouygues, je n’étais qu’un pion perdu dans un système. C’est pour cela que j’eus le plaisir de faire une expérience dans une filiale du groupe Bouygues. Dans une filiale, le poids de la hiérarchie était différent, on pouvait espérer avoir un rapport direct avec les clients. J’admirais un homme tout à fait différent de moi, Gerard Gerlintner, Il avait été directeur de travaux sur le siège social du groupe Bouygues, Challenger, et sur le musée d’Orsay. Comme tous ces managers de chez Bouygues, c’était une pourriture, c’était un homme sans foi, ni loi, ils les font tous comme cela, mais sympathique au demeurant. Pas étonnant que devenu commercial, il se fit des amis à droite, dans la région Ile de France. Il était très apprécié de Sananesse , la plaque tournante des affaires de la région parisienne. Mais j’admirais Gerlentner parce que c’était un voyou plus futé que les autres, lui, il payait moins que les autres. Chez Olin, la filiale Bouygues de l’époque, il y avait des personnages plus truculent, je n’ai pas le temps de les décrire. Gerlentner m’avait dit « tu nous regretteras », en effet il m’envoya dans un placard, j’étais en prison, j’étais mal vue parce que je n’étais pas comme eux, je n’acceptais pas la corruption, j’étais trop pur pour eux. Cela n’est pas que je leur ai servi mes thèses sur la question, mais ils l’avaient senti, j’étais un personnage lunaire, il ne pouvait pas le tolérer. La réalité était triste et ce que l’on faisait de la France, encore plus. L’esprit de la Resistance avait quitté le gaullisme même, l’esprit de la collaboration avait tout dominé, la France a toujours été collaborationniste. La collaboration œuvra pour la corruption, ce n’était pas les allemands, c’était moins pire.
J’aimais Isabelle dans ce contexte, il aurait été nécessaire pour moi de fuir la morosité ambiante pour isabelle, Cela m’aurait fait beaucoup de bien, j’y ai beaucoup pensé, je n’ai fait que d’y penser.
Ainsi, je fus en route vers l’enfer, les gars de Bouygues aurait voulu se venger de moi qu’il n’aurait pas mieux fait, je débarquais chez Screg Batiment, une autre filiale qui perdait beaucoup d’argent. Je ne suis pas le partisan dans une vie en chiraquie de faire des portraits, ainsi je ne vous ai pas décrit Catherine Veillet-Michelet ou Fred Saulnier, ou Gilles Michelet ou Véronique Michelet, je n’ai pas décrit Isabelle, pas encore, mais je crois que les complices de ma descente aux enfers, mérite bien que pour la postérité on site leur nom et leur trait de caractère.
Madani Sow était notre roi nègre, je crois qu’il avait une descendance, chez Bouygues, on l’avait programmé pour être un tueur, alors comme il n’était pas stupide, il était devenu un tueur. Il faisait du racisme à l’ envers, on l’avait parachuté pour restructurer notre société, il était bien employé.
Cyrille Ferand était le directeur commercial du privé, car nous avions chez Screg Batiment les gens du public et les gens du prive qui se haïssaient. Cyrille Ferrand était un franc-maçon c’est pour cela que je crus longtemps que le coup venait d’eux. En fait, je crus que le coup venait des franc-maçon pour ne pas voire la duplicité de mes proches. Cyrille Ferrand, malgré son ambition ne manquait pas d’humour ce qui n’était pas la panacé chez Bouygues. C’était un commercial, je hais les commercials, ce qui est triste, c’est que je travaillais pour eux. Cyrille Ferrand était prêt à tout pour accéder au pouvoir, même les coups bas, même éliminé par tous les moyens des candidats dangereux, il avait noyaute la société Screg Batiment. Il était responsable des pertes de cette société, mais bien qu’il n’y fut pour rien, il fut honorer des gains de cette société, ces gains étaient la conséquence d’une guerre de succession, Madani Sow avait hérité d’un carnet de commande, d’un vieux briscard de chez Bouygues.
Jérôme Rebena, était chef de service commercial du public, c’était le pendant de Cyrille Ferrand. Jérôme était un personnage raffiné, fort diplomatique, c’est peut être pour cela qu’il avait été choisi, pour finir la guerre en le privé et le public, de toute façon la hiérarchie avait choisi que cela serait Cyrille Ferrand qui enlèverait le morceau. Jérôme savait dans quel monde, il habitait, il avait un rôle de modestie et il tenait sa place avec un brin de synisme qui formait son humour. Même si je ne suis pas dupe du personnage, j’apprécie beaucoup le personnage de Jérôme Rebena. Par voie détournée, il me prévint que le pouvoir m’avait mis sous écoute, mais j’étais dans un autre monde. Dans une autre vie Jérôme serait devenu un ami, il avait épousé une Isabelle, qui n’était pas polytechnicienne, mais qui avait des frères polytechniciens. Jérôme devait souffrir d’être partout petit, mais il avait de l’élégance.
Eric Delehayes, conducteur de travaux, je faisais semblant de le haïr ce qui n’en est rien, je masquais ainsi ma haine véritable et ma jalousie pour Michel Bouder. Cependant Eric Delehayes n’était pas de mon camp, il était l’ami de la bande à Cyrille Ferrand, ils avaient l’ambition de monter ensemble, de la sorte, il noyautait la société, il ne pouvait pas être responsable, les autres faisaient ce que l’on peut appeler vulgairement l es merdes, et ceux sont les autres qui se sont fait virer, pendant qu’eux ils grimpaient. C’était une pourriture, mais il avait une famille à nourrir, il n’était pas pire que cela. Il est vrai qu’il m’a fait le chantage a la dénonciation pour les impôts, a l’époque je ne payais pas mes impôts et mes ennemis le savaient, dans le fond c’est ce qui m’a protégé, mais depuis j’ai du rentrer dans le rang et revenir vers la légalité, pour ne pas être attaqué.
Il y a bien d’autres personnages et une société de bâtiment ou tout société humaine est pleine de personnage, mais j’ai oublié et je suis introverti si bien que je me lie peu, j’ai oublié les autres, il y avait bien des secrétaires dont j’aurais pu tomber amoureux , mais j’étais trop timide, il y a bien une conductrice de travaux de l’équipe d’ Eric Deleshayes, dont j’étais amoureux Marie Laure Pillard, mais elle ressemblait trop à Isabelle et avec toutes les femmes comme Isabelle c’était impossible, l’ennui c’est que je n’aimais que les femmes comme Isabelle, si bien que la vie était impossible pour moi.
Il y avait le bureau d’études, le bureau d’études avaient été supprimé, ce qui avait eu pour conséquence de plonger l’entreprise dans des difficultés, si bien qu’avant mon arrivée chez Screg Bâtiment, ils avaient recréé le Bureau d’études. Ils avaient choisi un chef consciencieux, Pierre Guindolet, Pierre était la pour faire le jeu de Cyrille Ferrand parce que c’était la bande qui accédait au pouvoir et qu’ils étaient tous omnibulés par ce pouvoir. D’ailleurs pour expliquer ce qui m’est arrivé, l’omnibulation du pouvoir est une bonne explication, le pouvoir rend fou et aveugle. Pierre Guindollet était le fils ainé d’un paysan, il aimait la terre, mais il avait fait des études et laissé la propriété familiale à son frère cadet. Pierre Guindollet rechoisira la terre le moment venu et reviendra à ses premières amours, mais en fait c’était un traite à ses hommes, pour complaire au pouvoir. Il abandonne toute moralité pour le pouvoir, être fidele a un homme pareil était peine perdue. Cet homme a vendu son âme, dans le fond je le plains, il a sacrifié cette vie a cette abomination vile. Il m’avait dit « tu pourrais être a ma place » , je ne le crois pas, je suis droit et ils avaient besoin de fourbe.
Yves Duthoit était le second du bureau d’études. Ils avaient été charpentier, mais avait eu un grave accident. Son heure de gloire, il le connu avec Yves Gabriel, qui eu une carrière brillante chez Bouygues et qui fut le fondateur de Screg Batiment. Yves Duthoit avait voulu comme moi devenir prêtre et s’était marrié. Il avait tout du prêtre défroqué, il était un vrai catholique plein d’hypocrisie. Pour lui, comme beaucoup de chrétien, la corruption n’était pas un problème, ils appliquaient lâchement les mots du Christ « rendre à César ce qui est à César. » Aux dernières nouvelles, Yves Duthoit travaille pour l’archevêché de Paris et accepte les cadeaux des entrepreneurs. Il y a des grands thèmes comme la corruption où les chrétiens sont absents, par tradition ils sont complices du pouvoir et acceptent les règles, c’est ce qui a fait la fortune de la religion chrétienne cette collusion avec le pouvoir. Yves Duthoit est une petite pourriture haineuse, mais sans envergure, nul n’avait de l’envergure au Bureau d’Etudes.
Ho Do Anh, lui était un vrai personnage de roman, c’était un ancien lieutenant de l’armée Vietnamienne, on ne peut pas dire qu’il était d’extrême gauche comme moi, il s’en faut de beaucoup. Malgré de nombreuses différences, j’essayais de faire d’Ho Do Anh un ami, ce qui est impossible. Ho Do Anh avait été boat people et de cette expérience, il avait perdu la mémoire et avait du réapprendre à écrire. Ho était un menteur pathologique, cela faisait de lui un excellent négociateur, en plus de cela c’était un bon professionnelle qui avait la connaissance des prix, ce qui lui conférait un avantage. C’est parce que Ho Do Anh existait que j’avais suggéré la création d’une cellule achat, mais pour d’autres raisons Cyrille Ferrand était d’accord avec moi, si bien que cette idée aboutit. Ho Do Anh a une haine profonde pour moi parce que je suis un fils de famille et que je ne sais pas me battre, lui il a du se battre dans les rizières… Il me hait en raison d’une autre guerre sous des cieux que je ne connais pas. Si j’avais été au Vietnam, j’aurais été de droite, mais en France, je suis de gauche, bien que je n’aime pas cette chapelle, je ne suis à personne. Comme un enfant de bonne famille, je n’ai aucune reconnaissance et je suis indépendant, cela heurte l’idée que se fait Do Anh de la société.
Sylvie Marius, normalement j’aurais dû la remplacer parce qu’elle était en congés maternité et que un patron voulait s’en séparer, mais je suis droit, je ne fais pas cela à une femme. Sylvie aussi était droite, seulement elle disait du mal de tout le monde dans l’idée qu’elle avait d’elle-même d’être parfaite. Elle aurait pu faire virer du monde, par bonheur personne ne l’écouter. Elle demandait des renseignements, mais elle n’en donnait jamais, c’était somme toute un personnage antipathique qui se croyait meilleur que tout le monde. Elle m’avait dit « tu nous ennuie avec ton isabelle. » seulement je savais déjà que ma vie prive était connu chez Screg Batiment. Finalement, Sylvie ne m’a pas trop embêté, nous étions les deux seuls à travailler au bureau d’études, moi je faisais ce que personne ne voulait faire et elle, elle faisait le reste.
Aissa Mentfakh, petit technicien méthodes sans envergure, j’ai appris dernièrement qu’il était chiraquien cela ne m’étonne pas, les petites gens se font avoir par le mensonge et le lustre (pourtant éteint) de l’intelligence. Son père avait été un grand musulman. C’est Aissa qui me dit le premier qu’il y avait un parallèle entre la mécanique quantique et Dieu… C’est pour cela que je me proclamai inventeur de la métaphysique quantique. Aissa joua un rôle important, c’était une carpette chez Bouygues, cela n’est pas étonnant qu’il se battit pour le système.
Clara Durand Seidl, c’était la copine de Marie Laure Pillard. Clara en plus jeune ressemblait a Catherine Veillet-Michelet, bourgeoise, ambitieuse, sans moralité, j’en fis pour un temps une amie, elle fut même témoin à mon mariage, nous étions cinq. Elle a décidé d’opter pour la réalité du monde, être adulte c’est accepter la pourriture du monde et s’y faire, nous étions a l’opposer, d’ailleurs j’étais à l’opposer de tous les gens que je fréquentais. Elle savait mes malheurs, elle ne m’a pas prévenu, c’était une hypocrite comme tous les autres, l’humanité est fait d’hypocrisie et de bourgeoisie snobe et sans moralité. Je suis un Balzacien et plus j’ai vécu, plus je le suis resté.
J’avais lu d’ailleurs l’excellent bouquin de Balzac la morphologie du mariage et je dois dire que si les mœurs ont changé, il reste des invariants et l’amour est une arme d’accès au pouvoir, cela n’est pas étonnant que partout on m’a interdit l’accès à ce pouvoir, parce que je ne l’aimais pas, je n’aime pas la mentalité qu’il faut avoir pour y accéder, alors on m’en écarta dans ma vie privé et dans ma vie professionnelle.
C’est dans cette marre au crocodile que je suis revenu. Grace à quelqu’un ou quelque chose, ils savaient mes déboires amoureux avec isabelle, ils s’en amusaient, pour rire, ils avaient affiche des lettre de Frédérique Chopin a Georges Sand. Le puceau amoureux malheureux d’une vieille fille, cela les a bien fait rire. Et puis, il y avait un concurrent de moins dans la lutte du pouvoir, c’était jouissif, doublement.
Je me sentais néanmoins aller mieux moralement, alors je profitais de ce peu de force revenu pour reprendre contact avec Isabelle. Je n’aurais jamais du revenir chez Screg batiment, j’aurais du clarifier la position avec Isabelle avant.
Enfin, j’ai rappelé isabelle. Isabelle qui m’avait dit qu’elle ne m’aimait pas me parler toujours. Elle me dit que ses pasteurs protestants étaient incompétent dans la gestion du temple, sous entendu que cette tache devait lui être impartie, qu’ils aimaient les faibles et elle semblait sans plaindre, ne savait elle pas que Jésus Christ et Erik Worme adoraient les faibles.
Bref elle m’ennuyait profondément car isabelle est imbue de sa personne et que cela transparaitrait, quand soudain elle finit la conversation en me disant « je vais succomber ». Comme j’étais jaloux et que je croyais que Michel Bouder était son amant, je croyais qu’elle allait épouser un autre que moi, c’est alors que j’eu une très mauvaise idée.
Chapitre 6 : le complot démasqué
« Suite à cette conversation téléphonique, je suis de plus en plus jaloux et malheureux, je pressens un jeu de manipulation sur mon lieu de travail, cela me fait souffrir car je crois qu’un de mes collègues est l’amoureux d’Isabelle. Je vais voire Fred, je lui dis « j’aimerais que sur mon lieu de travail on me dise, après trois ans c’est fini avec une femme » Ho Do Anh mon collègue vietnamien me dit mot pour mot les mêmes choses, le complot est démasqué, je sais que Fred parle à ma DRH, mais je crois qu’Isabelle fait partie du complot. »
Quand je suis retourné au boulot après ce coup de fil, j’étais triste, tout le monde était heureux en amour, sauf moi, tout le monde se moquait de moi, je le pressentais. Si j’avais été optimiste, je me serais dit elle m’a dit « je vais succomber » et si c’était moi, cette pensée m’aurait guéri, mais le problème c’est que je n’ai pas eu cette pensée. Fred Saulnier travaillait pour une boite d’intérim dans la même banlieue que moi, nous allions de temps en temps au restaurant, je disais du mal de mes collègues, surtout de Michel Bouder, je me plaignais à Fred que mes collègues savaient des choses. Peut être que je me plaignais au bourreau. C’est pour cela que j’allais une fois de plus au restaurant avec Fred. Je me plaignais de perdre la mémoire courte, en fait j’ai toujours eu beaucoup de problème avec ma mémoire, j’ai perdu la mémoire de mon enfance, de ma jeunesse, des livres que j’ai lu, j’ai absolument tout oublié, si je suis un homme de culture, c’est parce que j’ai tout oublié. Cela est très invalidant, je ne peux avoir aucune conversation, je ne me souviens de rien.
Bref, nous sommes allés au restaurant avec Fred Saulnier. Je lui ai raconté la conversation téléphonique que j’ai eu avec Isabelle, sans lui dire le « je vais succomber », je lui dis sans lui expliquer le fond de ma pensée qu’elle m’ennuyait, comme les gens ne pensent qu’au sexe, il a crut que je me fatiguais sexuellement et il m’a dit que cela était tout à fait normal. Quatorze ans après, on peut se demander si je ne me fatiguerai jamais sexuellement avec Isabelle Veillet.
C’est alors très fatigué psychologiquement, car nous jouions faux, cela se présentait, je lui dis « j’aimerai que sur mon lieu de travail qu’on me dise, après trois ans c’est fini avec une femme. »
C’est alors que le miracle se produit. Le lendemain, toutes ses aventures me rendaient véritablement malade, j’étais au boulot, mais j’étais au trente sixième dessous, quand Ho Do Ahn me vit dans cet état, il me dit « Tu ne peux pas te mettre dans des états pareils, rentre chez toi et tu sais après trois ans c’est fini avec une femme. » Ils avaient décidé de donner le coup de grâce, Oui Fred Saulnier et Catherine Veillet Michelet avait révélé ma vie prive sur mon lieu de travail, oui mes collègues savaient tout la raison de ma maladie, mes malheurs, oui les Michelet étaient dans le coup, je n’avais pas de vie prive cela me rendait malade, la suite me montra où profond était le malaise, alors je ne le savais pas. L’ennui, c’est que je crus qu’Isabelle était à un autre qu’elle était dans le coup et que c’était une vengeance féminine de sa part. Alors j’acceptai mon destin, parce qu’Isabelle était dans le coup, je ne savais comment lutter contre tout cela.
Plutôt que de rappeler isabelle pour lui poser des questions, et pour savoir le fond de la Vérité, je partis en Corrèze pour me cacher chez ma mère. J’étais malheureux personne ne pouvait me comprendre, personne ne peut encore me comprendre, l’amour désociabilise, on est qu’à une seule histoire.
Je tenais les coupables, je n’avais pas rêvé, Fred Saulnier et Catherine Veillet-Michelet était vraiment des ordures, mais dans la vie je me suis égaré, je n’ai pas eu le temps de me préoccuper de leur cas, mais je n’ai jamais oublié le coup qu’ils m’ont fait. Ils m’ont écarté a tout jamais de la femme dont j’étais amoureux, ils ont rendu la chose extrêmement pénible, maintenant allez savoir pourquoi, il se trouva qu’ils avaient des alliés extrêmement puissant, si bien que l’histoire au lieu de s’éclaircir, commença à devenir de plus en plus obscure. C’est un peu la raison du fond d’une obsession, cette histoire revient sans arrèt dans ma tète, cela me rend fou, j’ai quitté une folie pour une autre.
Chapitre 7 : les écoutes téléphoniques
« Je suis dépressif, je ne guérirai jamais de cette dépression, en plus de cela le jeu de manipulation et cet amour contrarié me plonge dans la paranoïa, c’est alors que mes collègues dont Ho Do Anh, se mettent a continuer la manipulation, ils me répètent les mots de ma sexualité et les mots de mes lettres d’amour, je suis encerclé, je crois que c’est un coup de la franc-maçonnerie, je le croirais longtemps, c’est un coup des Michelet, qui ont des rapports avec le RPR, donc le pouvoir. Le pouvoir décide d’écraser un petit vermisseau, c'est-à-dire moi, je suis personne non grata dans le monde de la voyoucratie… Ils me poussent au suicide et au désespoir, je vais résister, survivre.
C’est alors que le miracle se produis, car il faut bien parler de miracle, l’adversité contre moi fut total, les gens n’aiment pas les branleurs, alors branleur et d’extrême gauche cela est trop pour eux. En plus, les gens d’extrême gauche ne m’aiment pas parce que je ne suis pas doué pour le complot et la démagogie, et que j’aime des héros de droite comme le général de Gaulle, comme André Malraux, même à la fin de sa vie, et Edmond Michelet, malgré leur errance d’homme de droite et leur faute car nous en commettons tous.
Mais voila, je travaillais pour le groupe Bouygues, groupe de BTP bien connu et ces hommes sont des hommes simples, soit c’est blanc, soit c’est noir, alors j’étais contre la corruption, contre le système, hors mon point de vue sur la corruption est simple, en tant que régulateur de marché, de la société, il n’y a qu’une solution c’est la corruption, seulement voilà, nous jouons sur les mots, cette corruption engendre une autre corruption et cette corruption tue la démocratie. On ne peut être contre la corruption, car cela serait la même chose que d’être contre la sexualité, mais peut on être pour le viol ?
En matière de viol, je vais vous raconter le mien, j’espère que cette histoire fera le tour de la France, c’est ma petite revanche à moi, je sais j’ai l’esprit mesquin mais cela fait 14 années que j’y pense, alors je vais vous narrer a quoi les gens de Bouygues jouaient avec moi. Je joue un jeu dangereux, je livre mon obsession, je livre ce qui me rend fou, c’est œuvre n’est pas thérapeutique, c’est une descente aux enfers.
Nous étions en 1997, Jacques Chirac, était au pouvoir depuis deux ans, J’étais seul comme d’habitude et comme j’étais seul. Il m’arrivait de me masturber, et j’en avais honte, c’était en fait l’essentiel de ma psychologie, c’est pour cela que je suis extrêmement introvertis, car je sais que je ne suis pas comme les autres. C’est pour cela que je n’aime pas les blagues de cul, parce que je me sens exclus, de cette société là, d’hommes machistes, je suis anti-machistes, c’est pour cela que j’aurais autant de difficultés dans la société néerlandaise où je vais émigrer, parce que je ne suis absolument pas machistes, les hollandais sont les toréadors des polders, ils me font rire, j’ai pitié d’eux. Pour m’aider à me masturber, j’invoquais le cul d’une secrétaire travaux, ce qui est étonnant parce que cette secrétaire travaux, je la voyais toujours assise, mais peu importe. Comme vous l’imaginez, j’étais seul chez moi et je ne hurlais pas.
Deux jours, plus tard au Bureaux d’Etudes de Screg Bâtiment, mon collègue Aissa Mentfak me demanda de sortir, je ne me méfiais pas, j’étais un peu zombie, mais pas à ce point, je le suivais et nous fîmes quinze mètres ensemble. Nous étions dehors, car il avait une porte d’entrée qui était tout à coté du bureau d’études et qui nous permettait d’entrée sans passer par l’entrée principale.
C’est alors qu’à cent mètre de nous nous vîmes cette secrétaire travaux, alors Aissa mentfak me dit : « Tu vois là-bas cette secrétaire travaux, quel cul, elle a ! » J’étais interloqué, ils avaient mis un système d’écoute chez moi et ils m’épiaient, le coup ne pouvait venir que de très haut, car ils avaient l’impunité du pouvoir, c’est pour cela que c’était pur folie de ma part de croire que le coup venait de la Franc maçonnerie, non le coup venait de Chirac lui-même, Yves Michelet avait donné ma lettre à Claude Michelet et l’avait fait circule dans le RPR, le pouvoir avait vraiment eu peur de cela, alors ils décidèrent de mettre le paquet contre moi.
Un peu plus tard dans l’année, j’avais un échange de lettres avec Agatha Oleksy qui va devenir Agatha Worme-Oleksy, c'est-à-dire ma femme. Ma femme m’avait écrit une lettre parce qu’elle avait subi les violences d’Ino son compagnon néerlandais. Agatha était venu en France, en 1985, elle avait gardé des enfants puis en même temps, elle avait poursuivi ses études, elle a fait une maitrise de langue anglaise. En France, un homme a tenté de la violer, parce qu’elle était sans papier, elle a connu la précarité et na jamais pu régulariser sa situation. Elle est tombé amoureuse d’Ino et grâce à lui a obtenu la nationalité néerlandaise, elle est sortie grâce a lui de cette précarité, mais leur relation a été mouvementée. Au début de notre relation avec Agatha, Agatha était toujours dans ce conflit, elle m’appelait Ino par erreur, et nous nous disputions fréquemment.
Je répondis à Agatha que j’avais connu le couple de mes parents qui était un couple particulièrement violent, et que ma mère avait même tenté de se suicider, pour dire le bonheur qu’a été le couple de mes parents et par conséquence, il était difficile pour moi, d’intervenir dans des histoires de couple. Les victimes sont parfois leur propre bourreau.
Puis je fis de la philosophie avec celle qui allait devenir ma femme, et j’utilisai une image, « je lui écris que les cartésiens, sont comme un homme en pleine mer, il joue les maximum relatifs, c'est-à-dire qu’ils se mettent en haut d’une vague, en faisant de la sorte, ils finissent toujours sur la plage. »
Quelques jours plus tard, dans le bureau d’études de Screg Bâtiment, Ho Do Ahn, mon « ami » Vietnamien vint me dire : « Je suis cartésien, mais je ne finirais jamais sur la plage ! » Et oui, ils lisaient aussi mes courriers, comment ai-je pu penser que le coup venait de la franc-maçonnerie, ils utilisaient de tel moyen contre moi que cela ne pouvait venir que du plus haut de l’état français.
Maintenant, j’essayais de faire par la suite de Ho Do Anh un ami, car je voulais qu’un jour il me die le secret du « je vais succomber » d’Isabelle Veillet, mais en fait ce secret, je le découvris tout seul. J’aurais voulu qu’ Ho Do Anh prenne le risque et me dise, « Nous t’avons mis sous écoute. » mais Ho Do Anh n’eu jamais ce courage, ils savaient que les forces qui s’étaient abattues contre moi étaient bien trop puissante, en fait, Ho Do Anh a peur. Je crois qu’il est cartésien et qu’il reste en haut de la vague du mensonge du pouvoir qui m’a mis sous écoute, et je pense qu’il va finir sur la plage.
En 2002, je vais revoir Ho Do Anh, il me dit que mon poste de radio pouvait me mettre sous écoute, je travaillais avec lui, pour une boite de BTP Hyper corrompu, la société Ballast Nedam, c’est parce que j’ai gardé un lien avec Ho Do Anh que je sais que je suis toujours sous écoute, par conséquent avec moi, il n’y a pas de rupture Sarkozienne, les hommes politiques à la française, sont bien mes ennemis, si bien que j’ai beaucoup d’ennemis.
C’est parce que j’ai tenté de faire de Ho Do Anh un ami que je sais que je suis toujours sur la liste rouge des hommes mal pensant en France.
En 2008, je me parlais à moi-même dans un parc de Zoetermeer, je me fis une histoire à moi-même, et je me dis à haute voix « Il vaut mieux le penser que de le faire. » Ho Do Anh m’appela un peu après et il me dit « Il vaut mieux le penser que de le faire. » Ho Do Anh veut peut être que je crois qu’il est une sorte de Dieu qui sait tout sur moi, ces hommes corrompus ont voulu jouer le rôle de Dieu a mon égard, ils savent que cela me rend paranoïaque, mais ils l’ont fait exprès, ils ont vraiment voulu me tuer.
Ce plan magnifique à échouer, pour l’heure, ma fin viendra bien sûr un jour, mais pas la fin des hommes comme moi.
En 1998, j’ai épousé Agatha Oleksy, mais j’aimais bien Marie Laure Pillard, elle aurait pu devenir une possibilité. Je fis des confidences à jean Marc Michelet, le frère de Véronique Saulnier. Il me dit « tu es grand, tu en imposes pourquoi tu as peur de Marie Laure Pillard, tu devrais lui parler chez Screg bâtiment, elle ne saura te refuser. » Je lui répondis « Marie Laure Pillard est une bosseuse, on l’a voit jamais au café, comment veux tu que je l’interpelle. » En fait, j’étais timide coincé, elle me rappelait Isabelle Veillet, cela me coincait encore plus, le lendemain Marie Laure Pillard vint pour la première fois au café. Les Michelet avaient décidé de répéter tous mes propos sur mon lieu de travail et Chirac avait décidé de me mettre sous écoute. Les Dieux familiaux étaient contre moi et les Dieux de France étaient contre moi, sale temps pour moi.
En matière d’écoute et de corruption, je suis très étonné des choses suivantes, je suis étonné de la haine totale des Michelet pour ma personne, c’est ma famille, ils m’ont enfoncé, je me demande comment est il possible de haïr un homme a ce point. Ensuite, beaucoup eurent vent de cette histoire, jusqu'à présent personne, ni dans ma famille, ni parmi mes amis, ne m’ont rejoins dans la lutte contre un pouvoir qui aliène l’homme. Ils ont vraiment voulu que je me suicide ou que je finisse fou, fou je le suis quasiment devenu, je n’ai confiance en personne, et cette histoire a renforcé une paranoïa naissante, J’étais follement amoureux d’Isabelle Veillet, alors ils s’amusèrent à me rendre fou.
Ce qui est particulièrement étonnant, c’est la loi du silence qui règne autour de la corruption des partis politiques. Nous devrions en France, dissoudre les partis comme le PS et l’UMP qui naquit du RPR, Nous devrions les dissoudre parce que nous avons fait l’évidence de leur rôle crapuleux dans la politique en France.
Il faudrait qu’un droit de délation soit accordé, tout le monde sait, mais tout le monde a peur, le pouvoir fait peur à tout le monde, c’est pour cela qu’ils m’ ont mis sous écoute pour servir d’exemple pour faire peur a tout le monde, si vous parlez on vous tuera, voila le message. Tout le monde est au courant, il faut qu’un vent de révolte se lève, il faut que la justice rentre en action, il faut juger la France pour que cela ne se reproduise plus.
J’espère que les juges qui jugeront Jacques Chirac auront bien lu mon ouvrage, parce que dans l’affaire des emplois fictifs, Jacques Chirac risque 10 ans de prison, il faut que les juges sachent que ces dix ans de prison sont amplement mérité. Vous verrez dans cette histoire comment ils m’ont tué, c’est pour que vous le sachiez. Le système Chirac va jusqu’au meurtre quand cela est nécessaire, rendre fou un homme c’est le tuer, cela n’a pas fait l’ombre d’un doute pour Chirac, le fait que j’ai écrit que « j’allais faire peter le système » était une menace a prendre au sérieux, alors il fallait me rendre fou, pour que personne ne parle avec moi. Seulement voilà, Jacques Chirac ne m’a pas tué, je reste en vie, et je reviens pour écrire ce livre pour que les juges de France fassent enfin leur boulot.
Evidemment, il n’y a pas de justice dans le pays, le règne des voyous a été instauré.
Maintenant devenir paranoïaque est aussi une grâce quand on n’en meure pas, grâce à Jacques Chirac, je fis une rencontre fabuleuse avec Dieu. Jésus Christ avait laissé dans l’histoire « laisser a César ce qui est a César et a Dieu ce qui est a Dieu. » jésus Christ a laissé un trou dans la corruption quand elle s’impose comme un système, mais Dieu a une opinion sur la question, il sait que l’homme est un loup pour l’homme, il sait tout ce qu’un homme peut faire a un autre avec un tel système.
En fait, comme j’étais fou amoureux et que je suis maniacho dépressif, quand le pouvoir m’a mis sous écoute, ils ont compris que j’étais fou, alors dans mon milieu, ma folie a été ma réputation, cette réputation m’a poursuivi, si bien qu’il n’a pas été difficile de masquer le scandale des écoutes, en plus les fous se plaignent toujours d’être sous écoute, alors cela a été un coup brillant. Ce qui me rend fou, c’est que je sais que cette réputation de folie m’handicape dans la société des hommes. En plus l’obsession de cette histoire, le refus de cette histoire tue mon cerveau à petit feu, je sais que je finirais dans un asile, si je continue à raconter cette histoire. Si bien que si je raconte cette histoire aux gens, les gens se diront cet homme est fou, et moi je ne comprends parce que moi, je ne fais qu’une seule chose dire la Vérité, dire la Vérité inlassablement, c’est devenir fou, cela me perturbe.
Chapitre 8 : Agatha Oleksy
« Parce que j’ai loupé avec Isabelle, je vais tout faire pour réussir avec Agatha, je vais m’accrocher à Agatha et décider que cela sera elle. Agatha me depucelle, j’ai 34 ans, cela sera un choc électrique, malheureusement, je vais louper ma fuite avec Agatha, je ne vais pas réussir à échapper aux écoutes téléphoniques »
Un malheur est toujours suivi d’un grand bonheur et un grand bonheur d’un malheur, c’est la météo hollandaise appliquée aux choses de la vie. Je suis bipolaire, cette succession de pic d’optimisme et de pessimisme, de blanc et de noir, fait partie de mon quotidien. Je meurs le soir et je revis le matin.
Après, le « je vais succomber » d’Isabelle Veillet, il était inutile de fréquenter les Saulnier, sachant leur rôle néfaste dans cette histoire, je ne savais pas à quel point ce rôle était néfaste, car je découvrirais un jour que « je vais succomber » était un message pour moi qu’Isabelle voulait devenir ma femme. Mais pour l’heure, elle était a un autre, alors je devais prendre un autre amour comme on prend le train pour plus être seul pour être bien. Ainsi, je fréquentais Jean Marc et Anita Michelet. Je gardais de temps en temps Emeric leur fils, quand ils voulaient sortir le soir. Je gardais Emeric, c’est beaucoup dire, je buvais une bouteille de rosé et je m’endormais à coté d’Emeric, en rentrant les parents me réveillaient, nous étions parents indignes et cousin indigne, mais il n’est jamais rien arrivé au petit Emeric.
Anita était une fille déjanté, à la grosse poitrine qui a fait fantasme la famille, c’était une fille nature, fille de militaire, simple, mais complètement mythomane. Comme elle était simple elle m’avait dit « ce n’est pas croyable, elle te regarde avec les yeux de l’amour et elle te dit « non ! » » Anita était simple, elle ne cherchait pas à me faire souffrir, le comportement amoureux d’Isabelle Veillet était étrange avec les hommes et cela est tombé sur moi. Peut être parce que mon comportement à moi aussi est étrange, qui se ressemble s’assemble, je rencontre des filles bizarres, parce que les filles normales, elles ont peures de moi.
Anita était simple, mais elle était complètement mythomane, elle racontait des histoires à son mari qui a d’abord trouvé cela drôle, car Jean Marc a toujours aimé les histoires, il aime raconter des histoires, ils allaient bien ensemble, seulement la mythomanie de sa femme était maladive et il a dû en souffrir, je crois qu’elle a finis par le rendre chèvre et puis Anita le trompait, fille de militaire cela pouvait paraitre réelle. Il aurait du soigner sa femme, mais cela n’est pas facile, il a fini par divorcer, son père Claude Michelet lui a dit « tu as fait une erreur, tu peux te reprendre » Il est devenu professeur d’histoire et sa femme informaticienne est bien sur tous les rapports, les Michelet sont des cons, Anita était une fille bien, complètement malade mais bien. Il ne faut pas se marier, c’est tout. Anita avait raconté à la famille Michelet, que son père était commandant en Chef de l’armée française dans le pacifique, cela a fait très forte impression, son père était simple brigadier chef, je crois qu’il garde un parking à Nantes. Anita faisait de la surenchère avec son mari, il avait dû lui tartiner sur la gloire des Michelet, Edmond ministre du générale de Gaulle, et son père Claude, écrivain de merde, mais a fort tirage, avec une renommé et une gloire qu’on ne prête qu’en France pour les écrivains. En fait, avec son frère Yves Michelet, tout écrivain a succès qu’il est c’est une vraie salope. (J’exagère, je laisse parler la bipolarité, en fait, Claude est un lache, c’est tout.) Mais Anita avait été impressionnée par le discours de son mari, Jean Marc, alors elle s’était inventée une famille glorieuse. On avait pris des renseignements, cela a torpillé la réputation d’Anita dans la famille.
En fait j’ai découvert le secret d’Anita, quand Anita a eu son deuxième enfant, sa mère est venu l’aider, je n’ai jamais vu de ma vie une femme incapable de prendre un enfant dans ses bras, je n’ai jamais vu une telle répulsion. Anita a été élevée par une femme qui ne sait pas embrasser qui ne sait pas dorloter, alors Anita avait elle aussi ses fêlures, elle plongea dans le monde des rêves, des histoires qu’on raconte et que les autres croient et malheureusement pour elle, ne croit pas toujours. Plus tard, je serais interné avec une mythomane, ce phénomène est tres étonnant.
En tous les cas, celle qui allait devenir ma femme est un peu mythomane sur les bords, elle adore rencontrer des gens et leur raconter des histoires, c’est pour cela qu’Agatha est rentrée en contact avec Anita. Anita alors était vendeuse dans un magasin de chaussure et les magasins de chaussure encore aujourd’hui sont la passion intime d’Agatha, si bien qu’elles firent connaissance.
Agatha Oleksy est une polonaise du sud de la Pologne, elle est née de l’union entre Jan et Salomea Oleksy. Ses parents habitaient et habitent toujours Nowy Sacz, la capitale de la Toscane Polonaise, dans la petite Pologne. Le pape est venu dans les environs, mon beau père l’a touché, c’était à Stare Sacz, je crois, mais je ne peux vous le certifier ma mémoire flanche par moment. Nowy Sacz est au milieu d’une campagne au paysage de moyenne montagne. Dans le loin, on voit les Tartra et certain doit deviner Zakopane.
Nowy Sacz est à 90 kilomètres au sud est de Cracovie. Cracovie est une ville formidable qui a su garder son âme, nous aimons aller dans le quartier juif, manger polonais, faire la place du marche et sa Cathédrale. J’aime aussi les petites histoires comme celle de ce dragon qui mangeait les vierges de Cracovie. Chers lecteurs sachaient que je suis désolé pour toi, car je ne suis pas doué dans l’art de la description, si bien que je ne pourrais pas te faire rêver en te racontant Cracovie et la Pologne alentour, mais si tu as un projet de tourisme va rencontrer l’âme de la Pologne, cela vaut le détour.
Ensuite à 60 kilomètres au sud de Nowy Sacz se trouve une petite bourgade, une ville d’Eau qui s’appelle Krynica, les princes austro Hongrois y allaient en cure. Il y a une petite station de ski, ma belle mère, y faisait de la luge étant jeune.
Je crois que ma belle mère était une sorte de petite chef, elle en a gardé la mentalité, et elle veut toujours tout régenter, il y a des frictions avec la petite Agatha, mais je ne comprends pas tout. Mon Beau père Jan Oleksy était chef comptable, malheureusement à l’âge de 50 ans, il a subit une grave opération, on lui a pratiqué l’ablation du trois quart de son estomac. Agatha avait émigré lors de cet événement cela reste une blessure pour elle, d’avoir du fuir son pays en laissant derrière elle son père gravement atteint.
Un autre événement qui a constitué la psychologie d’Agatha c’est qu’elle a été fille unique jusqu'à l’âge de 10 ans et alors elle eut un jeune frère, mon beau-frère Martin Oleksy. Elle comprit que les femmes ne sont rien et que quoi qu’elle fasse son frère est le préfèré. C’est peut être de la haine d’Agatha pour ses partenaires masculins, elle rentre en contact avec eux, mais elle les rejette profondément, c’est Jean Marc qui m’a alerté sur ce point de caractère d’Agatha et l’expérience m’a prouvé qu’il avait bien vu, mais l’amour rend aveugle, Dieu merci.
A l’âge de seize ans, Marcin envoie un marteau sur la tète d’Agatha, Agatha en gardera de profonde migraine, à moins que la cause soit ailleurs. Marcin et Agatha ont un lien très fort, ce lien est d’autant plus fort qu’Agatha va émigrer à l’âge de dix neufs ans. Le frère et la sœur ne se sont jamais connus.
Agatha va faire la connaissance des Esinga, une famille très sympathique de néerlandais, nous venons de perdre Jan le fils, dans un tragique accident de marche à pied dans les Alpes autrichiennes. Agatha a toujours gardé ce contact, c’est pareil Agatha a toujours gardé des relations avec une amie finlandaise. Pour dire que contrairement à moi, Agatha est un animal social.
Agatha est une adolescente à lunette, un peu timide, mais elle va tres vite sortir de cette timidité. Tres tôt, elle a connu des histoires d’amour avec ses petits camarades. Mais la vie est dure en Pologne, un jour elle se gèle les doigts de pieds, elle sera martyrisée, et devra subir une opération en Hollande. La vie est difficile et le travail de la mère l’empêche de s’en occuper même si régnera toujours l’amour pour Agatha. Mais Agatha se plaint d’avoir été élevée par sa grand-mère, en même temps c’est toujours délicieux d’avoir ces rapports avec ses grands-parents.
A dix huit ans, elle a la passion pour l’archéologie et participe a des fouilles avec ses copains, j’imagine qu’ils ont du s’amuser comme des petits fous. Ce que je reproche a Agatha, c’est que moi aussi j’ai aimé l’archéologie et l’histoire et que cela n’a jamais été des sujets de discussion avec Agatha le quotidien nous a rattrapé. Le quotidien tue l’amour. Nous n’avons pas de passion comme mon beau-père qui est guide de montagne et qui fait la visite à des groupes de touristes des Tartra Polonaises et Slovaques, la Slovaquie est toute proche de Nowy Sacz.
Non, nous avons eu très vite une vie triste et sans lumière, c’est probablement de ma faute. Non, c’est certainement de ma faute, je suis bipolaire sans imagination, j’ai tué avec mes angoisses le sens de mon humour, je me suis ratatiné, c’est ennuyeux à périr de vivre avec moi, cette histoire t’ennuie peut être toi aussi, mon cher lecteur.
Mais Agatha a dix huit ans et elle va mordre dans la vie. Elle rencontre un français qui s’appelle Philippe et de cet amour de vacances, elle va croire au grand amour. Elle étudie un an dans la crasseuse Cracovie, car les fours à charbon encrassent la ville, mais elle prépare son immigration pour Paris. Elle fait de longues files d’attente et obtient son visa de touriste pour la France.
Elle émigre pour la France, mais la c’est la déception, Philippe ne l’aime pas comme elle l’aime, elle s’est trompée, par bonheur la famille de Philippe sont des gens bien et accueille cette petite polonaise débarquée en France.
Je ne sais pas par quel biais, mais après, un séjour à Amiens, Agatha va débarquer à Paris. Elle va faire son rêve de petite fille, elle va habiter sous la tour Eiffel. Elle garde des enfants de riche et gagne sa vie de cette manière, en même temps elle apprend le français a la Sorbonne. Elle va vivre comme cela dans des familles de riche et dans la précarité d’une personne illégale en France. Elle en garde des traumatismes, elle ne peut pas sortir sans son passeport et cela la met en rage que j’oublie mes papiers.
Elle va connaitre un juif américain nommé Marc, où elle va connaitre une romance difficile, la famille juive américaine de Marc, refuse la petite polonaise, le mariage n’est pas possible.
Agatha s’installe rue Sambre et Meuse, avec une amie polonaise, Jaja. Jaja va rencontrer Arthur Morcysky et ils vont se marier, les Morcysky sont complètement différent de la petite Agatha fantasque et rêveuse, ceux sont des bourgeois bien organisés et bien rangés, mais parfois nous ne sommes pas semblable a nos amis.
Agatha travaille chez Philips en Angleterre, un homme a tenté de violer Agatha, parce qu’Agatha était sans papier. Agatha n’a jamais voulu m’en parler, mais il y a une grande blessure chez Agatha, son immigration en France a été difficile. En fait, j’ai cru qu’Agatha était un être blessé, parce que je suis moi-même une souffrance, les bipolaires croient que les gens leur ressemble, hors nous sommes par bonheur différent du commun des mortels.
Agatha fait une maitrise de langue anglaise et commence a travaillé, toujours avec un contrat illégal, elle n’a pas de papier en France. Elle va travailler pour un groupe d’ingénierie français, BCEOM, comme traductrice. Elle va découvrir les magouilles de la société française, les pistons, les passe droits et autres, je n’ai pas tout compris, mais Agatha va découvrir qu’elle n’est qu’une petite polonaise et qu’elle ne sera jamais invitée à la table des grands, cependant Agatha découvre comment cela marche et va le retenir pour son futur job de business développeuse.
Elle rencontre Ino, un égoïste dépressif hollandais, elle tombe amoureuse et vient le rejoindre en Hollande. Leur relation sera difficile. Agatha veut un enfant et il n’en veut pas, alors elle n’arrêtera pas de le tromper. Cependant, elle obtient la nationalité hollandaise et apprend sa cinquième langue, le néerlandais, Elle parle russe, polonais, anglais, français et hollandais.
Les six premiers mois, elle travaille pour un groupe d’ingénierie néerlandais qui s’appelle Tebodin, ils sont très connu, car ils appartiennent à Hollandse Beton Groep (aujourd’hui le groupe BAM, c’est un groupe de construction). Tous les jours que Dieu fait un collègue néerlandais d’Agatha va à son bureau et lui crie dessus. Bien venue en Hollande, Agatha ! Les groupe Tebodin de l’époque veut rentrer dans les marchés de l’Est, mais ils n’y arrivent pas, alors c’est la petite traductrice polonaise qui va faire signer à Tebodin ses deux premiers contrats.
Ses Collègues sont furieux et jaloux, alors au bout de six mois, ils la renvoient, en lui disant « nous avions besoin d’une secrétaire » Toute la vie professionnelle d’Agatha en Hollande sera une suite de vraie galère, ils lui feront comprendre qu’elle est polonaise et qu’elle n’est pas comme eux. Les ingénieurs et les groupes d’ingénieurs sont ainsi, ils sont corrompus et forme un groupe qui se partage le pouvoir, pour des hommes qui se partagent le pouvoir le succès d’une petite polonaise est impensable, alors il faut l’éliminer, Agatha a trop de talent, c’est insuportable pour un néerlandais, les hollandais vont me donner ma chance quand je n’aurais plus de talent, ainsi l’ingénieur maintient son pouvoir.
Avant que je connaisse Agatha, Agatha est allée de petit boulot en petit boulot, elle a même nettoyé les chiottes, elle a aussi travaillé pour des banques d’Affaires pour les nations unies. Elle allait de petit boulot en petit boulot et d’amant en amant, dans le fond, je me demande parfois si elle n’a pas été la plus heureuse avec son ouvrier de Rotterdam, mais la aussi, Agatha voulait tout changer, elle n’aura jamais été heureuse en amour. Je crois très franchement que je suis la plus grande calamité qu’Agatha est connue, épouser un bipolaire n’est pas une sinécure.
Bref quand je l’ai rencontrée rien n’aller plus avec Ino, elle était partie avec un autre copain Hollandais, Harold, ils étaient allés dans le Népal, a la découverte de l’Himalaya. Agatha et Harold se sont fâchés à mort, Harold s’était sous équipé, et il avait retardé l’expédition, si bien qu’Agatha a manqué de peu le Dailaï Lama. En fait, Agatha aura une romance avec un médecin australien, vraie ou imaginaire. Agatha a voulu me rendre jaloux, elle me raconte beaucoup d’amant, la Vérité est tout autre.
C’est dans ce contexte que j’ai fait la connaissance d’Agatha, quand je l’ai rencontré, je lui ai dis mon nom et mon âge, cela a fait rire Anita. En fait, pour des raisons différentes, nous voulions la même chose avec Agatha, je voulais connaitre l’Amour et fonder un foyer, elle voulait des enfants et en finir avec les aventures sans lendemain. Avec ses histoires de voyage, elle m’a ébloui, et moi, je l’ai rassuré, avec moi, elle avait un homme pour elle toute seule, c’est pour cela qu’elle prit trop d’emprise sur moi et qu’il sera difficile pour moi de m’en libérer.
J’ai fait une coure platonique a Agatha, elle aurait aimé que je lui saute dessus, mais cela a dut être un mystère pour elle, c’était la première fois qu’un homme devait se comporter ainsi avec elle.
Le premier soir, je la ramenais chez sa cousine Dagmaar prêt de la République, puis nous restâmes en contact.
Ensuite Agatha revins sur Paris, J’allais la voire chez Dagmaar et je fis connaissance de cette cousine polonaise. Dagmaar est une graphiste sur ordinateur et elle travaille et vie avec Philippe, un petit français, qui est graphiste comme elle, ils ont créé une agence de publicité qui s’appelle Fingerinzenoose. Au début, j’étais mal à l’aise d’être avec Agatha avec les autres. J’avais peur qu’ils découvrent que j’étais puceau et qu’il me casse mon coup.
A la première occasion, nous nous éclipsâmes et nous allâmes dans un café pour discuter ensemble.
Agatha avait une nouvelle pour moi, Agatha avait un contrat de six mois, chez un installateur de murisserie de bananes, c’était une nouvelle catastrophique pour moi, au début je pensais qu’Agatha viendrait me rejoindre et que nous allions vivre ensemble. Mais je commençais à aimer Agatha, alors il vint comme une évidence que je devrais aller la rejoindre.
Une autre fois, Agatha étais a Paris, je l’invitais au restaurant a l’Auberge Basque. Je me posais une question difficile devrais je lui parler que j’avais envie de lui faire l’amour ou pas. Puis, je me disais que je devais attendre. La soirée fut agréable, les vins étaient bons, j’ai complètement oublié la conversation, je me rappelle que je lui avais offert un cactus comme présent, et je me rappelle que nous nous sommes quittés devant chez moi, elle, elle est parti a son hôtel.
Puis, il y a eu la fois ou nous sommes montés en Hollande avec mon cousin Jean Marc. Je prenais du prozac, parce que j’avais souffert de dépression, mais quand nous sommes arrivé à Delft, nous sommes allés directement dans un coffee shop, avant nous avions bu une bière. Jean Marc me commanda un B52. Je fus complètement déchiré, j’étais dans un plein délire, je dus retourner à la voiture. Je me rappelle que j’avais peur de me masturber dans la voiture devant tout le monde. J’avais finalement une voiture de fonction chez Bouygues, c’était une peugeot 106, j’utiliserai cette voiture de fonction pour déménager en Hollande. Comme j’étais viré pour faute grave, le groupe Bouygues portera plainte contre moi, je crois que ces gens là sont du coté de la loi.
Bien sûr, nous loupâmes, le rendez vous, avec Agatha, nous allâmes a Hoorn ou habite l’une de nos cousines Elina Vandermeeren, ils se moquèrent de moi. Dans la voiture, j’étais effrayé à chaque fois que nous nous rapprochions d’un autre véhicule. Le soir cela allait mieux, nous allâmes dans un bar et Jean Marc se ridiculisa devant une jeune hollandaise, Bref en matière de drague, nous sommes tous nul sauf de rares exceptions.
Le lendemain, nous fîmes le rendez vous avec Agatha, Agatha était fâché mais elle était amoureuse, elle faisait très attention de ne pas recommencer ses erreurs du passé. Ino amena Agatha à ce rendez vous, il me mit littéralement la main d’Agatha dans la mienne, il repaira ma gaucherie.
Une fois, encore, j’allais a un rendez vous en Hollande à Zoetermeer, une ville nouvelle de la Hollande, j’étais prêt du théâtre, il faisait gris, alors j’ai eu peur, j’ai eu envie de partir, cela fait treize ans, je vie encore à Zoetermeer, l’amour fait faire des choses incroyable dans la vie.
La romance durait depuis six mois, cela commençait à faire longtemps, alors nous décidâmes d’aller un weekend à Brugge. Est-ce que cette histoire allait elle finir comme avec Isabelle Veillet, il ne le fallait pas, je ne le voulais pas. Mais à Brugge, je décidais que la chose resterait platonique. Une fois, nous étions seule chez Luc et Suzie Delatower, nos amis belges, mais je ne craquais pas, je restais de marbre. Nous nous étions donné rendez vous a Delft, donc j’étais monté de Paris jusqu'à Delft pour aller chercher Agatha, Agatha abusait de moi, mais j’étais amoureux. Je parquais ma voiture à l’extérieure du centre de Delft, et j’essayai de la retrouver, mais je tournais en rond, j’étais très déconfit, j’allais la louper pour si peu.
Puis je les trouvais, ce coup ci elle était venue avec son ami Ron. Avec Ino, ils s’étaient battus, Agatha avait appelé la police et elle avait obtenu des compensations financières. Au début, j’étais jaloux, le plus grave de mes défauts est que je suis jaloux avec les femmes, je devrais penser que des fois le seul concurrent c’est moi.
Nous allâmes donc à Brugge. A Brugge, nous renconterons sa copine Ines Eisenga, moi j’étais toujours mal à l’aise avec les copines, parce que j’avais peur d’être jugé. « Un puceau non t’es folle Agatha, va t en ! », voilà l’objet de ma pensée.
Nous avons fait la visite de Brugge, Agatha adore les magasins. Je me rappelle qu’Agatha voulait absolument éviter les erreurs du passé, elle me demandait « est-ce que je me mettais facilement en colère. » Je n’avais jamais été en couple, je ne pouvais répondre a cette question, je répondais néanmoins que « Non ! » assurément non, mais je m’en fis par la suite le reproche, car dans notre vie de couple je fis subir a Agatha beaucoup de mes colères, je le fais toujours.
Je me souviens que nous sommes allés a Zeebrugge, que nous nous sommes assis au clair de Lune sur un quai que nous nous sommes à peine touchés, que nous étions bien, nous étions amoureux, nous n’avions pas fait l’amour.
Avant de partir pour Brugge, nous étions passe chez Agatha, je lui avais offert un numéro 5 de Chanel, elle avait appelé cela des eaux d’espoirs, beaucoup de nos espoirs ont été bafoués, nous sommes malheureux pour beaucoup de raison, les hollandais autour de nous, continue à nous faire souffrir, ils n’aiment pas les gens ambitieux, alors ils les cassent pour leur dire « Ici c’est chez nous. » Et parce que l’ambition est parfois maladive, alors ils se mettent à l’écard des malades.
Je me souviens aussi que nous sommes allés a Ostende sur la plage et la mer du Nord et que j’ai vu les seins de ma femme pour la première fois que je les ai trouvé trop petit, bien sur je suis toujours insatisfait, mais que l’un dans l’autre ces petits seins étaient bien à mon goût.
Cela faisait six mois que nous nous fréquentions avec Agatha, c’était trop long, il fallait que quelque chose arrive. Il faut dire qu’Agatha voulait que cette relation aille plus loin. Comme moi, j’étais puceau, il y avait une chose en moi qui le savait, mais il y avait toute une partie de mon être qui ignorait ce qui allait se passer. En fait, je ne croyais pas possible qu’une femme puisse vouloir faire l’amour avec moi, ce que tout le monde sait comme étant possible me semblait magique, invraisemblable, je savais bien qu’il allait se passer quelque chose avec Agatha, mais quoi je l’ignorais. C’est pourquoi je fus très heureux qu’Agatha prenne les devant. Après notre voyage à Brugge, Agatha était frustrée qu’il n’y a pas eu de sexe. Agatha travaillait pour Imperator comme business développeuse, alors elle avait tout loisir d’organiser des voyages d’affaires partout en Europe. Donc quinze jours après Bruges, elle me dit qu’elle faisait un voyage d’affaires a Paris, en fait elle voulait me rencontrer, c’est ce qu’elle me dit, la vérité c’est qu’elle voulait plus mais cela était dans le nom dit, ce qui est délicieux chez une femme c’est que tout est dans le non dit. Une femme ne dit jamais « est-ce que tu veux coucher avec moi. » en tous les cas cela ne m’est jamais arrivé. Peut être qu’une femme sent si je lui dis que j’ai envie de coucher avec lui, je vais devenir son jouet, et elle ne le veut pas, d’une certaine façon, les femmes que j’ai rencontré dans ma vie veulent dominer la situation, alors comme elles veulent dominer la situation, elles laissent l’initiative à l’Homme. Comme cela dans la relation elles disent c’est toi qui m’as aimé, c’est toi qui m’as voulu. Les femmes que j’ai connu, n’assume pas leur libido, elles sont incapables de dire, j’ai envie de vous Monsieur Worme, j’ai envie que vous me fassiez des choses, comme j’aurais aime dans ma vie qu’une femme me dise ces choses la, en même temps, je ne suis pas déçu que la vie m’ai fait attendre, l’attente est une richesse, le fait de ne pas avoir connu l’amour, de ne pas saisir la clef dans la relation homme-femme est une richesse chez moi, je suis un handicapé, c’est préférable à savoir comme mon frère Laurent sait, comment cela marche, car les hommes qui savent comment cela marche fatalement en abuse, moi je n’ai jamais abusé de ce savoir, je n’ai jamais manipulé, le destin a choisi pour moi, je trouve que le destin a bien choisi, je suis heureux de cet handicap, ne pas savoir faire l’amour aux femmes, ne pas savoir le leur dire, c’est mon secret, c’est ma richesse.
Donc, je savais qu’Agatha allait venir à Paris, je savais qu’il allait enfin se passer quelque chose, mais en même temps, j’étais dans l’ignorance de la chose. Je savais quel jour, Agatha allait venir a Paris, j’espérais qu’elle passe chez moi, alors le midi, avant le soir de sa venue, j’allais acheter des draps propre parce que je suis un vieux célibataire et ma maman faisait la lessive, et tout n’était pas nickel, chez moi, alors je voulais la recevoir dans un lit propre.
Le midi, chez Screg Batiment, nous allions manger dans un centre commercial, dans une chaine de restaurant qui s’appelle Flunch, après le repas, je quittais sans rien dire mes collègues et j’allais faire mes courses. Si un observateur m’avait suivi, il m’aurait trouvé bien ridicule, j’allais en cachette préparer notre nid d’amour. Ces moments étaient délicieux, peu importe qu’on me trouve ridicule comme je n’avais pas osé lui dire « je veux coucher avec toi, Agatha » je ne pouvais savoir ce qu’il allait se passer. Ceci dit, si dans une vie en chiraquie, je devais faire ma publicité, je dirais que je n’ai jamais dit de toute ma vie a une femme, « je veux coucher avec toi. », c’est un handicap et c’est une richesse de ne jamais avoir prononcé ces mots, tout est arrivé comme par magie, je ne l’ai pas voulu et cela est arrivé.
Mais les choses après ces emplettes du midi, ne semblait pas arriver comme je l’espérais, Agatha avait d’autres projets, j’étais déconfit, Agatha avait planifié d’aller coucher chez sa cousine Dagmaar. Pour une femme d’affaires en voyage cela aurait du me mettre la puce a l’Oreille. Toute la communication se passa alors entre Anita et Dagmaar. Plus tard comme je suis paranoïaque, il me sembla que les choses s’étaient passé suite à un vaste complot de la gente féminine.
Bref, j’étais bien puni, j’avais acheté mes draps et Agatha allait dormir chez sa cousine Dagmaar, il me faudrait un jour dire ces mots difficiles « je veux coucher avec toi, Agatha. » J’étais triste, j’étais chez moi, car j’étais rentré tôt du boulot. La télépathie avec les femmes décidemment ne fonctionnait pas. Quand soudain assez tard dans le soir, j’eu un coup de fil d’Agatha. Elle était devant la porte de sa cousine Dagmaar, mais elle ne savait pas où sa cousine était. C’est pour cela que je crus à un complot de ces trois femmes pour qu’il se passe ce que je voulais comme un fou. Agatha était devant la porte de sa cousine, mais sa cousine n’y était pas et Agatha n’avait aucun endroit à Paris pour aller se coucher, comme je suis d’une nature naïve et que je suis un homme droit, je le crus, je voyais la femme que j’aimais en péril, seul dans Paris, sans savoir où aller. Alors elle me dit, qu’elle irait bien chez moi, comme je suis couillon, je ne pensais même plus à l’acte d’amour, je ne pensais même plus a mes préparatifs, je pensais qu’à sauver cette pauvre âme en péril.
La candeur a ses beautés, j’étais candide, j’étais candide, mais j’ai eu de la lecture et j’avais lu Jacques le fataliste et je me souviens très bien que Jacques le fataliste s’était fait depucellé trois fois, je dois dire que comme moi-même je suis un puceau né, j’aurais bien aimé me faire dépuceller trois fois.
Mais, j’étais comme un chevalier, j’allais sauver cette pauvre petite fille, toute seule a Paris, comme si Agatha avait besoin de moi pour la sauver. J’allais donc, chez Dagmaar, chercher la femme qui allait devenir la mienne. Je la trouvais en bas de l’appartement de Dagmaar. Nous nous retrouvions pour faire diversions pour ne pas aller au cœur du sujet, nous dissertions sur l’absence de Dagmaar. Où est-ce que cette sacré Dagmaar pouvait bien être, cela nous intéressait, comme si nous étions intéressés par cela.
Nous étions hypocrite dans notre approche l’un de l’autre, mais cette hypocrisie n’était pas une vraie hypocrisie, nous faisions de la sorte pour préserver notre intimité, nous ne voulions pas nous avouer à nous même que nous avions envie de nous, nous gardâmes ce secret entre nous.
J’avais tout nettoyé chez moi, si bien que j’offris à Agatha la possibilité de prendre un bain. Agatha se garda bien de dire ce qu’elle me révéla par la suite que l’endroit était horrible, était glauque, cela n’est pas étonnant que dans un pareil endroit, je fis une dépression. J’habitais douze rue Notre Dame de Lorette, dans un appartement sur cour, au premier étage, autant dire que nous ne voyons pas souvent la lumière. Mais nous étions à Paris, les lumières étaient dans la ville, pas dans mon appartement.
Ainsi, nous discutions un peu le soir, mais il était tard, nous nous endormions, j’avais complètement oublié de dire a Agatha « je veux coucher avec toi. » En fait, j’avais complètement oublié le sexe, j’étais au spectacle, Agatha était l’actrice et j’observais et j’admirais.
C’est au matin que nous nous réveillâmes et tout un coup, comme par magie, nos corps se joignirent, nous faisions l’amour, c’était incroyable après si longtemps je faisais l’amour à une femme, je sentis une décharge électrique. Cela s’est passé naturellement, c’était merveilleux, je n’ai jamais senti depuis la magie de la chose, les choses sont artificielles pour moi, là pour la première fois, la chose était naturelle, magique, c’était merveilleux.
Je devais aller au boulot, alors je laissais Agatha derrière moi, mais comme j’étais dans un autre monde, j’enfermais Agatha derrière moi, c’était peut être un fantasme, je voulais la garder pour moi.
Arriver au boulot, je passais devant le service travaux, ce coup-ci j’étais fier, je passais devant Yves Duthoit qui se trouvait avec des conducteurs de travaux dont j’ai oublié le nom, peut être un certain Castagnet, mais j’ai oublié. Ils avaient une conversation et de façon étonnante, ils parlaient de moi, ils disaient « cela doit être une expérience unique pour un homme comme Erik Worme. »
Comment était il au courant, cela devait être mon jardin secret, mais oui, il y avait les Michelet et il y avait les écoutes de Chirac, ce qui devait être de l’ordre de mon intimité, ils en discutaient, c’était un véritable viol de mon intimité. Plus tard, j’allais croire que Jacques Chirac avait voulu faire de moi, le roi de France et qu’ils m’avaient choisi parce que j’étais un impuissant avec les femmes et que l’impuissance est un mode politique qui va avec la fonction de roi, je l’ai appris en Hollande. Ils avaient fait comme avec le mariage des rois de France, les bourgeois avaient une oreille collée à la porte pour s’assurer que le mariage avait bien été consumé. C’est ainsi qu’ils ont fait avec moi, je comprends ce qu’il y a de traumatisant dans cette expérience et je comprends pourquoi certain rois ont pu devenir homosexuel.
Mais je ne prêtais pas une forte attention à cette conversation entre Yves Duthoit et les conducteurs de travaux, ils me sont restés d’autant plus dans mon esprit avec le traumatisme des mises sous écoutes de Chirac, mais j’anticipe sur le reste de l’histoire et je vous expliquerai plus tard la relation avec mes crises psychiques et les mises sous écoutes, car en effet les mises sous écoutes aggravèrent ma bipolarité existante et aggravèrent ma paranoïa naissante.
Ma paranoïa a des origines sexuelles, je suis puceau tardif et je ne peux garder le secret que j’adore me masturber et comme je ne peux garder le secret de mon intimité, j’ai du mal a évoluer en société, je suis mal a l’aise et je n’ai rien a raconter, ce qui fait que je reste reclus sur moi-même, ce qui constitue l’effondrement de mon psychique, j’aimerais être sociale et parler à des tas de gens, j’ai de tas de choses a dire, mais ces choses je ne les dis pas, car j’ai un terrible secret, je suis puceau et je me masturbe, c’est ma grande honte, c’est pour cela que je crois que je suis un vrai salopard, un être indigne. C’est bien pour cela que la mise sous écoute de Chirac fut a ce point destructif pour moi, car bien entendu ils s’en prirent a ma sexualité, c’est pour cela qu’ils me firent craquer, parce que j’avais dit que j’allais faire peter le système, ils firent peter mon système.
Mais pour l’heure, je suis dans mon monde, j’ai fais l’amour avec Agatha et je me suis fait une promesse, Agatha a été la première et elle sera la dernière, je l’aime et je suis heureux, je vais au boulot le cœur léger.
Mais j’ai laissé Agatha derrière moi et je l’ai enfermé dans mon appartement. Agatha m’appelle au boulot, elle est un peu énervé après moi, il faut trouver une solution pour la libérer, elle a des rendez vous dans Paris. Par bonheur, j’avais toujours un double de mes clefs chez ma voisine du dessus, Mme Guivarche. Mme Guivarche était une vieille dame et comme j’étais vieux garçon, j’aimais bien les personnes âgées, c’est pour cela que j’avais de bonne relation avec Luc et Suzie Delatower les amis belges chez qui nous étions a Brugge. Mme Guivarche avait eu un terrible accident de voiture ou elle avait perdu son mari. Elle avait de bonne relation avec tous les voisins, y compris mon voisin de droite qui était un ancien inspecteur de police. Je crois que l’inspecteur de police était un homosexuel, mais j’ai perdu la mémoire, je ne sais plus très bien. En tous les cas tout le voisinage s’entendait très bien, nous ne faisions pas de bruit et nous nous ne gênions pas les uns, les autres. C’est ainsi que j’appelais Mme Guvivarche et tout confus je lui expliquais que j’avais laissé ma bonne amie enfermée dans mon appartement et je lui demandais de la libérer et de lui laisser les clefs pour la journée. Mme Guivarche se moqua de moi, mais bien sur elle me rendit ce petit service.
Agatha pu aller à ses rendez vous dans Paris, nous nous retrouvâmes le soir. Quand nous étions a Paris, ils nous arrivaient de marcher dans la rue, nous nous tenions par la main. C’était la première fois que j’avais une femme à mon bras, je n’étais pas habitue, j’étais comme saoule, j’étais ivre de bonheur, cela m’arrivait à moi, j’avais envie de dire aux femmes, vous voyez, vous avez laissé passer votre tour, j’aurais aimé qu’elles fussent jaloux qu’elles se pendent à mon coup. Mais je m’étais fait une promesse qu’Agatha serait la première et la dernière, je me trouvais assez infidèle avec moi-même.
Agatha avait du se rendre compte que j’étais bizarre, je n’avais pas été honnête avec elle, je ne lui ai pas dit que c’était la première, cela est resté comme un non dit entre moi et Agatha. Nous revîmes Jean Marc et Anita. Jean Marc dit à Agatha que son cousin était bizarre, il lui dit que j’étais puceau et que j’aimais fréquenter les putains. Agatha essaya tout le temps de me faire honte sur ce point. Elle me dit « je n’aime pas les hommes qui aiment les putains. » Par certain coté, elle avait honte de moi, elle me rejetait. Elle m’aimait, mais elle me niait pour tout ce que j’étais, elle aurait voulu que je sois différent. J’étais un ingénieur des mines et cela était déjà bien, mais j’aurais du être un peu mieux, j’avais des cotes glauques qui déplaisaient.
De l’autre coté, Jean Marc me dit qu’Agatha niait ses amants qu’elle leur manquait de respect et qu’elle les rejetait. Cela n’était pas tout à fait faux, mais il sema le vent de la zizanie entre nous.
Dans les premiers temps, nous fréquentâmes l’amie japonaise d’Agatha de passage à Paris. Agatha était cruelle avec moi, elle se moquait de moi en anglais, puis elle disait que je ne comprenais pas bien. Je me rappelle que son amie japonaise voulait nous prendre en photo et qu’Agatha refusa d’être prise en photo avec moi.
Il y avait un japonais brillant qui faisait un MBA en France, elle le draguait éhontemment et elle me disait que je ne comprenais rien, j’étais malheureux, j’avais l’impression de ne pas être assez bien pour Agatha. Au début, elle voulait me rendre jaloux, car elle avait remarque que j’avais une nature jalouse. Au début qu’en je suis allé la voire, elle me fit croire qu’elle vivait un grand amour avec un gentleman farmer qu’elle avait rencontré en Equateur, il lui avait fait découvrir sa propriété en hélicoptère, c’était le rêve. Mais en fait, Agatha vivait un grand amour, c’était avec moi, je crois que dans les premiers temps de notre relation, je l’ai vraiment rendu heureuse. Il faut dire que j’étais le jouet d’Agatha, comme c’était la première, j’étais sous le charme, j’avais une véritable adoration pour Agatha, je la regardais avec des yeux attendrissant, elle était sous le charme de l’impression qu’elle faisait sur moi. Les femmes sont amoureuses du fait que les hommes les aiment.
Au début, elle me rendait jaloux, elle était cassante avec moi qu’en nous étions avec les autres, mais une fois seuls, elle me faisait l’amour, la chose m’étonnait.
Puis Agatha dû rentrer en Hollande. J’étais énervé parce que nous avions fait l’amour sans préservative. En délirant, je pensais que j’étais Papa, la pensée que moi, l’impuissant j’avais fait mouche du premier coup me gonfla d’orgueil, je voulais en parler à Jean Marc et lui dire tu vois les Worme du premier coup cela marche. Je voulais revoir Agatha, j’étais surexcité, je téléphonais à Agatha, elle avait l’habitude, elle me calma et me dit que nous nous reverrons qu’il fallait laisser faire le temps. J’avais peur que la relation à peine commence s’achève.
Il faut dire qu’a l’époque, ma sœur Valérie avait eu la maladie de Eutchquine, je m’en suis voulu, car ma dépression m’empêcha d’avoir de la compassion pour le cas de Valérie, mes histoires d’amour triste avait complètement oblitéré le cas dangereux de Valérie. Valérie avait été au porte de la mort, j’ai failli de ne pas m’en rendre compte, je m’en serais voulu toute ma vie.
Valérie était en chambre stérile a l’Hôpital Henry Mondor de Créteil et j’étais allé la voire et pour aller la voire j’avais arrêté de fumer. Agatha pensa toujours que j’avais arrêté de fumer quand nous nous sommes fréquentés, mais la raison c’était la maladie de Valérie. Peut être que c’est les deux dans le fond. En tous les cas, moi j’ai arrêté de fumer définitivement et Valérie après sa chimio a repris. Quand je suis allé voire Valérie, je ne lui ai parlé que d’une seule chose d’Agatha : Allait elle devenir ma femme, était ce sérieux, bref je pense que j’ai diverti Valérie de sa maladie, parce que je n’avais qu’Agatha en tète. Je m’en suis voulu, je me suis dit que je n’aimais pas assez Valérie, puis l’idée est passée. Je suis un vieux célibataire, je m’en veux mais je me pardonne toujours.
Puis en fait, nous nous sommes fréquentés moi et Agatha. J’ai passé un an à travailler a Paris et aller la voire en Hollande. Apres Ino, Agatha habitait une chambre d’étudiant que louer un être glauque Folerin, qui avait fait fortune comme maraicher. Il louait cinq à six chambres d’étudiants, avec une cuisine commune, un séjour avec la télé, et les douches communes, mais à vrai dire c’était un vrai taudis. C’était très romantique de retrouver Agatha dans sa chambre d’étudiante.
Au début de notre relation dans cette chambre d’étudiant, Agatha dormait sur un lit de camp et moi, je dormais par terre au pied d’elle, je lui demandais la permission pour lui faire l’amour, Agatha en fut très étonné, ceux sont ces choses qui firent qu’Agatha m’aima un peu. Ce qu’il y a de délicieux dans la relation avec un puceau, c’est que le puceau ne sait pas, alors il demande la permission pour tout.
Nous faisions du vélo, ensemble, je n’arrêtais pas de regarder Agatha, elle me disait qu’elle sentait mon amour. Elle avait mal au cœur, peut être était elle de santé fragile, j’étais inquiet, Agatha aimait cela. Je me rappelle que six mois après son anniversaire, elle était venu dans un magasin de ski avec moi et qu’elle s’était acheté des chaussures de ski, au moment de payer, je compris brusquement que c’était moi qui devait faire la carte bleu. Je n’étais pas content, j’aurais voulu qu’Agatha me demande, mais Agatha fus cruel avec moi. Si on voulait Agatha, il fallait payer. C’était de la maladresse du coté d’Agatha, Agatha n’était pas si intéressé.
Cependant, Agatha s’était acheté un appartement sur plan, nous vîmes toute l’année la construction de ses logements, nous allions habiter au 20 ieme étage d’un immeuble de 21 étages. En tous les cas, Agatha financièrement était obligé d’avoir une relation avec un mec pour se payer son appartement. Ce fut un non dit entre nous, mais ce mec c’était moi. Agatha en s’offrant une histoire d’amour avec moi, c’était construit un appartement. En fait, cela était très romantique, nous allions voire la progression des travaux toute cette année de notre amour naissant.
Puis Agatha eu un voyage d’affaire à Malte, un congrès ou quelque chose comme cela sur les murisseries de Banane. C’est naturellement qu’elle me proposa d’aller la rejoindre. Evidemment, j’accepter, c’était si romantique. En fait, c’est grâce à Agatha que je me remis à voyager.
Agatha me conseilla la compagnie aérienne pour Malte, Air Malta et bien que pas très débrouillard, je pris un ticket d’avion pour Malte. Agatha voulait s’avoir si j’avais un passe port. Il fallait aussi un visa, je crois.
Agatha vint me chercher à l’aéroport et nous passions un séjour de quatre jours A Malte. Nous visitâmes Lavalette, et son musée, ou j’admirais la décollation de Saint Jean Baptiste de Le Caravage. Je décidais d’envoyer une carte postale a Jean Marc en le prévenant que c’est ce qui arriverait a ceux qui parlait trop, je me plaignais du fait que les Michelet parlaient dans mon dos, surtout dans ma boite.
Bien que nous étions au début de notre relation sexuellement ce séjour fut désertique, Agatha faisait avec moi une fin, elle ne veut pas la folie en matière de sexe, cela m’a gêné a l’excès, mais pour ce séjour, cela ne posa aucun problème pour moi, certains hommes acceptent des rapports très asexuelles avec les femmes.
Ce qui m’étonna à Malte ce pays latin, c’est de voire de jeunes étudiantes en uniforme comme en Grande Bretagne, c’est que cette ile a garder des petits cotes de la présence britannique.
Nous louâmes une voiture, il fallut que je m’accommode de la conduite a gauche, au début je cherchais le levier de vitesse du mauvais coté. A l’époque Agatha n’avait pas le permis de conduire qu’elle passa pendant notre mariage, si bien que c’était moi qui devait conduire.
Il faut dire que ce voyage était un véritable renouveau pour moi. D’habitude, j’allais en vacances à Perpezac Le Blanc, un village de cinq cent habitants en Corrèze. Je ne fréquentais personne, je ne connais personne de mon âge à Perpezac Le Blanc. Non, j’aimais la campagne parce que je suis végétatif. Quand j’étais jeune, je faisais du vélo, ce paysage de colline me plaisait, en plus j’aimais aller au bout de mes forces pour tuer la bête. Perpezac Le Blanc est le village qui a inspiré Claude Michelet pour son Saint Liberal, autrefois le chemin de fer passait dans le village et conduisait les villageois a Brive La Gaillarde. Plus tard, un bus remplaça le chemin de fer. J’allais aussi parfois à Marcillac et mon parrain Claude Michelet me recevait de bonne grâce. Je n’étais pas très bon convive et je crois que mon oncle Claude ne m’a jamais aimé, mais il était mon parrain et j’étais le chouchou de Bernadette. Bernadette se moquait du fait de mon inhumanité, elle aurait aimé qu’un de ses enfants fasse les études que j’avais faite. En effet, étant jeune, j’étais naturellement doué pour les mathématiques, il n’y avait que cela qui m’intéressait, en plus de mes chères livres, je ne faisais que cela, j’étais reclus du monde, je n’avais pas d’ami, je lisais. Pour faire plaisir à mon père, j’avais fait des études d’ingénieur, j’avais étudié à l’école des mines de Nancy. Je ne connais rien de Nancy, je me souviens uniquement de ma chambre d’étudiant, de la salle de télévision et du bar des élèves. Je suis quelqu’un de profondément triste et sans gout, sans mémoire, sans histoire. Une vie en chiraquie et la vie d’un homme qui a perdu la mémoire, sauf pour des choses qui le rendent fou, et des choses mentales, perdu la mémoire des paysages, des gens et de leur conversation, j’ai tout oublie et je raconte péniblement ce qu’il reste.
En plus de ces vacances en Corrèze, il faut dire que mon frère a épousé Rene Bushore, une américaine, ils ont vécu a Paris, ils ont même vécu 12 rue Notre Dame de Lorette, jusqu'à ce que mon père me préfère comme locataire. Ensuite Laurent et René ont eu un fils qui est mon neveu et filleul, je suis d’ailleurs un parrain indigne, je ne lui parle pas, je ne lui écris pas, je ne lui fait aucun cadeau, si une vie en Chiraquie est un succès, ce que je doute, mais ce que mon Dieu m’a promis, je lui dédie ce récit, et j’espère que comme médecin, il trouvera le remède pour les bipolaires comme son parrain. Quand Kévin fut tout petit, Laurent et René ont émigré aux Etats Unis. La mère de René avait une poliomyélite et était gravement atteinte. Au début, ils sont allés vivres chez les beaux parents de mon frère. Ils habitaient à Portland, Oregon et le beau père de mon frère avait construit sa maison. Laurent et lui jouaient au golf, ils s’entendaient bien, ils étaient de la même espèce. C’est pourquoi, je suis allé en vacances aux Etats Unis, pour aller voire mon frère, sinon je ne connaitrais pas les lieux.
Aux Etats Unis, j’ai loué des voitures et j’ai voyagé dans ces paysages infinis, dont j’ai oublié les noms. Les paysages de l’Oregon, état quasi désertique, sont grandioses. Ce qui m’a toujours étonné, c’est que des européens ont traversé l’atlantique pour vivre dans des villages du bout du monde, il y a ici ou là, soixante âmes, perdu de l’autre coté du monde. L’énergie de ces migrants qui sont allés civiliser l’autre bout du monde me sidère. C’est la grande force de l’Amérique, cette volonté de colon, qui sont allés vivre dans de tout petit village, refaire un monde, loin du leur. Moi qui par la suite est émigré avec peine, loin de chez moi, j’admire la force de ce peuple de migrant. Cela n’est pas étonnant que ce grand peuple domine le monde. Il a fallu s’extirper de la vieille Europe pour créer une civilisation nouvelle, sauvage, brutale. Moi qui suis dépressif, je suis dans l’admirance de cette énergie migratoire qui ont poussé loin de chez eux, ces gens venus d’ailleurs. Ce qui m’étonne en Oregon, c’est que ce flux est venu se perde dans des petits villages au bout du monde.
Bref, je n’ai connu que la Corrèze et que les Etats Unis, c’est une sorte de grand écart, mais en fait, je n’ai voyagé non pas avec des amis, je n’ai pas d’amis, j’ai voyagé avec ma famille. En fait, Agatha est devenue ma petite famille, j’ai eu deux vies, une vie avant Agatha, ou j’ai voyagé pour rejoindre mes proches, les Michelet, Laurent et mes parents, puis une vie avec Agatha, où Agatha m’a fait voyager partout dans le monde, non pas pour aller voire ses proches, mais pour découvrir des êtres inconnus, mais je ne l’ai fait que parce qu’elle était là.
C’est pourquoi, ce voyage à Malte, fut le premier pas d’une nouvelle vie. Avec la voiture, nous fîmes le tour de l’Ile, nous visitâmes les sites mégalithiques, l’ancienne capitale, ou nous montions sur des remparts qui avaient été témoin des luttes entre chrétiens et musulmans, déjà. Nous passâmes devant le théâtre du village de Popeye, un film qui a été tourne a Malte, nous vîmes l’Ile d’Ulysse et de la Calypso, couple mythique qui rappelle mon couple, tant il est vrai que le mariage est par bien des égards une prison, où le marie est tenu enchainer par sa femme. Nous vîmes des chasseurs d’oiseau, qui nous rappela aussi la prison des êtres libres. Mais au démarrage de l’histoire, nous ne vivions pas comme des condamnés, la condamnation est venu après, dans le piège que nous tend parfois la vie.
Le passage entre Cozo et l’Ile de Malte, nous le fîmes par un ferry, qui engloutit notre voiture, ce voyage court me sembla aussi extraordinaire qu’un voyage transatlantique, j’étais dépaysé. Sur le bateau, j’admirais les vagues qui venaient se briser sur le navire.
A victoria, la capitale de Cozo, nous primes un café et par la suite nous achetâmes un pull en laine vierge pour Valérie. Je crois que la laine vierge gratte tellement la peau que Valérie ne l’a jamais mis.
Notre hôtel était au Nord de Lavalette, et nous allions dans un village au restaurant, je crois une sorte de très mauvais restaurant chinois, bref Malte ne fus pas un grand souvenir, ni pour le sexe, ni pour le culinaire.
Je me souviens qu’Agatha, lors de notre périple en voiture avait voulu que je la prenne en Photos. Agatha était très heureuse de ce voyage et elle se pavanait, je me souviens qu’une petite voix me souffla, « qu’est ce qu’elle a cette conne, a se pavaner de la sorte. » Je ne sais pas d’où me viens ce genre de micro pensée. Cette petite voix dissonée dans ce voyage si romantique, je ne sais pas pourquoi, j’ai ce genre de pensée, cela n’est pas si grave, c’est comme on peut penser « j’ai envie d’enculer mon père. » Ceux sont des petites pensées qui franchissent des tabous à votre place. En fait, j’étais heureux de rendre heureux celle qui allait devenir ma femme, je suis rétroactivement très heureux d’avoir donné ce bonheur, d’avoir su répondre à ses attentes, elle m’avait dit viens à Malte et j’étais venu, j’avais apporté de la magie. Nous n’avons pas eu de sexe, mais Agatha était venu me chercher à l’aéroport, puis elle m’avait conduit a l’Hôtel, elle était debout sur le lit joyeuse, elle dansait quasiment. En fait, une pensée profonde que j’ai à propos d’Agatha, c’est que je regrette de ne pas avoir eu de coup de foudre pour elle, je ne regrette pas qu’elle ne soit pas Isabelle, cela pas le moins du monde, je regrette d’avoir eu le coup de foudre pour Isabelle et pas pour Agatha. Je crois que c’est une injustice que la vie nous a fait. L’amour pour Agatha est un orgasme féminin, cela n’a rien de la violence d’un orgasme masculin, cette violence de l’orgasme masculin en amour, je l’ai eu pour Isabelle. L’amour que j’ai pour Agatha est une chose longue qui s’est construite. Ceux sont les difficultés de la vie, les problèmes de notre quotidien qui ont constitué cet amour. Nous n’avons pas fait que le musée de Lavalette, et la décollation de Saint Jean Baptise, nous nous sommes aussi promenés, dans les rues a l’architecture si typique, et nous sommes allés au port. J’ai pris Agatha en photo, elle faisait l’amour au canon. Nous n’avons pas fait l’amour, mais Agatha se donnait à ces canons, comme elle se donnait à moi. J’ai une photo d’Agatha posée sur un canon, dans le port de Lavalette.
Puis nous avons quitté Malte, Agatha s’est arrangée pour que nous voyagions ensemble. J’avais l’habitude des aéroports, puisque j’étais allé aux Etats Unis, mais c’était la première fois que je prenais l’avion en entrant par la piste, car Malte a un petit aéroport. J’avais deux tampons dans mon passeport et une histoire d’amour qui commençait.
Nous allâmes jusqu'à Rome ensemble et c’est la que nos chemins se séparèrent, elle repartait sur la Hollande, moi je continuais sur Paris. A Rome, je fus étonner par l’accent chantant des italiens, j’aimais à les voire parler ensemble.
Puis, j’arrivais à Roissy Charles de Gaulle et finissais mon weekend à Ozoir La Ferriere. Mes parents y avaient une maison dans un village à l’Américaine. Je perdais mon bagage à l’aéroport, il avait été égaré a Rome, probablement, les italiens qui reçurent ma plainte me charrière parce que mes parents habitaient rue Leonard de Vinci et que je prononçais mal le nom, c'est-à-dire pas à l’Italienne. Léonard de Vinci est italien, les italiens sont fiers de leur histoire que nous leur avons volée.
Il me fallut revenir au boulot, je suis dépressif et le boulot a été une origine de ma maladie, je suis malheureux au boulot. Nous étions en octobre et le temps était estivale à Malte, un peu moins à Paris. Nous eûmes un très bel automne. Je pris l’habitude de monter les weekends en Hollande. Au début, je demandais la permission à Agatha pour lui faire l’amour, elle a aimé cela, mais je vous l’ai déjà dit, je me répète comme un maniache que je suis.
Nous étions en Hollande, nous faisions du vélo, je n’arrêtais pas de regarder Agatha avec amour, elle me disait qu’elle sentait que j’étais amoureux d’elle : pardi ! Il y avait cette année du pollen blanc, les polonais appellent cela du Tilato, ou quelque chose comme cela, il faudrait que je redemande à Agatha.
De temps en temps, je ne roulais pas à droite avec mon vélo et puis nous parlions français, alors Hollandais nous disait méchamment « Macht Nederlands ! » Les hollandais sont un petit peuple, qui s’amuse a faire respecter leur règle au citoyen des grands peuples qui se perdent en Hollande. Les Hollandais acceptent les étrangers et sont un peuple ouvert à condition que les étrangers respectent les règles que les hollandais ne sont pas tous à respecter. Le Hollandais est fort en psychologie, il a pour cela un tas de dictons qui pavent son univers de bourgeois, et quand ils tombent sur zozio comme moi, ils lui expliquent que ce zozio pense mal, c'est-à-dire pas comme eux, voire qu’il est fou, ils essayent de le marquer dans son moi profond, ils voudraient que cet étranger soit un autre que lui-même, ils le punissent d’être comme il est, ce qu’ils se tolèrent à eux-mêmes. Les hollandais sont des donneurs de leçon, leur plaisir est de donner des leçons à des étrangers qui se perdent dans leur pays. Ils oublient que ces étrangers seraient tout a fait disposé à les aimer. Non, ils haïssent les expatriés, et les expatriés haïssent les hollandais, c’est une jalousie réciproque. Avant d’aller en Hollande, j’aimais les hollandais. Cruijff était mon idole et mon oncle favori était un hollandais, Nicolas Dejagere. Il avait des tas d’histoire sur Sud Aviation et il m’aimait parce que j’étais ingénieur comme lui, il était élitiste et fier comme un hollandais. Les hollandais sont différents de moi, moi je suis un doux, je suis féministe, les hollandais sont machos, ceux sont les toréadors des polders.
Avant d’aller en Hollande, Chirac, moi j’avais cru bêtement que c’étaient les francs maçons, mais Chirac m’avait connaitre Big Brother. Si j’avais été hollandais et que j’avais émigré en France, les français m’aurait accueilli en Héros, martyr des libertés. Eux les hollandais m’ont puni, parce que si Bouygues m’avait puni, c’est qu’il y avait des raisons. Et de la sorte, ils me punirent dans mon moi profond, ils me firent comprendre que ma psychologie était maladive, alors qu’en fait ma maladie est génétique, la bipolarité est une maladie familiale. En fait, je vivais et je vis toujours dans le délire de Big Brother, ils connurent un être stressé et cela cachait une folie et le bourgeois hollandais n’aime pas la folie.
C’est pour cela que je crus longtemps à la franc maçonnerie, je crus que la franc maçonnerie française c’était mis en rapport avec la franc maçonnerie néerlandaise pour jouer à Big Brother avec moi. Je me suis trompé sur la franc maçonnerie, mais les salops qui me firent connaitre Big Brother donnèrent des renseignements aux néerlandais et c’est avec une joie sadique que les néerlandais me firent connaitre Big Brother.
Les Hollandais sont des bourgeois capitalistes et je suis l’ennemi de ce monde capitaliste, c’est pour cela pour m’apprendre comment le monde tournait qu’ils me firent connaitre la loi, ils firent respecter une loi française parce que cette loi était bourgeoise et qu’ils sont des bourgeois et même à gauche, ils sont d’extrême droite, conformiste, capitaliste. En fait, plus simplement ma réputation me suiva en Hollande, on vint à connaitre mon Big Brother, et on vint à connaitre ma relation avec Dieu, cette anticonformisme choque le bourgeois.
Mais j’anticipe, pour l’heure, nous vivons d’amour et d’eau fraiche avec Agatha et nous sommes tout à notre amour naissant. C’est pour cela que très heureux, nous décidâmes de passer la fin de l’année en France.
Je voulais qu’Agatha fasse la connaissance de mes parents. Agatha avait les cheveux gris a l’époque, elle rappelait à mes parents une femme, je ne savais pas que se préparer une guerre. Mes parents avaient une emprise sur moi, ils avaient leur vieux garçon pour eux tout seul et Agatha commençait à avoir une emprise sur moi. Je n’avais pas caché à Agatha que j’étais dépressif, je crois qu’elle a souffert parce que ma dépression me rend violent, mais qu’elle a abusé parce qu’un dépressif disparait psychologiquement. Mes parents aussi ont profité de ma dépression, le pauvre malade, on peut jouer avec lui, on peut le manipuler, tout le monde a profité de moi, pas que Chirac, pas que les franc maçons.
C’est le dernier noël, où nous vîmes ma grand mère en forme, le noël suivant, elle fera une attaque et l’Alzamer fera un progrès fulgurant chez elle. Elle est dans une maison spécialisée, elle est dans un état terrible, Agatha n’a jamais existé pour elle, je suis éternellement pour elle, un vieux garçon.
Nous fêtâmes Noël a la Française, c'est-à-dire que nous avons beaucoup mangé, ce qui n’est pas chrétien, pour une petite polonaise, et nous bûmes beaucoup, Agatha n’aimait pas beaucoup.
Je fis découvrir le marché de Brive La Gaillarde à Agatha. Nous avions projeté de faire la nouvelle année à Paris, c’est pour cela que nous achetâmes de bons produits à Brive La Gaillarde.
Je présentais Agatha a mon parrain, Claude Michelet, nous étions invité a midi, Mon parrain était sous le charme d’Agatha qui racontait des bêtises sur une prétendue maitresse d’un général français qui n’avait jamais eu de femme polonaise. Claude Michelet devait penser que j’allais épouser une sorte d’Anita Michelet, il était content pour moi.
J’étais un peu ivre, non pas par l’alcool, mais je suis hyper émotif et l’adrénaline me soule, et comme cela était nouveau pour moi d’être avec une femme, je me semblais sonner faux, cela n’était pas moi, le vrai moi, c’était le vieux garçon. Peut être, n’aurais je jamais du me marier, j’ai entrainé avec moi, un être dans ma déchéance, mais je voulais tellement être comme tout le monde. Je ne suis pas comme tout le monde, je serais éternellement le vieux puceau que je suis, je suis indépucellable, c’est venue trop tard, Agatha est entrée dans ma vie trop tard, elle n’a pas pu me sauver, elle a précipité la chute. Je suis hyperémotif et les émotions me tuent, avec Agatha, il y a eu trop d’émotion, mon cerveau ne réagit plus.
A la fin, du repas, il fallut bien nous séparer. Ah, j’oublie de vous dire que Frédérique et Véronique Saulnier était du repas, ils avaient été témoin de ma déconfiture avec Isabelle, il venait voire la cause de mon future échec. Les Michelet savaient que se dessiner un drame, ils étaient à la fête.
Claude Michelet avant de ma quitter me dis la chose suivante « avec celle-ci n’attend pas, ne la laisse pas partir celle-ci ». Il me précipitait dans cet amour et dans l’enfer que sera ma vie. Tout cela sonnait faux, nous étions tous mal à l’aise.
Claude Michelet n’est pas un mauvais bougre, mais il est téléguidé par ses proches. Je me rappelle de l’anecdote suivante, au boulot, j’étais mal à l’aise a cause des écoutes téléphoniques, j’étais un vieux célibataire avec un comportement de vieux célibataire. Je criais dans le bureau « En France, nous sommes une république bananière. » J’étais choqué de la corruption qui agissait si mal contre moi que je réagissais en vieux puceau, au lieu de me taire, je criais ma haine. Cela avait du les faire bien rire au boulot, car ils savaient l’origine de mon trouble. Ils répétèrent mes propos à Frédérique Saulnier, parce que les informations sur moi passer de la famille au boulot via Frédérique Saulnier. Le weekend qui suivit, Claude Michelet dit « En France, nous ne sommes tout de même pas en république bananière. » Il nota mon trouble car cela me coinçait, j’étais en faite terrifier par le phénomène. Il se dit cela n’est pas bien grave, Frédérique Saulnier répète les propos d’Erik Worme, et Erik Worme s’en offusque. Mais cela était bien plus grave, en me mettant sous écoute, ils m’ont castré psychologiquement, ils m’ont terrifié, cette terreur persiste, c’est bien pour cela que je souffre des écoutes téléphoniques que j’ai subit.
Je ne crois pas au complot des Michelet, car je pense que dans cette famille, il n’y a pas de bloc monolithique.
Claude Michelet ignorait la nature de la tragédie. En fait, il ignorait qu’Isabelle m’avait dit « je vais succomber » et qu’elle voulait devenir ma femme et qu’ensuite je fus mis sous écoute et que cet enchainement de fait me tua. Claude Michelet ne voulu pas se mouiller et jouer son rôle d’arbitre.
Il porta à la connaissance de tous, ma lettre où je me plaignais qu’il y avait des bruits sur mon lieu de travail sur moi et que je voulais faire peter le système.
Les Saulnier par Frédérique jouèrent leur rôle, mais ceux sont des petits salopards qui me trouvèrent perverse, dans l’histoire avec Isabelle Veillet et ils intervinrent afin de me rendre fou, ils organisèrent un échange d’information entre le groupe Bouygues et la famille. Ils ne sont pas les plus coupables, mais leur rôle furent déplorable et sapèrent ma santé mentale.
Mais cacher dans l’ombre il y avait Gilles Michelet et Catherine Veillet-Michelet, ils n’avaient pas apprécié que j’écrive au père d’Isabelle, alors ils avaient décide ma perte, ils avaient fait de la publicité auprès d’Yves Michelet qui avait une fonction honorifique au RPR, de ma lettre a Claude Michelet, en plus ils savaient mon point de vue sur la corruption. Si bien qu’Yves Michelet fit croire au RPR qu’il y avait avec moi, un véritable danger. Au RPR, ils crurent vraiment que j’allais faire peter le système, si bien qu’ils ont « overreacted », ils sont devenus déments, ils ont mis sous écoute un puceau amoureux et au bord de la folie, ils ont décidé de le rendre fou. C’est incroyable, mais c’est vrai, il s’est passé ce miracle, le pouvoir a décidé de me punir et de me pousser vers la mort, ils firent de moi, un héros, martyr de la liberté, je n’en ai jamais demandé tant.
Si bien, vous voyez que les Michelet ne sont pas un bloc, vouait à ma perte. Certes Isabelle m’avait dit avant de dire « je vais succomber » méfie toi des Michelet, ce qu’Isabelle ne voudra jamais croire, c’est le rôle actif de sa sœur, c’est sa sœur Catherine qui m’a tué socialement. Isabelle, comme beaucoup de gens ne croiront pas que je fus mis sous écoute, tout le monde crut que j’étais fou, ce que je suis, mais ils crurent que parce que j’étais fou quand je disais « je suis sous écoute » c’était faux. Je suis fou et en plus, je fus mis sous écoute, c’est cette proposition qui est vrai. Le pouvoir m’a tué de la sorte.
Ce que je reproche à Claude Michelet, c’est d’être un homme intelligent avant de plonger dans la folie, je lui écrivais une lettre, je lui lançais un appel a l’aide, il n’est jamais venu a mon aide, au contraire par son comportement, mes ennemis se sont abattus sur moi, au cours de l’histoire, il comprit, mais ses proches étaient dans le coup, alors il s’en ai lavé les mains, il m’a laissé dévorer par les loups, il n’a rien fait, sa lâcheté fait de lui une ordure, c’était mon parrain et j’avais confiance en lui.
Bref en Corrèze, nous vîmes tout le monde, nous vîmes même ma tante Suzanne. Suzanne me dit que les lions, car Agatha est une lionne, ne vont pas avec les poissons et que les poissons vont bien avec les Capricorne. Isabelle est Capricorne et je suis Poisson. Bref les astres eux-mêmes étaient contre moi dans cette affaire qui était très mal engagé.
J’avais trouvé femme, après une très forte désillusion, ou que je prenais pour telle, alors j’étais pressé de me marier et de prendre femme, alors ce que les astres disaient, alors les petits défauts d’Agatha, était-ce important, je n’étais disposé à entendre personne. Dans le fond, j’ai eu raison, en tous les cas quand je vois mon fils, je me dis que je n’ai pas tout loupé, que j’ai construis avec Agatha quelque chose d’extraordinaire. Maintenant, je n’ai pas fait les expériences de la vie que j’aurais du faire avant de me marier, cela fut le choix d’un puceau et je suis puceau pour l’éternité, tout le monde me l’a dit, alors il faut bien que je me rende a l’évidence, je suis un puceau et je l’ai fait comme cela.
Il nous fallu dire adieu à la Corrèze, nous rentrions en voiture pour Paris, car nous avions projeté de passer le nouvel an a Paris. C’est la que se produisit la tragédie de mon couple, c’est la que mon cerveau s’est arrêté. J’ai toujours voulu faire carrière à l’international, étudier aux Etats Unis a été mon rêve, mais j’étais trop fainéant, trop mauvais, j’étais nul en anglais. Bien sûr pour aller voir mon frère Laurent, j’avais étudié « Pratiquer l’américain », mais cela ne rentrait pas. Bien sur avec la relation avec Agatha, j’avais demandé chez Bouygues un cursus d’anglais, cette société internationale ne permettait pas de faire de tel cadeau à ses cadres, j’avais donc payé un cursus d’anglais que je suivais à Yvry, mais je le faisais sans motivation et j’étais persuadé que cela ne marcherais pas. Alors, dans la voiture, nous eûmes une conversation en anglais avec Agatha. Lasse par mon très mauvais niveau Agatha acheva l’expérience, et elle ne renouvela pas d’ailleurs. Nous avons fait le choix de vivre aux Pays Bas, sans pratiquer l’anglais ensemble, a bien y repenser, cela était surréaliste, cela n’était pas pragmatique. Agatha dans sa folie slave allait demander à un homme de venir la rejoindre en Hollande, sans pratiquer l’anglais avec lui. Apres cette conversation, en anglais, Agatha savait bien qui elle allait épouser, elle me fit une promesse qu’elle ne tins pas « Erik, ne t’inquiète pas, je te parlerai en Anglais. » J’aurais du me méfier. Je ne justifie en rien les gestes de violence que j’aurais par la suite vis-à-vis d’Agatha, mais une femme peut être à sa manière extrêmement violente. J’avais besoin de fuir la France et pour cela j’aurais dû immigrer en Hollande et en Hollande, j’avais besoin de l’anglais, elle a coupé une promesse, elle m’a trahi, toute ma vie, je resterai sur cette trahison. Toute la vie que j’ai fait en Hollande, je l’ai fait extrêmement stressé, une partie pas tout de ce stress, je le dois au fait de cette trahison d’Agatha. Elle me dit qu’elle l’a fait pour mon bien, elle me dit qu’elle est bonne, mais me plonger dans le stress lui permit d’avoir un pouvoir sur moi, tous les hollandais que je rencontrerai par la suite, aurons un pouvoir sur moi, quand un homme a un pouvoir sur un autre homme, parce qu’il sait plus de chose, il abuse toujours de son pouvoir. Actuellement, je travaille en dehors de cette vie en chiraquie qui s’est arrêté en 2007, lors de l’élection de Sarkozy, pour une filiale néerlandaise d’un groupe d’ingénierie qui s’appelle Technip, mes niveaux en Anglais et en néerlandais sont insuffisants, cela donne un pouvoir incroyable sur ma pensée, mes collègues me plongent dans la dépression, m’isole en ne me guidant pas au boulot, ils ont le pouvoir sur moi, ils n’ont aucune conscience du mal qu’ils me font, ils se refusent à prendre cette conscience, ils sont hypocrites. J’ai besoin de ce boulot, car ma femme à couper les vivres, alors je suis oblige de jouer ce jeux, mais cela me rend malade, je remplis un puits sans fond, depuis que je connais Agatha, parce qu’elle ne me parle pas en Anglais, les Hollandais me font remplir un puits sans fond. Ceci, je le dois à deux choses, mes manques de ressort psychologique que la dépression m’aliénie, et a la trahison d’Agatha. Je ne justifie en rien ma violence, mais sait on la violence psychologique que peut faire subir une femme, en faisant adopter des choix fou à son mari. Je ne minimise pas la violence qui est faite aux femmes, mais qu’en est-il de la violence fais aux hommes. J’ai battu ma femme, c’est inexcusable, je me suis toujours vengé de sa trahison, j’aurais dû divorcer, la rupture, parce que j’étais puceau a été un choix tellement douloureux qu’il est devenu impossible.
Mais pour l’heure, j’anticipe sur des pages douloureuses de mon couple, qui m’ont forcé a devenir fataliste, ma femme torpille ma carrière, je suis dans l’obligation d’avoir d’autres ambitions, je suis forcé à l’abandon de soi, je trouve cela injuste, je trouve que le choix qu’elle m’a fait prendre d’avoir aucune ambition dans la vie est contre nature, je suis par essence un être ambitieux, la folie a été une barrière à cette ambition, par contre, je n’accepte pas la barrière qu’a été ma femme, je crois, et je croirais toute ma vie que le rôle d’une femme, c’est de donner les outils de la réussite a son mari et que quand son mari est gravement malade et je ne me suis jamais caché en ce qui concerne ma dépression vis-à-vis de ma femme, je n’ai pas respecté les consignes du médecin, je lui ai dit que j’étais dépressif, Agatha fort de cette information m’a privé de tout, elle m’a enlevé mes rêves, pour que nous fassions qu’une chose les siens.
Mon médecin m’avait donné deux conseils de se méfier de ma mère dans ma future relation avec une femme et cela n’a pas manqué, je ne l’ai pas vu venir lors de ce voyage en Corrèze, mais ils préparaient tous la guerre sur mon dos, et il m’avait dit de ne jamais avouer ma dépression. L’Homme dépressif est a la merci de tous, l’homme est un véritable prédateur, pour cela, il invente un concept la normalité et le dépressif n’est pas dans cette normalité, il est obligé de vivre cacher, comme honteux de son mal.
Nous avions projeté de faire réveillon sur les champs Elysées, malheureusement, nous fumes malade tous les deux, si bien que nous passions le nouvel an au lit. Moi, j’allais mieux qu’Agatha, alors c’est moi qui faisait la cuisine, je fis des foies frais avec des cornichons a Agatha, fâcheusement je les faisais bruler, un petit peu, de toute façon Agatha n’était pas en état d’apprécier mon art culinaire.
Nous étions au lit pour le réveillon, nous n’eûmes jamais de réveillon de fête, cela n’est pas si grave, nous nous aimions, et nous étions la l’un pour l’autre, malade, mais aimant, ce fus un court souvenir, mais notre amour était le plus important.
Nous étions en 1998, l’année de notre mariage, nous nous embrassions pour cette nouvelle année qui était tant de promesse pour nous. Peut être, aurions nous du nous entendre sur la définition du mariage et du rôle de l’homme et de la femme, car sur ces sujets, nous ne sommes toujours pas d’accord avec Agatha, mais il faut être philosophe, nous ne serons jamais d’accord sur ces sujets et sur aucun sujet. Pour les amis d’Agatha, je suis l’affreux, le fou, personne ne me parle, et Agatha contacte ses amis pour expliquer que son mari a tort. Alors comme les amis d’Agatha ont décidé que j’ai tort, a l’unanimité j’ai tort. En fait la vie est simple, il suffit de comprendre qu’on est fou et paranoïaque et que par conséquent sa parole ne compte pas.
En 1998, c’était Jospin qui était chef du gouvernement. En 1997, Juppé avait mis la France dans la rue, il y avait eu la dissolution de Chirac et la gauche était arrivé au pouvoir, si bien que Chirac ne fera jamais sa politique et c’est parce que Chirac ne mis jamais en œuvre sa politique que les français le trouve si populaire. Le pays s’est engouffré dans l’immobilisme, il faut dire que la démagogie de gauche n’est pas étrangère à la chose. De gauche comme de droite, il y a un manque en France, la France est administré, il n’y a pas de recherche de consensus, par conséquent la France plonge dans les conflits perpétuels. Ce que la France a apprendre de la Hollande, c’est ce point.
En tous les cas que Jospin fut au pouvoir n’eu aucune influence sur le phénomène de Big Brother. Il faut dire que pour les lycées de la région parisienne, la corruption rapportée 1,2% au RPR et 0,8% au PS. En France, nous n’avons pas de justice, en fait les grands groupes de BTP auraient dû être interdit des marchés publics et les grands partis politique devrait être radiés.
En 1998, la France allait gagner le championnat du monde de football qu’elle organisa, la compétition je l’ai suivi en fil rouge toute cette année.
En 1998, jusqu’en août, je travaillais pour Screg Batiment, une filiale du groupe Bouygues. Madani Sow n’aimait pas mes coups de gueule, et il voulait me faire taire, car je n’étais pas docile. En 1998, j’aurais 300 millions de francs de projet sur mon bureau, mes collègues avaient décidé de m’écœurer en me bourrant de boulot. Chez Screg Batiment, j’étais le chiffreur fou. Je demandais l’indépendance des chiffreurs du commercial et de la direction parce que je croyais à un chiffrage idéal, scientifique, sans influence des mensonges et de la manipulation des commerciaux et de la direction. En 1998, Madani Sow voulait que nous soyons incompétents, donc sans voix, nous étions la pour relayer les mensonges de la direction et des commerciaux, nous avions un rôle de grand menteur qui ne m’allait pas du tout. Pierre Guindolet organisa cette grande entreprise de désinformation, c’est pour cela que l’on finit par le chapeauter par un directeur à la Bouygues. La direction savait que les filiales allaient disparaitre. En fait, Bouygues en Ile de France est revenu dans sa structure de base, comme Francis l’avait créé, on a sacralisé Francis Bouygues, alors on n’a pas remis en cause sa vision.
Les filiales dans le groupe Bouygues, auraient pu permettre de changer le mode de management de ce groupe et aurait pu désacraliser le patron. Chez Bouygues, il n’y a pas de patron, il n’y a que des princes de cour. On appelle Challenger le siège social de ce groupe, le château, c’est très significatif de l’aspect féodal du mode de management qui y existe.
Ma femme Agatha était business développeur et moi je suis un petit théoricien de cette question, l’histoire des filiales Bouygues en Ile de France, c’est mon principe de développement du business à l’International en pensant filiale, on peut penser développement à l’International. Mais il est extraordinairement difficile dans un groupe de penser développement comme à l’Origine. Le développement s’est renaitre, s’est redevenir l’entreprise Bouygues, philosophiquement cela ne marche pas, le groupe se développe avec une philosophie mutée, celle d’un groupe et non comme l’entreprise Bouygues de ses origines.
En 1998, je vais déménager weekend après weekend toutes mes affaires à Delfgauw, dans la chambre d’étudiante d’Agatha. Mes collègues de Bouygues firent semblant de ne rien voire, mais chaque weekend c’était le même scenario, je déménageais mes affaires.
Puis, il y eu le 22 février mon anniversaire, d’habitude cela était Luc et Suzie, nos amis belges qui aidaient, mais ce coup-ci nous fîmes les choses simples a Ozoir la Ferriere. L’équipe de l’Angleterre était reconstitué, il y avait Denis Balland, mon frère Laurent, de retour des états Unis, je crois qu’il y avait aussi mon cousin Manu, mais j’ai oublié. A l’âge de dix neuf ans nous avions passe un séjour en Angleterre, tous les trois, nous faisions les fous, nous avons pris des bitures au pub, bref notre anglais c’est beaucoup améliorer. Avant de partir, nous avions regardé le tombeur de ces dames, et nous répétions sans cesse, il travaille comme un déménageur. Je crois que Laurent et Denis m’appelaient le tombeur de ces dames, je crois que je ressemble tout a fait au personnage de Jerry Lewis, c’est pour cela que j’ai une affection particulière pour ce film.
Je me rappelle d’une scène qui nous fait encore rire, nous étions tellement bourré, que je décidais dans le coatech où nous étions de descendre les escaliers a quatre pates, évidemment je dévalais les escaliers, cela fit tellement rire manu qu’il renversa l’eau chaude sur les couilles de Denis, qui allait savoir pourquoi était toujours a poil quand il avait trop bu : nous étions mort de rire.
Denis Balland et mon frère Laurent me charriait parce qu’il savait qu’Agatha était ma première femme, il prétendait que je ne savais pas la différence entre baiser et faire l’amour.
Mon frère Laurent n’aimait pas Agatha et Denis avait dit qu’il refuserait de rentrer sous la coupe d’une femme comme je le faisais. Bref, mes amis d’enfance n’étaient pas contents avec ce qu’il se passait. En fait, je crois que ma famille aurait voulu qu’Agatha ne fus qu’une aventure et qu’ensuite je me mari avec une vraie femme, Agatha était la pour eux pour être la première, la première n’est pas la dernière, cela ne se fait pas.
Mon frère Laurent et Denis Balland était deux artistes joailliers, ils avaient étudié ensemble. Ils avaient fait les quatre cent coups ensemble. Laurent aimait les femmes et il était bourrin avec les femmes, Denis Balland était de la même veine, bien que beaucoup plus sensible. Mon pucellage était une bizarrerie pour eux, ils se moquaient de moi, il ne me prenait pas au sérieux, pour eux j’étais un branleur, ils ont repéré que la masturbation était un souci pour moi, mais ils en ont fait un tabou. Je n’en parlais pas, ils en parlaient pas non plus. Ils n’ont pas été très sympathiques avec moi, ils auraient pu m’aider à passer ce cap difficile pour moi. Mais le monde est individualiste, ils ne virent pas la profonde souffrance qui était en moi, ils ne firent rien pour moi, il se moquait de moi, peut être que Laurent comme le reste de ma famille avait honte de moi, ou pitié, ils auraient pu me conseiller de consulter un psychologue, ils auraient pu très gentiment, m’en parler, me faire parler, pour que cela ne devienne pas un blocage, mais ils m’ont laissé devenir un bloqué psychologique. Toute ma vie a été une souffrance, toute ma vie, les hommes se sont moque de moi, parce que je suis bloqué sexuellement, toute ma vie, les hommes autour de moi se sont mis a me manipuler, c’est pour cela que la mise sous écoute de Chirac a été une telle souffrance, les hommes m’ont attaqué sur le sexe, ils se sont amuses a me bloquer de plus en plus et plus la vie s’est déroulé, plus le blocage psychologique a été terrible. Il faut dire qu’Agatha ne fut pas une bonne dépucelleuse, elle me laissa avec mon problème, elle eut une attitude qui renforça mon blocage, moi bloquer, je n’étais que sa chose, si je me débloquais un jour alors je devenais libre, alors je n’étais plus la chose d’Agatha. C’est pour cela que Denis et Laurent n’aimaient pas Agatha, parce qu’ils avaient repéré le jeu d’Agatha. Maintenant, je ne hais pas Agatha pour cela, elle n’est pas parfaite, mais elle m’a aimé à sa façon, et nous avons joins nos vies, elle n’a pas su me débloquer, elle a renforcé le blocage, à l’heure qu’il est, je suis tellement bloqué que je suis bon pour l’asile, mon blocage sexuelle était une vraie folie douce, je ne me guéris pas de cette folie, tout me fait peur, je suis agressé de toute part, les hommes ont repéré mon malaise, ils n’arrêtent pas de m’agresser. Les Hollandais n’ont pas fait de moi un héros des libertés, je suis un eternel puceau et personne n’aime les eternels puceaux, ils n’ont aucun respect pour de tels hommes, alors ils n’arrêtent pas de leur pourrir la vie. L’homme est un loup pour l’homme, il y avait une fêlure chez moi, pour eux ils ne sont pas pécheurs, c’est moi qui suis anormal, alors dans ce cas les écoutes n’ont pas existé, Isabelle n’a pas dit « je vais succomber », je suis un rêve qu’il faut faire disparaitre, alors il faut me rendre fou, en 1996, ils ont décidé de me rendre fou, les hollandais ont fait le même jeu, ils n’ont pas arrêté, le retour à la normale est un long processus, difficile pour moi, peut être n’y arriverai je jamais.
Il y a quelque chose de difficile. J’ai épousé une femme, mais lui dire que j’ai été mis sous écoute est impossible. Elle est comme mon frère Laurent, pour eux, je suis fou, alors il faut que je me taise, cela n’a pas existé, si je continue comme cela, je finirais tout seul. Ils m’ont mis sous écoute, pour m’isoler dans la folie, pour que je n’aie personne à qui raconter.
Mais comme j’étais bloqué, j’ai commis une autre folie. Je ne pouvais dire a Isabelle que je voulais couche avec elle, c’était psychologiquement impossible, alors je suis allé voire les putains. Aller voire les putains est devenu une sorte de descente aux enfers, je me plongeais dans cette décadence. Même avec les putains, je n’osais pas, alors je tournais en rond en me disant avec laquelle j’oserais et c’étais toujours une déception. Tourner en rond en voyant les putains auraient du être mon seul plaisir, coucher avec elles fut une erreur. J’allais aux putains tard dans la nuit, je n’avais pas de vie, j’étais un zombie.
Je me rappelle d’une jeune putain juive. Un juif d’Israël lui avait volé son enfant, et elle tapinait à Paris alors que lui était en Israël. Elle était perdue, j’étais perdu nous étions frère et sœur. Notre contact a été violent, cela n’étais pas agréable et quand je la quittais, je ne me retournais pas, alors elle me dit « même les putains ont besoin d’affection » Ce cri d’amour me perça, j’aurais du revenir et l’embrasser, je ne le fis pas, c’est elle que je cherche dans la nuit, cette femme abandonnée des hommes.
En tous les cas, chez les putains, il n’y avait qu’une prestation sexuelle que j’appréciais c’était la fellation, cela j’ai beaucoup aimé. Je regrette beaucoup les putains a cause de cela, le reste me dégoutte, je me dégoutte moi-même.
En tous les cas, Agatha avait su que j’aimais les putains, parce que cela faisait partie des non dits familiaux, ils savaient pour la masturbation, il savait pour les putains, alors Jean Marc en avait parlé à Agatha.
Agatha m’aimait et pour me faire plaisir, pour mon anniversaire, elle me fit une fellation. Le drame c’est que cela fut la seule fois, qu’elle me le fit, mais je l’en remercie. Seulement avec Agatha c’était désagréable, elle n’aimait pas sucer le sexe de l’homme, alors elle mettait les dents, c’était horrible, mais j’aime ma femme, j’aime qu’elle me l’a fait une fois. Souvent avec ma femme, j’ai des fantasmes, mais cela finit toujours tristement, mais cela ne fait rien. J’ai eu une crise ou cela prit une signification démente, mais j’en suis revenu, la tristesse d’Agatha n’empêche pas l’amour. Que les femmes brident les fantasmes des hommes n’est pas une chose horrible, peut être au contraire. Peut être qu’un jour, je connaitrais une femme pour laquelle je ne serais pas assez, mais cela ne m’est pas encore arrivé, peut être Dieu merci, j’ai encore un charme, je ne suis pas pressé de le perdre, c’est mon eternel pucellage.
Puis, nous nous séparâmes à nouveau. Elle revint en Hollande à ses murisseries de banane, car elle était business développeuse pour une société qui construisait des murisseries de bananes. Elle s’occupait aussi de la construction de notre futur nid d’amour, un appartement au 20 ieme étage d’un immeuble de 21 étages. Moi je revenais à mes études de prix pour des projets de bâtiment, à mon enfer de ce métier plein de modestie, plein de frustration d’être toujours celui qui a tort et qui travaille dans l’ombre pour ceux qui brillent. Puis, je suivais mes cours d’anglais pour lesquels j’avais payé 4000 francs, et puis je commençais à compter l’argent, combien je pourrais ramener en Hollande pour notre mariage. En fait, c’est un mal que je ne souhaiterais pas à mon pire ennemi, je n’ai pas arrêté de compter l’argent, Agatha est insouciante et moi je compte, c’est l’horreur, c’est infernal, j’en suis devenu fou, il ne faut jamais compter l’argent.
Je me faisais du souci, car pouvoir vivre en Hollande avec Agatha était un véritable souci, j’avais peur de cette nouvelle vie, Agatha s’est servi de cette peur pour me faire faire des bêtises que j’ai regretté parce que c’était les bêtises d’Agatha et pas les miennes. Agatha n’aurait jamais dû décider pour moi, elle aurait du me laisser venir à mon rythme, mais elle avait acheté un appartement alors il lui fallait un homme en Hollande, c’est son mensonge, elle a tout décidé toute seule dans sa tête, elle n’a pas pris la peine de dire comment nous allons faire, comment tu vois la chose et quand les choses ont été décidé par Agatha, il s’est avéré que c’était la catastrophe. En fait j’aurais pu mettre un an supplémentaire à venir en Hollande, comme cela j’aurais eu un métier, mais Agatha a vu que j’ai eu peur et elle s’est dit que si je ne venais pas tout de suite, je ne viendrais jamais, alors elle m’a fait sauter dans le grand bain, je me suis noyé.
Mais j’anticipe sur ma venue en Hollande qui était un non dit entre moi et Agatha, un non dit parce que nous n’en discutions pas, cela a démultiplié la peur.
Pour l’heure, nous sommes revenus à notre vie, elle en Hollande, moi à Paris, et les weekends en Hollande à aller a Zoetermeer, a Noordwaarts, dans le stadsHarts (cœur de la ville). Nous regardions pousser notre immeuble, nous étions au douzième étage, nous allons passer l’année à compter les étages, c’était beau, une nouvelle vie s’annonçait à nous, comme j’aimerais bien revenir a cette période. La Hollande a été un vrai espoir, espoir de rencontrer un peuple, une culture, de se faires des amis, d’être intégrer et de former une famille, d’avoir des amis autour de nous. Mais tout fut déçu, nous fumes un couple damné, un couple qu’on fuit, les gens n’aiment pas l’échec et comme nous faisions, c’était l’échec assuré. Et puis peut être que j’aimais Isabelle et que je n’aimais pas assez Agatha. Pour cette aventure, il faut se donner a fond, peut être que je n’étais pas à fond, peut être qu’il y avait quelque chose de moi en retrait, qui ne participe pas a notre vie commune, qui n’y croit pas. En fait, cela fait onze ans que je fais quelque chose auquel je ne crois pas. Faire ce que l’on ne croit pas, c’est une perte psychique considérable. Mais pour l’heure nous sommes à notre amour, les fâcheries viendront quand nous nous fréquenterons plus quand nous nous verrons 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Nous allons nous fâcher sur l’administration du mariage. En fait, nous sommes complètement différent Agatha et moi, si bien que sur tous les sujets nous ne sommes pas d’accord. Il y a qu’une seule chose qui va nous rejoindre c’est notre fils qui viendra Adrian. Nous le voulions, nous l’aimons, nous voulions former un couple et dans nos déchirements. Nous sommes arrivés à nous aimer. Je n’ai pas eu le coup de foudre pour Agatha, j’ai souvent culpabilisé à cause de cela, mais a force de se déchirer avec elle, de faire une vie, de la finir, cette vie que la chiraquie m’a fait difficile, alors qu’ils auraient pu me la faire facile, c’est dans ce bout de vie fait ensemble que j’ai fini par aimer Agatha.
Nous vivions d’amour et d’eau fraiche, cela était très agréable, nous ne faisions pas de plan, Agatha la polonaise vie sans plan et Erik l’ingénieur a besoin de planifier le futur, cela ne pouvait pas marcher pour Erik.
Nous vivions dans le bonheur, j’avais ramene ce bonheur à mes parents pour qu’ils le partagent et ma sœur valerie se remettait de son cancer, je pensais que les choses allaient bien, je croyais a un petit monde parfait, sans violence, sans cruauté, plein d’amour et de calme quand la tempète s’abatta sur nous.
Mon père avait laissé ma mère allait a une fète, chez leur secretaire Nadine, et elle s’était bien amusée, elle était gaie, ma mère est une extravertie et elle aime les contacts avec les gens, à Perpezac la Blanc, ils l’avaient appellé la zouzou de chez delmond, elle s’amusait dans les balles, elle était aux jeunesses catholiques et c’est elle qui entrainait la fète. Elle est tres sociale, elle dit que des conneries, mais cela n’est pas grave c’était la zouzou de chez Delmond. Elle s’était tres amusée a cette fete, elle s’était amuse sans mon père et elle l’avait oublie, elle avait aussi oublie la permission de minuit. Lui, il attendait seul a la maison, et tres probablement comme toujours il se faisait des films, des mauvais films, il lui avait permis d’aller a cette fète, mais en fait, il ne le supportait pas, il n’a jamais supporté que sa femme fut libre alors il la battait, alors il la punissait psychiquement, il l’insultait en public, bref ma mère était une femme batue qui n’avait pour seul ressource que de dependre de cet homme violent. Il se faisait un film et elle était rentrée bruillament, alors il fallait la faire taire, cela n’était pas possible cette joie chez ma mère, alors il fallait la faire taire, ils durent discuter, mais ma mère n’a jamais compris que plus elle discutait plus la violence montait en lui, alors il l’a pris au cou et serra tres fort, il voulait la tuer. Heureusement ma sœur Valerie était là, alors elle le tapa, il ne pouvait pas répondre a sa fille, qu’il aimait, elle dessera les mains qui etranglais sa mère et lui sauva la vie, ma mère fugua et décida d’aller voire les flics, mais comme toujours elle lacha prise plutôt que de porter plainte, elle se deballona une fois de plus.
J’eus ma mère au telephone et elle me demanda de voler mon père. Elle ne voulait pas se defendre elle-même, alors elle mettait ses enfants au milieu de cette bagare. De temps en temps, elle disait aime ton père parce que c’est ton père, et de temps en temps elle nous disait hai le parce qu’il est violent avec moi. Cet amour haine, par perversité, parce qu’elle ne pris jamais de decision, elle nous le donna. Elle nous fit vivre une perversité, aime et hai en meme temps. Nous sommes dual a cause de cette femme battue qui a accepter les marques d’amour apres la haine, elle fit de nous pour ne pas avoir sortie de cet univers de violence, elle fit de nous des êtres nevrosés.
En fait, je pardonne à mon père, parce qu’il est fou, il ne contrôle pas sa violence, il ne contrôle pas ses nerfs et dans sa pensée il n’arrète pas de se justifier, parce que au fond de sa pensée, il nous aime tous, seulement il n’a pas trouvé dans sa pensée la position de ces violences, il ne s’est jamais dit j’arrète, je stoppe, je suis dans l’erreur alors il faut que j’arrète, pour la rédemption de mes péchés, il n’ a jamais demandé pardon pour ses péchés, mais il n’a pas conscience, il est fou.
Ma mère, elle, avait conscience, elle a choisi en conscience pour une raison materielle, une situation de violence pour elle-même, mais aussi pour ses enfants. Pour se faire baiser et couvrir de cadeau, elle a tout accepté, je n’accepte pas la perversité de ma mère. Je comprends mon père, et je refuse ma mère. Plus tard, je serai violent avec Agatha, mais la différence, c’est qu’Agatha me harcelera, alors que mon père la harcela. Mon père voulu me dire, tu vois tu es comme moi, la différence, c’est que je demande pardon pour mes péchés, la difference c’est que j’ai conscience et que eux ils sont inconscients. Ils ont créé trois adultes malheureux, ils ont fait le mal, toute ma vie de jeune adulte, je suis malheureux, je suis coincé psychiquement et toute ma vie de malheur, je la dois à eux pourtant, ils etaient de bon chretien, plus je lis l’evangile, plus je me demande ce que les chretiens lisent vraiment dans les textes. On va le dimanche à l’eglise puis il y a la semaine.
Et puis, je crois que les chretiens cherchent dans la foi, la puissance. La puissance de la foi qui fait deplacer les montagnes. Il y a une contradiction dans la foi chretienne, entre cette surpuissance et la conscience du mal. Les chretiens choisissent la surpuissance, ils oublient la conscience du bien et du mal, parce que la conscience du bien et de mal est affaiblissante.
Bref, en plein bonheur, la violence du couple de mes parents s’est rappelée à nous. C’était inconcevable pour moi, je pensais qu’ils avaient fait une trève qu’ils allaient le faire pour nous, mais c’était plus fort qu’eux, il fallait qu’ils nous gachent la vie jusqu'à la fin de leur existence. Onze ans apres, j’ai rompu les ponts, je me suis apercu que mes parents recherchaient notre amour, ils avaient bati leur vie dans la certitude que leurs enfants les aimeraient toujours. Alors j’ai rompu, j’attends une marque d’amour de leur part, et je sais que j’attendrais jusqu'à la fin de ma vie, mais j’attends la mort de mes parents pour qu’ils ne me revoyent plus, je veux qu’ils sachent que je les laisse mourir sans les revoir, ils ont abusé de l’amour que j’avais pour eux, mais j’anticipe, je reviendrais sur eux plus tard, sur cette rupture. En fait, je suis en rupture parce que j’ai brisé un tabou familial, alors la famille m’a renié. Mais j’avais une vie et ma famille a pillé cette vie sans respect pour ma personne, alors je ne respecte plus cette famille, cette famille violente est subordonnée aux mythes des Michelet et je refuse et la violence de mon père et la violence des hommes qui m’ont connu jeune. Ils ont abusé de moi, parce qu’ils savent ma faiblesse, ils ont été complice quand je fus jeune de la violence de mon père et quand je fus jeune adulte, ils appelerent les loups pour me manger, ils furent complice du big brother de Chirac, ils voulurent casser ma révolte, ils me chasserent de France parce que la France était le pays de mes parents.
On dit la mère patrie, mais quand la mère est une perverse, il est parfois difficile d’aimer cette mère. Ma mère patrie est corrompue et perverse, c’est pour cela qu’elle m’a mis sous ecoute et quand je l’ai dit à ma vraie mère, elle s’est bien doutée que les Michelet etaient des pourris, mais elle m’a dit tait toi mon fils. Si c’était une vraie mère, elle serait allée me défendre, elle serait allée découvrir la vérite, mais elle m’a laissé manger par les loups, parce que ses revenus dépendaient de la considération que les Michelet avaient pour mon père. En fait le couple de mes parents ont choisi les Michelet, et on lachait leur fils. Ils ne sont pas des parents, je ne leur pardonne pas parce qu’ils ne demandent pas pardon, je ne pardonne pas au Michelet parce qu’ils ne demandent pas pardon.
Il est peut être bon de faire une histoire courte de la vie de mes parents, pour que vous comprennez ce qui nous a conduit à ce drame d’un mari tentant de tuer sa femme afin de briser le moral de leurs enfants.
Ma mère est la fille d’une famille de paysan catholique, mon grand père était un syndicaliste agricole, Jean Delmond, était cultivé et bon comme du bon pain, il avait epousé une garce, et avait eu cinq fille, Marie Joseph, ma mère, la permiere, Jeannette, la seconde qui fera des etudes, et qui est une faux-cul, mais ils le sont tous, Bernadette, qui epousera Claude Michelet ce qui est sont seul titre de gloire et qui est incapable d’être une mère, ce qu’il fait qu’elle loupera tous ses enfants, Suzanne, une folle du sexe qui castrera ses enfants, mais elles sont toutes castratrice, pour Sylvie qui était la préféré, mais qui tentera de se suicider, et deviendra folle, suite à un mariage avec un libertaire, ce qui aura pour effet, de la désaxer. Il y aura Jean Francois, le fils qui sera le grand malheur du pauvre Jean Delmond, si bien que ma grand mère Madeleine deviendra une veuve indigne, car mon grand père mourra de chagrin suite à la leucemie foudroyante de Jean Francois.
Les filles seront elevées par les bonnes sœurs, ce qui en fit toutes, sauf Jeannette, des castratrices perverses, l’education religieuse a été un desastre pour toute une generation de jeune fille.
Jeanette eu des problemes d’adolescente suite a sa timidité, cela la rendu meilleure que ses sœurs. Ma mère n’eut pas ce probleme. Je ne sais pas comment ces filles concilient religion et sexualité, je ne veux pas le savoir, en tous les cas, le problème s’est reporté sur la sexualite de leur fils, elles ont toutes, sauf Jeanette, un problème avec cela. D’où l’anecdote de Bernadette avec david Michelet : « Quand on est un Michelet on ne sort pas une petasse. » Non, on les epouse ma tante.
Ma mère est reste célibataire tard, elle n’a pas beaucoup de cerveau, elle ne fera pas beaucoup d’étude, elle va monter à Paris ou elle rencontrera mon père. Jean Delmond lui trouvera un boulot dans une boite d’assurance.
Mon père, est le fils d’un collaborateur un homme violent, sa mère, flamande francaise et son père, flamand belge, débarque en France. Mon grand père est un bourgeois remarquable, homme à femme, mais escroc, il est violent avec ma grand mère et avec mon père, il le bat, alors que mon père a deux ans. Ma grand mère a epousé des bourgeois, mais a des origines modestes, elle travailla a l’age de neuf ans a Lille, dans une famille bourgeoise et elle a dû parler le francais. Mes deux grands mères sont d’extraction modestes, l’une a travaillé pour les bourgeois de Brive La Gaillarde et a pété plus haut que son cul, parce qu’elle a vécu parmi les bourgeois, elle la fille de metayer. Elle éduqua toutes ses filles dans ce mirage de la bourgeoisie, il en est reste quelque chose. Ma grand mère paternelle était reste plus simple. Elle éduqua seule son fils. Quand mon père fut très jeune, elle eut le cancer. Mon père fut orphelin. Mon père était enfant de cœur, il voulait devenir prètre, il avait construit un petit autel, il disait la messe, les autres enfants lui lancaient des pierres. Il est resté un grand traumatisme de l’orphelinat. Sa mère se soigna par miracle du cancer parce qu’elle était la seule pour son fils. Ma grand mère devient concierge et se mit en ménage avec un grand monsieur très gentil, qui avait été chef comptable. Cet homme malade avait porté Jaures sur ses epaules et il avait été reformé pour la grande guerre. Ce couple de vieux était tres gentil, mon père était un petit roi tyranique, c’est de la qu’il guarda cette habitude de tyraniser les autres. Ses nerfs étaient mauvais et de la cette tyranie qu’il imposait aux autres. Il loupa son Bac et rentra dans l’assurance, son esprit de mathematicien fit de lui un expert en assurance. Quand ma mère le connut c’était un jeune cadre aux dents longues, les grandes boites aiment ces hommes sans humanité. Ma mère aima ce jeune homme brillant et comme disait ses sœurs, elle se choisit un homme dans le ruisseau.
Mon père epousa ma mère à l’age de 21 ans, elle en avait 24 ans, ils ne firent pas l’amour avant le mariage, mais nous ne sommes pas allés verifier. Ils me concurent a Lisieux, je vins au monde dix mois apres le mariage. Ils choisirent Claude Michelet comme parrain, Claude n’était pas célèbre et quoique fils de ministre, il n’avait pas la grosse tete, c’est son succes qui le cassa litteralement. Le succes est un cadeau empoisonné.
Mon frère laurent arriva quatorze mois après moi, j’étais tellement heureux d’avoir un frère que je badigeonnais ma chambre de merde. Etant bébé, j’avais déjà un caractere de merde, quand j’étais chez moi, j’étais tout sourire et quand nous sortions, je faisais la gueule.
Quand nous étions jeunes enfants mon frère et moi, mon père fit une crise de nerfs et il se retrouva dans un hopital psychiatrique. Ma mère se battit comme une folle pour sortir son grand fou de mari de l’hopital psychiatrique et elle convinquit le psychiatre qu’elle s’occuperait de lui. Elle ramena le diable à la maison. Je pense que très tôt dans leur couple, il fut violent, les nerfs lui jouaient des tours. Avant de succomber, ma grand mère mourra avant ma naissance, et elle attendit une fille qui se serait appele Isabelle, elle dit a ma mère « comme je vous plains, avec mon fils je ne vous fais pas un cadeau. » Le vieillle femme était fatigué de ce fils qu’elle avait voulu, son laxisme avait fait qu’elle avait croulé sous la tache.
Mon père fit une courte carriere a Amiens chez un assureur. Son père adoptif se suicida, car une jeune médecin lui avait annoncé qu’il deviendrait aveugle. Mon jeune père avait perdu en très peu de temps les deux êtres qui l’avaient éduqué.
Puis mon père alla faire carriere dans le limousin, il fut inspecteur d’assurance pour une compagnie d’assurance qui s’appelait La Concorde. Là il rencontra des polytechniciens qui firent des carrieres brillantes, jaloux, dans son amour étouffant, il rêva de cette carriere pour son fils, malheureusement son fils aurait été plus doué dans la recherche, car je suis un grand naif et dans la recherche aussi je serais passé pour un oiseau rare, par conséquent dans la vraie vie, je passais partout pour un original et mème carrement pour un fou. Mais mon père voulu que je fasse carrière, il me lava le cerveau pour que j’eusse cette ambition. Maintenant à 47 ans bientôt, je n’ai plus aucun souhait et volonté de faire carriere, à petit feu, ils ont tué tout rêve et volonté chez le bipolaire que je suis, ils me firent la vie difficile. La seule carriere que je veux emprunter c’est d’écrire ce livre pour faire passer le message au génération future et surtout a mon fils, pour qu’il sache quelle vie fut celle de son père.
Mon père eut une carriere problématique a la Concorde, parce qu’il jouait le jeu de ses agents d’assurance et pas celui de la compagnie et en plus il était dans une région pauvre, c’était impossible de scorer. Forte tête et trop fier, il avait refusé tout aide d’Edmond Michelet pour propulser sa carriere, il était mal noté, et il allait finir sur une voie de garage. Déjà à Limoges où nous etions, il avait des crises de nerf, ma mère lui cachait les bétises qu’on faisait de peur de ses colères. Une fois, nous lui détruisames avec mon frère sa collection de timbre, il eut une telle colere, il frappa ma mère qui voulait nous protéger, ma mère a failli avoir le courage de prendre sa voiture et d’aller a Perpezac chez ses parents, mais il l’en empécha et demanda de lui pardonner. Il fit des cadeaux et ma mère classa l’incident à tort. Mon père en Corrèze était le père noël : Mon grand père Jean Delmond était paysan et Claude Michelet avait choisi la terre, ils étaient deux familles de pauvres. La carriere de paysan est en Correze un véritable sacerdose.
Mon père jouait les peres noëls, il arrivait et s’invitait chez les gens de la famille de sa femme et il arrivait toujours avec le manger. Sa générosite est resté dans la tête des gens, quand Claude Michelet eut du succés il se rappela ses temps de disettes ou mon père apportait le manger.
Mon père était sur une voie de garage et devait revenir a Paris, c’est alors que ma mère le poussa à devenir agent d’assurance, il dut emprunter de l’argent. Mon père se mit a compter l’argent et c’est très mauvais pour les nerfs et mon père avait très peu de nerf. Il fit carrière à Coulommiers, où nous fumes éduquer. Nous étions catholiques et nous pratiquions beaucoup à Coulommiers. Pour ma confirmation on nous avait demandé de ne pas regarder la television pendant notre retraite, je craquais le deuxieme jour et regarda la television. Je parlais a mon copain Eric Sarriot d’une emission de télévision, il me dit que c’était pendant la retraite, je jouais les faux culs. J’aurais dû lui dire que je n’avais pas respecté mes engagements, mais j’etais faux cul. Lors de ma premiere confession des péches à Limoges, je sentis de la joie, alors je me dis cette joie ne m’était pas permise et je devins faux. Nous, les catholiques, nous sommes comme Abraham, pour montrer notre amour de Dieu, nous donnons en sacrifice notre fils, mais Dieu nous demande pas ce sacrifice, cette posture pour etre valorable aux yeux de Dieu fait de nous des êtres faux. Psychologiquement, je suis souvent faux, car je ne peux cacher mes sentiments et mes sentiments ne sont pas beaux, cela me rend faux cul.
Mon père à Coulommiers devint de plus en plus violent. Avec mon frère nous étions dure avec lui, les enfants ont la possibilité de se défendre face a la tyrannie. Une fois, nous étions en charge de la chaudière à Charbon, nous la laissames éteindre, alors mon père qui était militariste bien que reformé de la guerre d’Algerie, nous fit courrir dans la neige, nous le faisions, en nous moquant de lui, il se lassa.
Mon père était violent, il nous tapait, notre mère nous defendait et il tapait notre mere. Il gagnait bien sa vie, si bien qu’il lui faisait des cadeaux. Il tapait, il faisait des cadeaux. C’était un cycle infernal. Bref, il fit de nous des fous, à son image.
A dix sept ans, je me revolatais et comme il essayait de me taper, je le renversais et le pressa fortement, mon père se trouva sous moi et je lui dis que s’il continuait j’allais le taper : je fuguai. Je culpabilisai fortement d’avoir battu mon père, la victime se croit parfois être le bourreau, c’est le rôle psychologique des bourreaux de faire croire qu’ils sont les victimes. Depuis cet évènement, je n’embrassais plus mon père, nous ne nous saluames plus, il y eut un malaise entre nous.
Je fuguais et mes amis étaient les gens de la ville haute, j’avais des amis dans les HLM, mis a part Eric Sarriot, je n’avais pas d’ami petit bourgeois comme moi. J’allais chez Philippe hausmann, un fils d’ouvrier brillant. Il se marra car quand je me deshabillait mon petit zizi sortit de ma culotte. Il me parla de la métamorphose de Kafka, et il me dit que je reviendrai chez mon père et que je ferai sa volonté, c’est ce que je fis et je perdis mon âme, mon père fit de moi son jouet.
J’etais amoureux de la sœur de Philippe Hausmann sa sœur, elle était plus jeune que moi. Une fois j’étais allé la voire, j’avais fait de son velo pliant, nous avions parlé, il n’y avait pas de souci. Avec moi, le probleme avec les filles c’est quand on commence de parler de sexe.
Mon père allait quitter Coulommiers pour devenir courtier, c'est-à-dire qu’il travailla pour plusieurs compagnie, mon père gagna encore plus d’argent, mais cela le rendait fou, il était a Aubervilliers. Isabelle avait une grand-mère à Aubervilliers, par la sœur catholique qui nous formait, avec qui nous étions voire le pape jean Paul II au parc des princes, Isabelle me fit dire qu’elle aimerait que je l’appelle. J’eux peur de parler de sexe et d’amour à Isabelle hausmann, et je n’osai pas, j’avais son numero de téléphone chez sa grand-mère mais je ne telephonais pas.
Ce refus psychologique est mon plus grand regret. Toute ma premiere vie d’homme, je fus mal à l’aise d’être puceau, j’étais mal à l’aise avec mes camarades et en plus j’aimais Isabelle, mais j’avais peur du sexe alors j’ai fuis Isabelle. J’etais amoureux de Veronique Schaeffer, mais Veronique en aimait un autre. Mais je ne souffrais pas de la situation, c’est quand j’ai commencé à souffrir de mon état que je fis le nécessaire avec les femmes. La souffrance est nécessaire à certains hommes pour rentrer en relation avec les femmes. Mon echec avec Isabelle Veillet fut une telle souffrance que j’eux une relation avec Agatha Oleksy qui devint madame Worme.
Mais en fait, quand je pense a ma vie sexuelle, je ne regrette pas Isabelle Veillet, parce que cet amour contrarié est une tres belle histoire, je ne connus aucun amour avec Isabelle, mais il me reste une fantastique histoire, c’est une « vie en chiraquie », je regrette vraiment isabelle Hausmann parce qu’avec elle, je serais devenu un homme et j’aurais été un type bien, mais j’ai fuit cette fille, adolescente perdue qui était amoureuse de moi, comme je l’etais un peu d’elle, cet amour aurait pu grandir et c’est l’experience qui a manqué à ma vie.
Je fis une taupe au Lycee Albert Schweitzer, j’etais ridicule avec les filles, puis je devins ingenieur des mines, quand je dis que j’étais ingenieur des mines à mon père, mon père dans la voiture me fis la gueulle, parce qu’il était content et que nous nous embrassions plus alors comme il ne pouvait pas tomber dans mes bras, il decida de me faire la gueulle.
Je partis a Nancy étudier. Mon père était devenu infernal avec ma mere. C’est à ce moment que ma mère tenta de se suicider.
Mon père avait decider comme il gagnait beaucoup d’argent de faire du syndicalisme. Il essaya de faire une revolution dans le groupe Azur. Il voulait que les agents prennent le pouvoir, le directeur général n’était pas fou, il eut vent des maniguence de mon père, les agents lachèrent mon père. Ce directeur general décida de ruiner mon père. C’est ma mère qui demanda grace pour mon père. Mes parents divorcèrent pour sauver les finances de mon père. En fait, je crois que ma mère voulait vraiment divorcer, mais pour mon père c’était que pour les affaires. Puis, mon père acheta une affaire a Brie Comte Robert.
Mon père magouilla, il avait de l’argent au Luxembourg. C’est là qu’il fit une donation à ses enfants, en fait c’était pour acheter Perpezac Le Blanc à ma mere. Je tape, je fais des cadeaux. Il créa une société qui s’appelait Erlauva, pour Erik, Laurent et Valerie.
Puis il fit une autre avance sur héritage, mais il m’en parla mème pas, c’était pour payer moins d’impôt, il fit cette affaire, via Joel Hubert, son amour de jeunesse qui était clerc de notaire, ainsi il la rendit complice de sa magouille.
Bref quand mon père tenta de tuer ma mère, il avait beaucoup de problème d’argent et plutôt que de prendre avec philosophie, il tenta de tuer ma mère.
Claude Michelet lui avait avancé 300 000 francs pour combler un trou, mon père avait des trous dans ses finances, l’avance sur héritage était la pour rembourser Claude Michelet.
Avec ma sœur nous décidames que tuer n’était pas jouer, nous gardames l’avance sur heritage, pour faire pression sur les Michelet, pour que mon père comprenne que ces agissements n’étaient pas tolérables. En plus nous voulions faire quitter Claude Michelet de sa neutralité, car Claude était complice du meurtre de ma mère. Michelet Claude voulait revoir son fric. Le fils d’un grand Catholique cela a des limites, tu ne tueras pas, c’est bien dans la bible, mais dans la vérité on ferme les yeux et on veut revoir son fric.
Mon frère Laurent paya mon père et cassa l’entente avec ma sœur. Laurent disait que ma mère était complice de mon père ce qui était devenu vrai. Je me mis tellement en colere contre Laurent que ma femme qui était dans mon appartement à Paris a ce moment la, pris peur.
Bref, nous ne pumes faire pression sur les Michelet, Claude Michelet recu mon père et ma mère et firent pression pour que nous rendions les 300 000 francs. Claude Michelet a toujours été complice des violences de mon père, contre ma mère, contre nous.
Je rendis son avance sur héritage à mon père, je lui fis une lecon de morale, il me dit que j’étais un salop et que je toucherais l’argent quand il vendrait son affaire et que j’etais une pourriture. Depuis, je n’ai pas vu l’argent, c’etais les conneries de mon père, je n’ai plus de rapport avec mon père et avec les Michelet se sont tous d’horrible salopards sans moralité.
Nous sommes allés signe l’avance sur héritage chez Joelle Hubert, cette femme protestante, car mariée a un protestant, le premier amour de mon père, elle me dit deux choses : « quand les vieux deviennent fou, il faut que les jeunes prennent le pouvoir. » A cause de mon frère cela ne fut pas possible, mais je ne lui dis rien. En fait mon frere me dit qu’il ne voulait pas toucher l’argent de l’avance sur héritage, il divorcea eu besoin d’argent et en toucha une partie, mais mon père pris peur si bien qu’il perdit tout, il dû vendre sa maison, bien mal acquis ne profite jamais. Joelle Hubert me dit une autre chose, comme le monde dans lequel je vis est tout petit, Joelle Hubert connaissait les sœurs Veillet et Joelle Hubert avait fait mon contrat de mariage, mais je n’étais pas encore marié, elle me dit « Vous fuyez une protestante. » Elle parlait d’Isabelle, je lui repondis que « les catholiques sont plus sympathiques que les protestantes » elle me repondit que j’en reviendrai, ce qui est vrai, mais en fait cette conversation était absurde parce qu’Isabelle m’avait dit « je vais succomber » et pour moi elle était à un autre quand je comprendrais il sera trop tard. Ainsi il y aura le mensonge des femmes protestantes qui connaissent les sentiments d’Isabelle pour moi, mais j’anticipe.
J’ai revu Joelle Hubert et bien parmi les amis de mes parents c’est l’amnésie generale, elle a oublie qu’une protestante, c’est plainte que je la fuyais, on va me mettre dans un hopital psychiatrique, les bourgeois chrétiens savent que c’est injuste, mais ils ont tous fermé leur gueulle, les Michelet parce qu’ils m’ont fait mettre sous ecoute et Joelle Hubert parce que les Monod, la famille de la mère d’Isabelle est une grande famille.
L’année de mon mariage a été une année mouvementée dans ma famille, ma mère est allée se réfugier à Perpezac Le Blanc, psychiquement elle a craqué. Elle a retrouvé un vieil amant et à fait renaitre un amour, elle m’en a parlé comme une petite fille. Elle a été suivie par un psychiatre, et est devenue boulimique, c’est mauvais pour son cœur, elle mourra de cela. Elle ne saura pas à mon mariage. Ma femme me reproche l’absence de ma mère à mon mariage.
Il faut dire que le discours d’Agatha n’a pas changé, mes parents sont des anormaux qui m’ont cassé à l’adolescence, et que j’ai beaucoup de chance d’avoir Agatha et que je devrais faire tout ce qu’elle dit au moment où elle le dit. Bref parce que je suis l’homme et que mes nerfs sont fragiles c’est moi qui est tapé Agatha, mais c’est elle qui me harcele en me disant que je suis un raté que mes parents sont des fous et que si ils avaient payé des cours d’anglais, elle n’aurait pas à me parler en Anglais, donc elle ne me parle pas en anglais. Cela fait onze ans qu’Agatha me fait des discours de folie sur mon ambition maladive, sur le fait que je ressemble à mon père et elle me torture parce que je l’ai tapé, que je suis un malade mental et que je devrais travailler pour elle, pour ma famille, et que cela devrait être mon seul horizon, elle est contre mes projets d’écritures, elle dit qu’elle veut voire mon psychiatre et lui parler de mon comportement des lettres que j’envois que je suis fou et qu’elle ne peut supporter de vivre avec un fou, que c’est pour cela qu’elle a du stress.
Je ne justifie pas mon acte, mais ma femme me puni psychiquement d’être le fils de mes parents, ma femme est un démon qui crée un climat de violence dans le couple et va ensuite appeler les flics.
Mais pour l’heure le démon cree son piège d’amour, elle ne parle pas de divorce, car nous ne sommes pas marié, c’est apres le mariage, si tu n’es pas content divorce, ainsi il n’y a aucune discussion possible.
Nous avions planifié de nous marier en indonésie, à Balie, nous devions débarquer à Jakarta, traverser Java, traverser pour Balie, et ensuite Lambok, voire les volcans et toutes les merveilles archéologiques de l’Indonesie. Malheureusement, une revolution nous empêcha d’envisager le voyage en Indonesie.
Nous dûmes changer la destination de notre mariage sur un autre lieu de l’Asie, nous choisimes la Thailande, plutôt, c’est Agatha qui était plus habituée des voyages qui choisit la Thaillande.
Je la laissais préparer le voyage, nous devions voyager via KLM et décolames de Schipol, l’aeroport d’Amsterdam. C’était la premiere fois que j’allais en Asie, c’était un voyage très exotique. Nous avions planifié de nous marier en Thaillande. Cela justifie de n’avoir aucun invité à notre mariage. En fait à l’ambassade de France a Bangkok, il apparut impossible pour raison administrative d’organiser ce mariage, je m’etais pris au dernier moment, Agatha n’était pas contente, mais le mariage du bout du monde finissait a l’eau.
En fait, nous nous sommes mariés plus d’un mois après notre voyage en Thaillande, à Brie Comte Robert. Nadine m’aida dans mes demarches, comme elle assurait la mairie de Brie Comte Robert, c’était plus facile. Administrativement, ce n’était pas chose simple, il fallait coordonner les délais administratifs francais et polonais, faire traduire le polonais. Agatha n’étais pas contente avec moi, elle m’engueullait et me laissa tout regler pour le mariage.
Ce qui m’est apparu en arrivant à Bangkok c’est la chaleur. Nous primes un taxi pour bangkok qui nous laissa dans notre hotel à 5 dollars. Nous avons fait un voyage low cost. Moi, je voulais aller dans un hotel de luxe, cela fut meme une cause de dispute severe avec Agatha. Je remarquai la chaleur à Bangkok et surtout l’odeur d’égout des villes d’Asie.
Je fus aussi frapper, par une sorte de modernité, il y avait partout la possibilite de faire internet. Chez Screg Batiment nous nous masturbions en nous posons la question de l’usage d’internet au travail, Clara Durand Seidl, l’amie de Marie Laure Pillard, notre jeune ingenieur Estp était naturellement pour internet. Clara Durand Seidl sera mon temoin à mon mariage, elle savait que j’etais puceau, elle savait que je devenais paranoiaque, ce que je ne sais pas de Clara Durand Seidl, c’est si elle savait si j’avais été mis sous ecoute. Pour elle, j’etais un raté quand je lui ai fait croire que je developpais des affaires pour des neerlandais elle ne me crut pas, pour les gens de Screg batiment j’etais le chiffreur fou, le chiffreur fou ne réussit pas professionellement. Je pense que Clara fit capoter les choses avec Marie Laure Pillard parce qu’elle savait que j’étais prédestinné à l’echec, et que je ne pouvais rendre heureuse une femme.
Il faut dire qu’Agatha s’est marié avec un echec professionnel, elle a voulu se marier avec un ingénieur des mines, mais j’etais déclassé.
Ce qui me frappa, c’était la modernité de ce tigre asiatique et internet. Je fus choquer par les fils électriques et les transformateurs en pleine rue. Ce qui me plus c’est le sourire des gens, les touctoucs me plurent. Ils étaient en cheville avec les restaurants et les boutiques. Nous achetames des tissus, nous nous fimes faire un costume pour moi et une robe de marier bleu pour Agatha.
Manger en Thaillande est un delice et c’est peu cher, j’adore la cuisine épicee, c’est con comme phrase, mais c’est la vérité, je suis ingénieur bourrin, je ne suis pas un guide castronomique ou un guide de voyage, moi je raconte la chiraquie.
Ce qui choque pour un occidental, c’est cette foi boudhiste en marche. La foi s’éteint en occident pour une nouvelle foi qui s’appelle progrès et laicité, en Thaillande on voit des moines partout et les temples vivent.
Nous visitames les temples classiques de Bangkok et vimes les Boudha couchés. Nous fimes aussi des marchés, Agatha adore les courses, faire les marchés est une veritable joie pour elle.
Pour avoir envie de visiter la Thaillande, ne lisait pas une « vie en Chiraquie », un guide fera l’affaire, mais la Thaillande est un pays merveilleux. Nous devions aller dans le nord, alors nous allames prendre notre billet pour Changmai à la gare centrale de Bangkok. Dans la rue des marchands ambulants vendaient des mangues fraiches.
Prendre le train couchette pour Changmai etait toute une aventure, dans le train Agatha se lia d’amitié avec des amis australiens qui voyageait en Thailande avant d’atterir en Angleterre où il devait etudier. J’étais jaloux parce qu’Agatha leur parlait et me delaissait.
A Changmai nous fumes aussi dans une pension à cinq sous. Agatha visita des temples avec les australiens, moi j’étais faché, je faisais la gueule, nous avons passé notre voyage de noce à se faire la gueule. Je telephonais à Valerie pour dire qu’avec Agatha cela n’allait pas. En fait, avec Agatha nous ne nous endendons pas, nous ne sommes pas sur la meme longueur d’onde.
Nous fimes le trek dans la jungle thailandaise. Le bruit des insectes est infernal. Le guide me parla de Cantona. Nous étions pendant la coupe du monde difficile d’avoir des nouvelles.
Nous fimes une marche en éléphant. Pour monter sur le dos de l’elephant j’etais particulierement froussard, notre éléphant ne voulait pas marcher, et se perdait dans les herbes à dévorer nous étions ridicule. Puis avec nos amis australiens nous descendimes la rivière que nous avions montée a dos d’elephant en radeau, Notre ami australien fut particulierement patient avec moi.
Nous dormions dans des villages thaillandais dans la jungle, c’était spartiate, les maisons étaient sur piloti. Je surprenais une conversation, les australiens disaient qu’ils avaient rencontré un irlandais comme moi. En fait, Agatha savait quel introverti et psychopate elle épousait, mais comme toujours Agatha voulait autre chose. En fait, si on fait la somme des amants d’Agatha, Agatha aura eu ce qu’elle a voulu dans la vie, seulement a chaque fois pas vraiment.
Notre ami australien était tres gentil, il prit la mesure de qui était Agatha, alors il me dit « est-ce que tu sais qui tu epouses ? » En fait, je crois que je le savais, mais pour le savoir vraiment il faut le vivre.
Agatha nie ses amants, je crois qu’elle a epousé une maniacho depressif pour lui dire qu’il était fou, elle détruit, elle se détruit pour régner.
Apres ce trek nous rentrames sur changmai, nous allames au triangled’or, nous vimes une cérémonie dans un temple et une foire avec des petits elephants.
A Changmai, Agatha acheta des bols chez un antiquaire francais vaguement homosexuel, pédophile, j’imaginais qu’elle aurait été ma vie si j’avais echoué au bout du monde à Changmai.
Nous primes un billet d’avion pour KoSamui. A Changmai, j’ai complètement oublié la raison, mais nous étions très faché avec Agatha, pour un voyage de noce c’était réussi, bonjour la vie en couple, pour un vieux célibataire comme moi, c’était une decouverte. De toute facon, Agatha est un poison pour un homme et moi, je suis inbuvable.
La question c’est posé si nous allions par la capitale historique de la Thaillande, puis vu les finances, nous décidames d’aller directement à Ko Samui. Dans l’avion, nous étions cote a cote, nous décidames de nous réconcilier, c’est en Thaillande que je compris la fonction des vacheries, c’est pour mieux profiter de la réconciliation. Comme Agatha devenait douce, je lui dis que j’en avais marre des bouiboui a cinq dollars et que a Ko Samui je voulais dormir dans un hotel de luxe.
Nous arrivions dans un aeroport de rêve à Ko samui c’était l’enchantement, comme c’est Agatha elle qui parla au taxi et moi qui voulait aller dans un hotel fut conduit dans un bouiboui a cinq dollars. C’était une trahison d’Agatha une de plus, elle se servait de ma dépendance linguistique pour en faire qu’a sa tète, cela fait onze ans que cela dure, je ne suis toujours pas habitué. Au paradis, j’étais vert de rage, autant de duplicité cela était inconcevable. Agatha s’est marié avec moi pour avoir ce pouvoir destructeur sur moi, mème dans la sexualite, elle est comme cela, elle me dit sur tous les tons que tout est mal. Je voulais aller dans un hotel de luxe après une semaine d’aventure, c’était mal. Bref de rage je fuguais sur la plage et je marchais sur la plage comme un fou. Ma femme me rend fou, le mariage est une sacré expérience.
De retour au bungalow, j’avais attrapé un coup de soleil, je mis le fric sur le lit, je divisais en deux et je lui dis puisque c’est comme cela tu vas de ton coté et moi du mien. Puis nous nous sommes réconcilier et finalement je me suis fait avoir, je crois qu’avec Agatha, avec les femmes, je me ferais toujours avoir. La femme est un être faux par excellence.
Il y avait des cancrelats dans le bungalow ma colère repris puis je finis par me coucher. A Ko Samui, les restaurants étaient sur la plage c’était très romantique, nous mangions au flambeau. Nous visistames les hotels, mais nous ne dormions pas dedans.
Nous primes le bâteau et allames sur Ko Tao, qui est plus jolie et plus sauvage que Ko Samui. Nous allions sur la plage dans une presqu’ile ou nous vimes des barakoudas.
Nous fimes une experience de plonger avec des nouveaux zélandais, Agatha était à l’epoque ne saver nager, difficile pour plonger avec moi, moi je n’etais pas tres bon, la monitrice se mit sur moi pour me faire couler au fond, j’eus une crise de panique.
Puis nous passames de l’autre cote par Krabi, pour lequel je ne garde pas un grand souvenir. De là nous allâmes à KoPipi, nous fimes le tour de l’ile en barque et dans une baie, je nageais au paradis, j’envoyais une carte postale de cette baie à l’eau turquoise, où je lui dis que j’avais connu le paradis et que j’y avais nagé.
A Kopipi, le bungalow était luxueux, nous fréquentames des italiens, nous allions par snobisme manger dans un hotel deluxe, mais nous mangions des surgelés, dégueulasse, le lendemain nous mangions sur la plage a coté d’un village de pécheur qui nous fournis en langoustine gigantesque, je baffrais, je suis vraiment un vieux garcon, pour moi il n’y a que le ventre. Sexuellement le voyage en Thaillande fut timide. Avec moi, Agatha fait une fin, comme elle me sait naif, elle me dit qu’elle m’aime comme cela.
Puis nous reprimes le bateau pour une ile musulane, Nous jouions avec la mousson. Nous etions surpris de voire les bungalows vides. Nous etions les derniers la saison était fini. La nuit fut horrible, c’était le premier jour de la mousson, nous croyons que la mer allait finir dans notre lit.
Le lendemain nous décidames de rentrer sur Poukhet, nous devions être à Bangkok pour prendre l’avion de retour. Sur le quai, il n’y avait qu’un bateau qui ne voulait pas prendre la mer, il faisait monter les prix. Enerver, je me mis a courrir, mais c’etait absurde, en plus avec la mousson, il pleuvait, je revenais vers Agatha et notre quai. Finalement, les marins musulmans carquèrent et nous amenèrent en pleine mouson vers Poukhet.
A Poukhet, nous trouvames un distributeur de billet, et pumes aller manger a l’Hotel. Dans les toilettes, il y avait un couple d’Allemand qui faisait l’amour, Agatha se renseignait et il faisait cela partout, ils etaient fou ou nous n’etions pas normal.
Finallement, nous primes le bus pour Bangkok, Agatha avait ses règles, à l’époque je notais précossionement les règles d’Agatha, mais je n’étais pas assez doux avec elle, elle m’en fis le reproche. Agatha a beaucoup de migraine, ses règles sont horribles.
A Bangkok, nous allions enfin dans un hotel, mais c’était pas le luxe, Agatha me dis que je n’etais jamais content. J’allais à un combat de boxe thai pour sentir l’ambiance de la rue.
A Bangkok, Agatha acheta du tissu pour faire des rideaux, dans le magasin, Agatha me dit « Tu sais, Erik, il faut que tu ramenes au moins 75000 frs pour notre appartement, il y a la table et le lit a acheter. » c’était le debut des ultimatums d’Agatha. Agatha m’a demandé de quitter mon boulot et de revenir la rejoindre en Holllande pour me coincer avec ses ultimatums, ce fut le piège.
Puis, nous repartimes en Europe. Nous avions decidé de passer par Varsovie. En plein mois de juin, il faisait 7 degres, alors qu’à bangkok il en faisait 40, et nous etions habillé pour Bangkok, autant dire que nous étions repérables a Varsovie. Nous allames chez un coiffeur, puis nous primes le bus pur aller dans le vieux Varsovie ou Dieu sait encore.
C’est là que cela devient Starky et Hutch, une bande de voleurs nous avaient pistée, ils encerclèrent Agatha dans le bus, elle me cria reste à coté de moi, je ne le fis pas, je suis mou, elle m’en fit le reproche toute sa vie, ils lassérèrent son sac à dos avec des lames de rasoir prirent son porte monnaie, c’était fou je voyais le porte monnaie de main en main. La porte du bus s’ouvrit, je pris l’un d’entre eux par le collet, quand quelqu’un me remis dans le bus. Nous étions dérobés de tout.
Puis le bus s’arréta et la police vient nous voire. En fait la police suivait la bande de voleur qui nous suivait, nous avions servi d’appat.
Nous passames notre journée au commissariat de police dans une atmosphere de paranoia. Il y avait un traducteur francais, dans la terreur je ne reconnaissais personne et me souvenait de rien, Agatha était furieuse contre moi. A la fin, les flics nous conduisirent avec des sirènes vers l’aeroport.
Apres ces évènements, Agatha ne voulait plus se marier avec moi, comme j’avais eu peur, j’étais un pleutre.
Arriver à Delfgauw dans la maison d’étudiant, Agatha appris le décés de sa grand-mère, elle ne voulait pas que je la consolle, je ne comprenais pas et puis j’étais un lache.
Finallement, nous nous réconciliames, bien sur nous nous revachions dans les rues de Zoetermeer, un hollandais nous dit que ce n’était pas bien.
Je revenais chez Screg Batiment pour regarder le quart de final France-Italie sur un poste de television avec une quinzaine de collègues.
Plus tard, nous regardames la finale entre la France et le Bresil. Nous étions chez un hollandais marié à une polonaise qui faisait des traductions pour la justice. Ce couple neerlando polonais reviendra dans cette histoire car nous serons invités à ses cinquante ans. Les hollandais étaient pour le Bresil, et ils attendaient ma déconfiture, malheureusement la France gagna 3-0. A 2-0, je dis à la polonaise que les Bresiliens jouaient incroyablement mal, j’essayai de cacher ma joie.
En revenant à Delgauw, je glaxonnais dans un Delft endormi dans un silence de mort. Les hollandais aiment le foot quand la Hollande joue, personne si ce n’est moi n’a feté là bas la victoire.
Puis le 24 juillet 1998, j’epousais Agatha Oleksy à la mairie de Brie Comte Robert. Nous étions six, Clara Durand Seidl, le photographe, un ami de mon père, responsable d’une agence imobiliere, Nadine et mon père. Au début, à la mairie, ils ont ri car ils annoncaient le mariage d’Erik Worme avec Erik Worme, c’était un peu vrai tant j’avais forcé la main. Puis nous allames féter l’occasion dans un restaurant chinois, mon père ne voulu pas payer et fis des blagues nuls, mon père est un porc, Clara Durand Seidl peut en temoigner.
Le lendemain nous étions en Corrèze à Perpezac Le Blanc pour un grand mariage celui de mon cousin Olivier Desmazeaud et la belle blonde Marianne. Nous étions au déjeuner dans un coin avec la fille ainé de Claude Michelet, Mireille, et ma grand-mère qui n’avait pas fait son attaque. Claude Michelet voulait que je fasse un discours, mais j’étais trop ému, pour parler en public.
Puis Agatha revint à sa vie, comme Agatha faisait un ultimatum pour que le 25 aout que je commence un cursus intensif de neerlandais, je demandais ma mutation chez Screg Batiment. Comme il voulait se separer de moi de longues dates, on ne garde pas un homme mis sous ecoute, le principe de la mutation fut accepter. Mais le 25 aout 1998, j’étais à TU Delft et je commencais une vie nouvelle. Je me suis précipité à cause d’Agtha, mais mon néerlandais est toujours balbutiant.
Dans nos disputes reviens souvent pour moi le fait qu’Agatha a fait la promesse de me parler en Anglais et qu’elle ne l’a pas tenu, mais aussi ce qui ne me va pas avec Agatha, ceux sont ses ultimatum sur ma venue en Hollande precipitée, sur l’argent que je devais ramener, sur l’appartement qu’Agatha a choisi toute seule.
Arriver en Hollande, je vis une femme tres occupée avec son boulot de business developpeuse, occupée à ses voyages d’affaires et je me suis retrouvé dans une profonde solitude.
J’ai rencontré Dieu parce que j’ai fui Isabelle, et son Dieu m’a rappelé à elle, mais aussi parce que la femme que j’ai choisi en depit de ses bons cotés et par bien des aspects un demon, un demon qui se fait passer pour un ange. Comment deviner chez la tres extravertie Agatha la face cachée, cette volonté quotidienne à ne pas se comporter en épouse. Elle ne me parle pas en anglais pour que je ne raconte jamais qui elle est vraiment, ainsi isolé elle me tue à petit feu.
Si « une vie en chiraquie » est publiée en anglais peut-être que nos amis decouvriront les secrets de notre couple et l’extrême souffrance que je subis.
A l’heure qu’il est je n’ai pas le droit d’écrire « une vie en chiraquie » parce que l’ordinateur fait trop de bruit et qu’elle a droit à sa liberté, elle aussi.
Agatha est un bourreau du foyer qui m’a fait passer pour le bourreau. Elle se suicide pour refaire sa vie avec un autre qui viendra la sauver.
Chapitre 9 : Fuite en Hollande
« Le 24 juillet 1998, je me marrie avec Agatha, le 25 aout 1998, je suis en hollande pour étudier le néerlandais a l’université de Delft. Le mariage est sur la mauvaise pente, financièrement catastrophique, ce mariage devient houleux »
Emigré est une chose stressante. Nous sommes en prison dans le langage et dans notre culture, mais ces mauvaises habitudes sont des protections. Le big brother de Bouygues était une prison, mais j’y tenais, voire meme j’aimais cette prison. Emigré, on se demande quel etre humain on est, quel etre humain on est à l’exclusion de son langage et de sa culture. Sommes nous par nous mème, ou sommes nous programmés ? Parce que nous sommes programmés par notre milieu, nous n’existons pas par nous mème et il suffit que nous soyons dans un autre milieu pour mourir.
Il faut dire que j’ai epousé une polonaise et que de ce fait, je ne suis pas vraiment integré a la société neerlandaise. Parler en anglais ou en néerlandais apres treize ans reste penible, et j’ai parfois du mal à comprendre les gens, cela augmente mon sentiment de solitude et mon stress y afférant.
J’étais extremement stressé de quitter mon pays, et Agatha m’avait demandé d’amener du fric, cela augmentait encore plus ce stress. Je fis comme les écureuils, j’amassais mes économies. J’etais locataire, chez mon parain, Claude Michelet, mon père avait eu des soucis d’argent et dans une confusion des genres, il venda a Claude son appartement. J’oubliais de payer les quatre derniers mois de loyer. Je payais 4000 francs et Claude ne touchait que 3500 francs : mon père se faisait payer les meubles qu’il m’avait offert 500 francs, mon père est un fumier. Bref, ne pas avoir payer les quatre derniers mois a été une compensation. J’amassais du fric, nous en avions besoin pour notre nid d’amour.
Avant de partir, j’essayai de trouver des solutions en France. J’allais voire les anciens élèves de l’ecole des Mines. Un ancien me recu, et il me dit de me méfier des femmes dans mes parcours de recherche d’emploi, car elle pouvait démasquer les contours de ma psychologie. Il me dit qu’apprendre une langue étrangère était difficile, mais que sur l’oreillier tout pouvait s’arranger. Je pense comme lui, avec l’aide de ma femme, je pense que tout devenait simple.
Puis j’allais dans le groupe Bouygues dans le nord de la France. J’avais demandé ma mutation et le principe était accepté, je recherchais un point de chute dans ce groupe démoniaque. Le Drh me dit que la politique du groupe pouvait passer par la Hollande : il venait de traiter une opération dans la zone industrielle de Rotterdam. Je vécus toute ma vie en Hollande dans le monde du BTP, dans le mythe de société francaise montant Hollande faire du business, alors que les groupes de BTP néerlandais via une politique de quartel faisait tout pour limiter l’influence des étrangers sur leur sol. Mais j’etais attaché à mon pays, mème si mon pays m’avait fait souffrir, en allant en Hollande, je rêvais de la France. J’eux une utopie, celle de la fondation du premier groupe de BTP paneuropéen, d’un groupe de BTP faisant du business partout en Europe. C’est ma difficulté d’integration qui me fit créer cette utopie.
Agatha m’avait demandé, exigé de venir le 25 aout pour étudier à l’université de Delft qui avait un cours intensif de néerlandais pour les etudiants etrangers. Mais je pensais a l’argent. Si j’avais été honnète, j’aurais posé ma démission et aurais quitté la France. Mais dans un premier temps, je demandai ma mutation et dans un deuxième temps j’eus l’idée de me faire porter malade. En effet, j’étais dépressif, c’était une bonne idée d’arguer d’une depression. J’en parlais à Agatha, mais Agatha ne communiqua pas avec moi, elle n’était pas sur la meme longueur d’onde. Plutôt que de discuter avec moi, car il s’agissait de notre avenir, elle en parla à sa mère, qui dit que je devais prétexter d’un mal de genou. Bref, les polonais se foutèrent de ma gueulle et Agatha ne communiqua pas avec moi. Ainsi, quand je débarquais en Hollande, j’allai voire des medecins pour ma depression, mais j’appris que l’arrêt maladie était une spécialité francaise, si bien que ma magouille tomba à l’eau.
Agatha qui connaissait les deux systemes ne m’expliqua pas que mon plan ne pouvait pas marcher et ensuite elle m’insulta en me disant que je ne savais pas me débrouiller.
Si Agatha avait discuté avec moi, je me serais fait arréter pour dépression en France et apres ma formation en Néerlandais je serais revenu chez Bouygues pour finir ma mutation et éventuellement me faire virer, c’était mon intéret j’avais un an d’ancienneté.
Je ne comprends pas pourquoi Agatha ne communique pas, n’écoute pas l’autre avec ses idées et ses besoins, parce que ma femme ne m’écoute pas, je me suis trouve dans une situation financière catastrophique. Mais dans le fond, elle a raison, mes magouilles pour tirer du fric du système que je critique sont puériles.
Au bout d’un mois a l’université de Delft, je dus rentrer en France et interrompre mes cours intensifs. Dans la voiture, je pleurais, pourquoi ses femmes comme Isabelle et Agatha tombaient sur moi, pourquoi je tombais sur ces femmes inhumaines et vaguement assexuée. En plus de calmer le jeu chez Screg Batiment, il me fallait résoudre un problème financier, il manquait de l’argent à Agatha pour obtenir les clefs de l’appartement. Financièrement, l’appartement d’Agatha cela ne marchait pas, il manquait de l’argent, cela n’est pas Agatha qui me prévint, c’est le banquier néerlandais. Cela fut un de nos nombreux tabous entre moi et Agatha.
Je me fis arréter pour raison de santé en France. J’avais pris ma voiture de fonction en Hollande, Screg batiment, portera plainte contre moi pour la voiture, puis me vira pour faute grave, je perdis mes neufs ans d’ancienneté dans le groupe Bouygues. Je voulais les attaquer aux prudhommes, mais mon père qui était mon assureur qui voulait se venger de moi, enterra le dossier, je chargeais ma sœur d’envoyer une lettre recommande, elle le fit trop tard.
Ma femme était nul, mes parents etaient nuls et j’emigrais en Hollande sans argent, j’etais seul, je suis seul au monde, c’est mon destin. Peut être que c’est moi qui suis nul, je vois mal la vie, je ne pense qu’au fric, c’est étriqué, Dieu m’aima pour cette tar.
Bref l’émigration en Hollande fut une catastrophe financière. Mon plan, c’était d’être en arrét maladie quatre mois d’apprendre le néerlandais, de revenir me faire virer chez Bouygues de toucher mes années d’ancienneté et de financer des cours pour faire un MBA en Hollande. Avec un diplôme superieur, j’aurais pu plus facilement m’integrer a la societe neerlandaise. Mon père aurait pu financer mon MBA, mais mon père est une pourriture, il a laissé son fils se faire dévorer par la vie, en somme je ne dois rien à personne, tout ce que j’ai c’est grace à mon sens de la survie.
Pendant mes études à TU Delft, nous étions à Delfgauw dans la chambre d’étudiant. Les étudiants faisaient du bruit, nous manquaient de repect parce que nous étions étrangers, et voulaient nous faire plier à leur règle stupide, bref de vrais jeunes cons de hollandais.
Folerine, le propriétaire voulait que je paye pour être dans la chambre avec Agatha. Un jour il voula me donner un coup de pied au cul, je le mis par terre et le sortie de la maison d’étudiant, il me dit que je ne comprendais rien à la Hollande et que les Hollandais allaient se charger de me l’apprendre.
En Hollande, les Hollandais donnent des coups de pied au cul des étrangers parce que c’est un petit pays et qu’ils sont chez eux : il y a trop de pourriture en Hollande.
En tous les cas c’était tres motivant d’apprendre avec des etudiants plus jeunes, j’apprenais beaucoup de chose sur la culture néerlandaise, je travaillais 70 heures par semaine, cela me faisait beaucoup de bien.
Un étudiant vénézuélien me dit « les holllandais sont byzarres, il se dépucèle à 30 ans », j’ai cru qu’il parlait pour moi, je crus que Big Brother était aussi chez les étudiants.
Un etudiant noir me dit que d’étudier une langue étrangère cela pouvait rendre fou, il était prophète, il venait de Russie, ou il avait appris le russe, sa premiere expérience en russie était de rencontrer une russe dans le métro, et elle lui plut, alors il crut la revoir le lendemain dans le métro, mais l’africain appris ce qu’etais une grande ville, il ne la revit jamais.
Je discutais avec un italien et cette discussion eut des répercutions sur mon premier pétage de plomb, il me dit que quand on était catholique on devait croire au dogme de la résurection du Christ, moi je suis catholique et toute ma vie je douterai de ce dogme et de tous les dogmes d’ailleurs.Il me dit et cela me resta dans la tète que quand il était adolescent son père lui parla de sexe et lui glissa une capotte.
L’apprentissage du néerlandais me fit beaucoup de bien, mais mème avec les etudiants, je croyais à Big Brother, j’avais cette paranoia d’etre connu et reconnu, jugé, et cela me bloque dans ma communication avec mes semblables.
C’est pour cela que j’écris « une vie en Chiraquie » pour etre vraiment connu et que cela ne soit pas un fantasme. C’est une mauvaise idée, car cette idée me tue à petit feu, mon cerveau se suicide, c’est difficile à expliquet, l’écriture de ce récit m’épuise à l’extrème.
La méthode de TU Delft est génial, il faut répéter des phrases par cœur pour faire un test sur ordinateur pour passer dans le niveau supérieur, c’est ludique comme méthode, cela me fit beaucoup de bien, cet apprentissage automatique est le seul qui me convient.
En plus, j’ai l’esprit de compétition, j’aime me battre intellectuellement c’est pour cela que je voulais faire un MBA. Je parlais à tout le monde notamment a ce couple Hollando –Polonais que j’allais faire un MBA. Le MBA fut un projet mort né, je ne fis jamais une grande carrière à l’international, ma femme m’expliqua que l’ambition chez moi était une maladie, cela justifie sa maladie à ne pas communiquer avec son mari. Ma femme m’a rendu malade parce qu’elle est malsaine elle-mème. En fait, j’aurais dû l’écouter.
Après quinze jours en Hollande, je pouvais faire des petites phrases en néerlandais, nous allions voire Barbara, sa copine polonaise de Leiden. Barbara n’était pas aimée parce que c’était une célibataire endurcie et qu’elle travaillait pour un bureau de placement et qu’elle n’avait jamais aidé ses copines polonaises. Dans la voiture, je voulus parler Hollandais avec Agatha, elle refusa.
Agatha m’avait fait quitter mon travail, mon pays, ma famille et elle refusait de parler en néerlandais, c’était une trahison et c’était un choc, je ne comprendrais jamais pourquoi elle me fit autant de mal. Avec Barbara, Agatha parla de son métier de business développeuse et de ses murisseries de banane. Agatha m’avait fait quitter mon métier et elle ne parlait que du sien, elle aurait voulu qu’on l’admire et elle voulait être la seule personne du couple, c’est pour cela qu’elle ne me parle pas en anglais et en néerlandais pour que je disparaisse comme personne et parce qu’elle sait que si j’avais fait un MBA, si elle m’avait parlé en anglais, j’aurais été heureux, j’aurais été libre et libre je serais revenu vers Isabelle.
Isabelle et Agatha ont un point commun, je ne peux pas parler à Agatha de sa promesse de me parler en Anglais, je ne peux pas parler a Isabelle de son « je vais succomber » ces deux femmes parce que je les ai aime veulent me faire vivre comme un damné, elles veulent me faire vivre dans l’absurde alors elle nie notre passé commun.
Barbara fut la seule personne qui demanda à Agatha pourquoi tu ne lui parles pas en Néerlandais. Si il y avait plus de personne qui lui pose cette question peut être qu’Agatha aurait craqué. Agatha a fait un crime de l’intimité. Les gens autour de moi ignorent ou faignent d’ignorer la souffrance d’etre isolé par la femme qui partage sa vie. La seule fois que je vis le meme phénomène c’est avec le patron de mon frère laurent, Garabedian, sa femme arménienne ne put jamais avoir le niveau en francais nécessaire pour jamais exercer comme medecin en France, il la maintenait aliéner à lui de cette manière. Ma femme me tiens dans l’aliéniation en refusant de me parler en anglais. J’ai tout quitté pour elle, je lui ai fait part de mes ambitions, de mes plans, elle m’a fait perdre neuf ans d’ancienneté et en plus elle m’a empeché que je fasse carriere en refusant de me parler en Anglais. En fait, je suis mesquin et j’ai la manie de la persécution, les psychiatres français qui vont me « soigner » n’ont pas tout à fait tort.
Quand je n’étais pas content et je n’étais pas content souvent, elle me dit divorce. Elle s’est mariée avec moi pour me dire divorce quand je ne suis pas content avec ces choix de folle polonaise. Agatha est imparfaite, j’ai fini par l’aimer, mais je ne supporterai jamais son comportement dans le couple.
Elle m’a fait connaitre le chomage et elle me dit Arthur Morcysky est mieux que toi, ou un tel parle le polonais avec sa femme et toi tu n’apprends pas, tu es nul, elle m’a demandé de faire quelque chose d’impossible de faire et elle me traite de nul, c’est cela le système de toture d’Agatha.
Le père d’Agatha était venu nous aider. Agatha avait choisi un parquet en bambou, mon beau père mettait en œuvre le parquet en Bambou. Son père était un héros, moi, je me ruinais et je ruinais mes chances, mais son père était un héros et je devais avoir beaucoup de respect pour lui. Bref dans le décor j’etais de trop. Quand j’étais revenu en France, mon beau-père m’avait dit « Arrevidici ! », bref casse toi grand con, tu nous fais chier avec ma fille.
L’argent défilait, tout ce que j’avais economiser, défilait, je ne pus finir mon cursus a TU Delft, je suis véritablement sacrifié pour Agatha. Je reproche le sacrifice de ma carrière à Agatha, car ce fut le choix de la bétise, la profonde, l’épaisse bétise de ma femme. En fait, ma femme avait raison aussi, pourquoi faire carrière quand on n’a pas de vie, cela manque d’équilibre.
J’étais souvent faché, face à son comportement vis-à-vis de mon argent, je la traite de putain, et ensuite je mimais la fessé, elle me dit qu’elle se vengerait. Elle me fit en effet une vie de facherie, je craquais, je la tapais, c’est mal.
Notre couple devient orageux, je gueullais sans arret, j’etais malheureux nous etions loin de l’harmonie tant espérer. Agatha veut que je sois le père ideal de ses rêves, un homme qui n’a qu’une ambition qu’un amour, sa famille : cela n’est pas moi. Alors elle me punit de ne pas être son idëal. En fait, je suis la chose d’Agatha, c’est comme cela qu’elle m’aime et comme une chose je n’ai pas le droit de parler, alors Agatha ne me parle pas en anglais comme cela je suis une chose, je ne parle à personne.
Très tôt, dans mon cursus de néerlandais, je sollicitais pour travailler en Hollande, je crois que j’ai passé ma vie en Hollande à solliciter de la sorte, j’ai parlé avec les hollandais, c’est peut être les seules conversations que j’ai eu avec eux solliciter pour un travail.
A la fin de l’année 1998, nous décidames d’aller en Pologne, c’était la deuxième fois que j’allais en Pologne après cette journée mouvementée à Varsovie. Nous primes l’avion pour Varsovie, puis le train de Varsovie à Cracovie, là Agatha fit la connaissance d’un jeune français qui travaillait dans les telecom qui avait bossé en Pologne et qui vivait depuis peu en Hollande, nous primes le bus de Cracovie à Nowy Sacz, là où habitent les parents d’Agatha.
Les parents d’Agatha vivaient dans les blocs, les HLM polonais, dans un quatrième étage sans ascenseur, depuis que j’ai gagné au loto, ils vivent a la campagne.
J’avais toujours aimé, les filles des HLMs, cela ne me genea pas bien au contraire d’avoiréepouse une fille des HLm polonais. Ma belle mère trouva que j’etais un homme monté sur deux chevaux, la barrière de la langue ne trompe pas une mère. A vrai dire, elle avait raison, je vis dans la nostalgie, d’un mariage bourgeois, Isabelle, et d’un autre côté, je ne suis pas prêt à me préter aux règles sociales de la bourgeoisie, mon associalité me pousse vers les HLM, mais je regrette les conséquences, je suis un enfant de Dieu, bien ingrat.
En pologne, je découvrais la soupe de béteraves, les raviolis polonais, la choucroute polonaise et toute sorte de chose et l’hiver polonais. Le sud de la Pologne est montagneux, je decouvris Zakopane, la station de ski polonaise.
Puis nous revinres en Hollande, pendant mon apprentissage de Hollandais, j’avais été calme, mais la il fallait connaitre le chomage. Le chomage nous pose un probleme qui je suis quand je suis plus rien. Je réussis de m’inscrire aux ASSEDIC en France, si bien que j’étais dans l’illégalité, mais on ne fait pas d’omellette sans casser des œufs. En Hollande, j’étais infernal, je devenais jaloux d’Agatha qui pouvait voyager, Agatha alla voire son ami Philippe, le médecin parisien qui s’était marié tard et emmigra dans le sud de la France. Elle parla de mon cas et elle me dit « j’ai découvert que tu etais dépressif » alors que je l’avais prévenu. Ma dépression est un prétexte aux conneries de ma femme. C’est pour cela qu’il aurait fallu lui cacher la vérité, mentir est la seule issue.
Agatha avait un voyage d’affaire à Berlin, alors elle me proposa de venir avec elle, j’allais donc dans les bagages de ma femme. Je découvris Berlin en marchant aux hazards dans les rues, a l’époque Berlin était un grand chantier, moi, ingenieur du BTP au chomage, je voyais des projets partout à Berlin. Je fus étonné par la verdure de la ville de Berlin.
Bref, je rencontrais en Hollande des hollandais pour trouver du boulot, j’aurais du travailler comme bénévole dans une église de la sorte j’aurais amélioré mon hollandais et formé des amitiés plus solides. Je rencontrais Ed Den Boer qui me prit en pitié, il trouvait que je stressai trop.
Et puis à force de rencontrer du monde, je finis par dire à un chasseur de tete, je suis prêt a travailler pour n’importe quel prix, il me dit pour n’importe quel prix vous trouverez sûrement. Quinze jours, plus tard, j’étais engagé par Moes Bouwbedrijf. J’etais engagé au Smic, moins qu’une secretaire.
Il faut d’abord que je vous raconte une histoire de ma vie pendant TU Delft. Barbara habitait prêt de la station centrale de Leiden, au pied de chez elle, il y avait un restaurant chinois, nous y allions souvent. Ma femme était business développeuse et elle avait détecté un projet en arabie saoudite, elle voulait monter cette affaire avec un installateur néerlandais. Agatha était en admiration devant ce chef d’entreprise qui était sympathique mais vulgaire. Il voulait que je chiffre ce bâtiment industriel, je n’en avais pas les compétences, je n’avais jamais travaillé à l’export. Par contre l’Arabie saoudite cela me disait quelque chose, Mr Chassagnac, le cousin de Claude Michelet, avait travaillé pour Thonson comme commercial en Arabie Saoudite. C’est ce que je dis à ma femme, et je lui dis « rencontre Chassagnac, cela ne peut pas faire de mal ». Elle ne m’ecouta jamais. L’installateur Hollandais, alla voire Ballast Nedam un groupe de BTP Hollandais qui faisait des affaires en Arabie Saoudite, seulement les connections de Ballast Nedam c’était fini. Ce qui m’a interpellé, c’est que nous faisons des affaires à l’international avec des reseaux nationaux, celui qui sera capable de travailler avec des reseaux transnationaux gagnera la timballe. Peut être que c’est l’avenir que je rêve pour mon fils à venir, Adrian.
Je ne sais pas si la carte Chassagnac aurait marché en tous les cas, Agatha ne m’ecouta pas et ne l’essaya jamais. Agatha ne m’ecoutera jamais, c’est comme cela, c’est très ennuyeux de faire une vie de couple avec quelqu’un qui ne vous ecoute pas.
Moes Bouwbedrijf en dépit du salaire modique était une grande joie, pas assez pour quitter la dépression. Je travaillais à Capelle a/d Ijssel, une banlieu de Rotterdam, je travaillais a l’étranger pour la première fois de ma vie, c’était mis à part ce smic une énorme victoire sur la vie. Bien sûr, je payais cette victoire, car je payais presque pour venir travailler.
Je suis allé au travail, par trois manières, j’ai pris le train, je me suis fondu dans le flot des néerlandais qui allait au boulot, c’était un vrai plaisir d’être comme eux. J’allais vers Gouda, puis je decendais sur Rotterdam. Puis j’utilisais un autre moyen, pour aller au boulot. En nous balladant entre Delgauw et Zoetermeer, Agatha avait trouvé un vélo Hollandais pour moi. Elle m’avait convaincu d’acheter ce vélo. C’était un vélo rustique, je l’ai gardé neuf ans. Ainsi, j’allais de Zoetermeer à Capelle a/d Ijssel en vélo. Tout le monde en Hollande va au boulot en vélo. Il n’est pas rare en Hollande, de voire un ministre à La Hayes aller au boulot en vélo.
Moes Bouwbedrijf était une moyenne entreprise générale de bâtiment, son siège social est à Zwolle, dans l’est du Pays. C’est une société à fort caractère local, avec des clients locaux, des employés locaux, c’est donc une société très néerlandaise. Le capital est détenu par les employés, ce qui renforce le caractère local de cette société, fier d’elle-même et de son activiée. Ils savaient que je croyais toujours dans ma tète que je travaillais pour Bouygues, pour une boite française et que j’investissais le marché néerlandais, pour le compte des grandes sociétés de bâtiment français. C’est vrai d’une certaine manière, je me faisais ce film dans la tète. Mais en fait le bâtiment néerlandais est à des années lumières du bâtiment français. L’Europe n’existe pas. Moi, je suis un européen convaincu, mais il faut dire que des pans entiers de l’economie sont fondés sur des relations très locales, et dans ces business règnent un esprit nationaliste, à la limite du racisme, ou du moins de la discrimination. C’est le cas du bâtiment néerlandais, le bâtiment néerlandais, c’est battu pendant des siècles pour chasser l’étranger en dehors de la Hollande. Pour cela les grands groupes de BTP Hollandais ont fondé une politique de quartel, ces gens là font du business entre eux et tiennent à ce que cela reste le plus longtemps possible. C’est pourquoi dans le BTP hollandais, les gens sont majoritairement anti-europeens primaires.
Le capital de Moes Bouwbedrijf n’était pas stable, à cause de la compensation dû au départ en retraite. Il fallut un apport exterieur au capital de Moes Bouwbedrijf, pour se moquer de moi, ils me firent croire qu’ils attendaient l’intervention d’une société étrangère. En fait, un organisme bancaire néerlandais est intervenu dans le capital.
Quand j’ai sollicité dans le BTP Hollandais, j’ai fait part de mon interret intellectuel en tant qu’ingenieur français pour le marché néerlandais. Ce fait était trop pour ces gens naturellement raciste. Mon pan européanisme était intollérable pour ces gens, en plus je l’exprimais dans un très mauvais néerlandais. Il y eut à mon égard un phénomène de rejet des gens du BTP néerlandais pour ma personne. Je sentis ce racisme et j’eux un stress important, je savais que je n’étais pas bien venue dans cette société. Au début, ils m’ont fait croire que l’expérience que je tentais étais intéressante, mais en fait ce milieu est profondemment raciste tout corps étranger doit être elliminé. La vérité, c’est que dans la société néerlandaise, il faut parler néerlandais, il y a une discrimination de soi, et la communauté française ne pouvait être un refuge pour moi.
Je me suis demandé comment le BTP Hollandais avait eu des informations sur ma personne de la part de la société Bouygues. Je pense que très tôt, le monde du travail, avait eu des informations sur moi. De Bouygues, il savait qu’on avait du mettre sous écoute un homme indisciplinable, intellectuelle d’extrème gauche, qui ne comprennnait rien aux règles du monde capitaliste.
Par conséquent, les echos du monde du BTP néerlandais de la part de Bouygues étaient celle d’un homme innadapté aux règles du capitalisme comme l’entend les hommes du BTP des deux cotés de la frontière. D’autre part, l’image qu’il recevait de moi était celle d’un intellectuel français interessé par les pratiques du monde du BTP Hollandais qui faisait, en fait, tout pour se cacher du monde exterieur. Mon patron de toujours qui reste mon idéal en tant que patron, Gerard Gelernter, nous disait que pour vivre heureux vivons cacher. Les Hollandais ne voulaient pas, honteux qu’ils sont, montrer leur secret de fabrique à un intellectuel de gauche francais. Ils n’avaient pas confiance et à raison car je n’ai très peu de chose à dire sur les magouilles du BTP néerlandais qui doivent être nombreuses. La seule chose que j’ai à dire c’est que le racisme du BTP Français qui m’avait mis sous écoute a passé la frontière.
Pour l’heure, j’étais paranoiaque, pro-européen convaincu, plongé dans un monde raciste, dont je ne comprendrais jamais les codes, dont je n’accèderai jamais à la connaissance de la langue, j’etais très isolé. En plus, notre couple ne marchais pas, Agatha n’avait pas conscience que par son attitude à elle, elle m’avait placé face au racisme des hommes, et à leur merci. Je lui en voulais, je lui en voulais qu’elle ne veuille pas me parler en néerlandais, en anglais pour que je puisse me fonder dans l’univers hollandais, en fait, j’étais visible de partout, cette situation était intollérable, j’etais isolé de tout le monde et visible de tous. Ils avaient dû parler du fou français qui à trente cinq ans avaient debarqué dans le monde hollandais.
Alors, comme cette situation était périlleuse pour moi, comme ma valeur d’ingénieur des mines avait été bradée, comme je ne valais rien pour ces gens qui me recevaient dans leur pays, je partis dans mes rêves. Je conçu des projets imaginaires, des concepts de business imaginaires, alors que j’étais plongé dans un monde bien pragmatique.
Ce qui m’interessait dans le BTP néerlandais c’était cette capacité à travailler en bande, Ballast Nedam avec Hollandse Beton Groep, Hollandse Beton groep avec BAM etc, etc… Les hollandais avaient, semblait-il vu de l’extérieur l’art de la Joint Venture. Les francais travaillaient aussi en bande et dans le BTP francais, il y a aussi des ententes, mais généralement la philosophie prédominante qui gouverne en France, c’est chacun chez soi. En France, il n’y a pas de philosophie du Joint Venture, les groupements d’entreprises sont pour les PME et sont minoritaires.
Ainsi, je conçus perdu dans le racisme néerlandais, la Joint Venture Worme. Cette Joint Venture devait être l’outil qui aurait permi de faire apparaitre le premier groupe de BTP pan européen. Nul mème les plus grands n’est pas véritablement pan européen et chacun a une culture très nationale, avec des équipes dirigeantes nationales.
Dans le BTP, les groupes internationaux que sont le futur Vinci, Bouygues, BAM, Eiffages, Hochtief, Skanska,etc… sont des groupes nationaux. Ces groupes nationaux ont à faire face dans leur expansion à l’international à des réalites locales, cette situation est problématique pour eux.
D’autre part, la logique d’expansion d’un groupe de BTP dans une philosophie internationaliste est de traiter d’abord une grosse affaire puis de se développer sur le pays. Cette politique limite l’expansion des groupes de BTP au niveau de l’Europe. En mème temps, on voit que toute leur philosophie est chantier. D’abord un grand chantier puis une expansion. Tout le raisonnement se fait autour du chantier. Les groupes de BTP ont du mal à se voir comme des sociétés d’ingenierie, c’est la révolution qui manque au secteur du BTP.
C’est pourquoi, j’ai imaginé la Joint Venture Worme :
La Joint Venture Worme c’est prendre un groupe de BTP International, mais national, comme Bouygues et l’associer par Joint Venture à une PME comme Moes. La Joint Venture consiste à developper en commun, d’une part le montage d’affaire et d’autre part les grandes affaires. Cela permettrait à la PME de rester local, et au groupe International de développer leur paneuropéanisme.
Le développement dans ce schéma de penser ne commence pas par un projet, mais par un accord avec un petit acteur local.
Le montage d’affaire, c’est le produit qui permet de vendre à des investisseurs, des affaires de BTP en faisant la conception et la réalisation. Le montage d’affaire amène une grande visibiliée et une facilité à des investisseurs paneuropéens. Le fait d’avoir un groupe international qui monterait des Joint venture Worme partout en Europe serait une grande facilité de gestion pour les investisseurs qui deviennent de plus en plus paneuropéens et qui pourraient avoir des optimisations de coût de gestion en passant par un interlocuteur unique.
Pour ce qui est des grandes affaires, les grosses PME n’ont rien à envier aux Groupes Internationaux, mais ils manquent de crédibilité et de moyen ce qui leur fait prendre des risques, en faisant une joint Venture avec un groupe International, ils diminueraient conjointement les risques.
Plus tard, je vais travailler pour Volker Wessel Stevin, après ma vie en chiraquie, c’est chez Volker Wessel Stevin, Une filiale Visser Smit hanab que j’appris que le big brother des écoutes de chez Bouygues n’avait pas fini et que j’étais pour longtemps sur la liste rouge des mauvais pensant pour les societes de BTP en France comme en Hollande.,c’est dommage pour le BTP, car ils ont perdu un intellectuel de première force en ma personne, j’imaginais alors une Joint Venture entre Eiffage numero 3 en France et Volker Wessel, numéro deux en Hollande. Très probablement avec la Joint Venture Worme, nous pourrions ainsi devenir le premier groupe de BTP Franco Hollandais à être pan européen. La vérité, c’est que je suis un tout petit vermisseau en matière d’intellectualisme.
Il y a beaucoup de composante dans ma psychologie, j’ai été mis sous écoute, et j’en suis devenu paranoiaque, bien que ma paranoia ne me mente pas tout le temps, très malade, j’anticipe sur la suite, Dieu va me faire des signes, et je suis vu les signes nombreux de Dieu, le Christ revenu sur terre. En fait, je n’ai pas eu la révélation que je suis moi-même le Christ, je pense que l’humanité va disparaitre, alors je crois que nous sommes en tant qu’humanité devenus Christ.
Mais ce Christ a une réalité très humaine, je travaille dans le BTP durant toute cette vie en chiraquie, mais je n’ai aucune espèce d’ambition, la seule ambition que j’ai, cela n’est pas de la carrière, c’est de créer de la grandeur, et la grandeur que j’aimerais créer, c’est le premier groupe de BTP pan européens, j’aimerais faire partie de ce type d’aventure, j’en ai encore le fantasme. J’ai le sens du romantisme du gaullisme, mais le gaullisme est bien mort, c’est une nostalgie.
Mais pour l’heure, je fuyais dans mes rêves, la réalité, c’est que très probablement ceux sont des générations futures qui feront le concept que j’ai imaginé perdu tout seul en Hollande. Qu’est ce que je serais fier si des hommes de BTP lisaient les lignes que j’écris et faisais réalité ce rêve.
Moes Bouwbedrijf n’a pas enlevé la dépression, être étranger et travailler pour des néerlandais est d’une profonde tristesse. Les choses n’avancent pas, mon néerlandais n’est pas meilleur, mes connaissances techniques stationnent, je suis eliminé du Business, sevré de toute information. Chez les hollandais, je suis un poisson mis hors de l’eau, je meurre.
Un ami d’Agatha qui comprennait la situation dans laquelle j’étais, Stéphane, fils de Maurice, un francais qui haïssait l’angelisme des francais vis-à-vis des Hollandais. La France a fait l’Europe parce qu’elle a une vision politique, mais elle l’a fait avec des gens pragmatiques comme les Hollandais qui tirent les marrons du feu, alors que la France paye cher son rêve. L’angelisme européaniste des français devait ennerver Maurice, et en plus il y avait un angélisme en France sur ce qu’est la société néerlandaise. La société néerlandaise est un petit pays qui pour devenir riche profite de sa situation géo-économique et tire la couverture à soi, par un fort protectionnisme. Le fait que la Hollande manque dans certains secteurs importants comme l’automobile, fait apparaitre la Hollande comme un pays ouvert, cependant la Hollande est profondemment anti européen et est fortement protectioniste. Une voiture par le jeu des taxes rapportent moins en Hollande aux constructeurs étrangers que dans les autres pays européens, l’Europe ferme les yeux.
En plus, la Hollande est le traitre dans la construction européenne. L’Amérique est contre la véritable construction européennne, car apparaitrait la première puissance mondiale, alors la Hollande joue la carte de l’Amérique, la Hollande trahira toujours l’Europe pour l’Amérique, c’est sa façon de lutter contre des voisins trop puissants comme l’Allemagne, la France et l’Angletterre. Elle joue une puissance plus lointaine, un jour elle s’en mordera les doigts.
Stéphane savait que les Hollandais me laissaient hors de l’eau, c’est pourquoi il me dit que je devais avoir d’autres intérets dans la vie, pourquoi pas d’ecrire un livre. Si j’ecris un livre c’est qu’Aissa mentfakh, l’homme de Bouygues qui me fis le coup des ecoutes sur la masturbation, me dit qu’il fallait que j’écrive. Si j’ecris c’est pour Aissa Mentfakh et pour Stephane. Ensuite, il y a des hommes comme Jaap de Vor qui est en dehors de ma vie en chiraquie qui travaille chez Technip Bénélux qui me dit que si on veut être libre, il faut ecrire, qui est donc pour la liberté des riches car écrire est reservé à une élite, qu’est ce que la liberté que l’on réserve à une élite. Cette élite a été responsable de ma mise sous écoute, si j’ecris c’est pour utiliser le mème média que ces gens qui m’ont mis sous ecoute.
Je vais écrire dix ans après le bon conseil de Stéphane, parce que maintenant j’ai le materiau pour écrire cette histoire courte. Et puis parce que je suis fainéant, en fait une vie en chiraquie aurait dû être ecrite en 2007, à l’élection de Sarkozy, mais je ne crois pas en mon talent, je me crois démuni de tout talent. Je ne sais pas raconter des histoires, j’ai des tas d’idée de bouquin, je vous en dirais une partie, mais je ne sais pas développer ces idées. En fait, j’écris pour rencontrer un vaste public, pour que dans cette histoire courte qu’est une vie en chiraquie, des gens se disent ce type à des choses à raconter suivons le, et qu’un éditeur voit l’intéret du public pour moi, alors j’ecrirais une œuvre à quatre main. Mon fantasme pendant toutes ses années a été d’écrire une vie en chiraquie avec Claude Michelet.
Mais Claude Michelet est chiraquien et il a l’esprit de clan, il a compris que son frère Yves Michelet a mal agit, mais il a voulu enterrer cette histoire. C’est pour cela que j’écris, tant de gens voudraient que mon histoire soit enterrée. Il y a des big brother assassins qui travaillent entre la France et la Hollande et qui voudrait taire leur nom.
Comme je vis dans big brother et que ma femme dit que je suis fou, la communication est impossible avec elle, on ne peut parler de la realité des choses, alors comment faire pour tisser des plans pragmatiques pour se battre dans la vraie vie, dans la vraie réalite. Mème si la vraie vie est une paranoia, c’est la vraie vie, Big brother existe, et Yves Michelet ainsi que toute la classe politique est un ramassi d’ordure.
Mais pour l’heure, je fuyais, je n’avais pas assez d’argent et venait d’arriver un évènement, Agatha était enceinte. Il parait que j’ai battu Agatha, quand elle était enceinte, j’ai effacé cet évènement de ma vie, mais je le crois. Agatha me le dis pour me mettre dans un etat d’infériorité, tu m’as battu, mais je t’aime quand mème, donne moi, tout le fric et travaille et ferme ta gueulle, surtout quand tu parles de big brother. C’est Agatha qui m’a rendu corrompu, qui m’a fait comprendre pourquoi les hommes l’étaient dans une grande majroité, pour vivre socialement et notamment avec une femme, il faut être corrompu. L’homme non corrompu ne rapporte pas le bonheur à la maison, il ramène un mègre salaire, alors que l’homme corrompu amène le succès et le bonheur à la maison.
La femme est le ciment de la corruption, ainsi que notre rêve de bonheur bourgeois, monogamique, tout ce petit idéal bien joli, rend la société profondemment injuste, voyoux.
Les vrais voyoux ne sont pas les voyoux des banlieux qui n’ont rien compris, car il brule la voiture de leurs voisins qui souffrent comme eux plutôt que d’aller kidnapper les enfants de Sarkozy et de Martin Bouygues. Leur action serait beaucoup, plus forte, si les voyoux des banlieux, s’attaqueraient aux vrais voyoux de la société française.
Mais pour l’heure, je fuyais, une société néerlandaise dont je ne comprends pas les codes et à peine la langue, le smic de Moes Bouwbedrijf, insuffisant aux envies de ma femme, un ennui au boulot.
Je continue à rechercher un boulot pour m’élever dans la société néerlandaise. C’est pour cela que je rencontrais Sugito, de Randstad Polytechnique, un indonesien néerlandais. Je rencontrais des tas de chasseur de tète qui pouvait rencontrer leur client en leur présentant une byzarrerie, un ingénieur français perdu en Hollande.
Sugito comprennait la situation, il me dis que le marché de l’emploi néerlandais était profondemment raciste, des anglais avaient des difficultes de communication, car leur collègue néerlandais ne voulait pas leur parler anglais de peur de laisser transparaitre leur mauvais niveau d’anglais. J’entendais aussi les conversations dans les trains de ces collegues étrangers qui voulaient tout changer. Les Hollandais ont la haine du changement qui vient de l’etranger.
Les conditions de travail en Hollande sont différentes qu’en France ou en Angleterre. Ici en Hollande, le patron n’est pas le roi, quoique, en tous les cas, il y a un fort esprit du contre pouvoir qui est tres efficace, il règne une « overleg » culture, culture de la participation, un employé qui n’est pas d’accord avec les ordres de son patron va lui dire naturellement. Bien sûr cela n’est pas l’anarchie, parce que l’employé a une forte culture de ce qui doit être fait ou pas fait, ils sont très normés. La Hollande est le pays des normes, tout le monde s’y plie, c’est pour cela qu’en parallèle il y a une forte politique de concertation : c’est le polder modèle.
La France serait bien inspiré d’appliquer le polder modele, mais la France est une société aristocratique, qui mettra très longtemps avant de comprendre que son modèle de société est depassé, que sa démocratie est une illusion. En fait, je crois que la France finira dans la dictature.
Cependant, je ne suis pas sûr que l’étranger soit convié à la concertation néerlandaise, parce que l’étranger doit apprendre d’abord les règles et les normes de la société néerlandaise.
La société néerlandaise est une société démocratique progressive, mais seulement conçu pour des gens qui pensent comme eux. La société néerlandaise est anti révolutionnaire, c’est pour cela qu’il y a comme il dirait un probleme vis-à-vis de l’étranger.
L’étranger doit d’abord devenir hollandais avant de pouvoir avoir acces à cette démocratie. Le Hollandais reste un calviniste faux cul et Hypocrisie. L’Hypocrisie est le ciment de la société néerlandaise, pour vivre en société les hollandais nous apprennent que nous avons besoin de l’hypocrisie. Dans l’image de l’intellectualisme francais, l’hypocrisie est vue comme tartufflerie, mais dans l’image de la Hollande, l’hypocrisie est ciment du progrès de la société. Ainsi, le Hollandais va faire les choses pour le « Goed Doel », la bonne cause. Quand les hollandais font des jeux de hazard comme le Lotto, ils le font aussi pour la bonne cause. C’est un exemple pour la France, le loto devrait subventionner des actions humanitaires. Ainsi, quand un étranger arrive en Hollande, il est perdu, il est un peu dans la merde, mais pour la Bonne cause (pour le « goed doel ») des tas de hollandais sont prêt à l’aider. Mais cet étranger est sencé rester un être inférieur qu’on condescent à aimer, à aider. Celui-ci est supposé dire merci et fermer sa gueulle. Nous sommes comme les hollandais tout disposer à aider les pauvres de la terre, mais ceux-ci sont supposés se plier a des règles du jeu qui font précisement d’eux des pauvres de la terre. Nous voulons bien leur donner, mais nous ne sommes pas prêt à accepter leur critique et que ceux-ci nous interroge sur notre degré d’appartenance a un système pourri de l’interieur. En France, aussi, une grande majorité du politiquement correcte, utilise le « goed doel » à la néerlandaise. Sont-ils prêt à abattre un système qui contient dans ses germes la source de l’innégalite. Je ne suis pas sûr que les parties prenantes du « Goed Doel » repeignent leur âme au vin blanc, elles veulent dans un esprit judéo-chrétien sans Dieu, être bonnes. Elles veulent ses âmes bien penser, alors que la solution est dans le mal pensant. Nous sommes une société injuste, mais des nanties, nous promette le « Goed Doel ». La seule solution, c’est pas le « Goed Doel », la seule solution, c’est la revolution, contre un capitalisme qui ne peut etre que crapule. Tant que nous nous revoltons pas contre le système, nos petits dons sont des petits ruisseaux, qui ne servent péniblement qu’à adoucir une situation qui est innacceptable.
A cause de la voyoucratie, à cause du capitalisme, à cause de ceux qui m’ont mis sous écoute, Le « goed doel » n’a aucune chance de succes, seul la revolution permettra a l’homme d’être meilleur.
Les gens du « Goed Doel » acceptent le nombre effarant d’hommes sur terre qui meurent de faim. Comme la société Néerlandaise est bourgoise et non révolutionaire par essence, comme la société néerlandaise a inventé le capitalisme et en est fier, ils ne veulent pas lutter en profondeur contre les innégalites du monde, alors pour se faire une âme belle, ils donnent au « Goed Doel ».
Moi, perdu en hollande, avec une femme polonaise un peu folle, j’ai du profiter du « Goed Doel ». Les gens en Hollande m’ont donné du boulot pour le « Goed Doel ». Mais je n’étais pas sensé avoir des aspirations, avoir des rêves, vouloir faire carrière, avoir des projets, des idées. J’etais sensé travailler comme un esclave, car les hollandais avaient utilisé le « Goed Doel », je n’étais pas censé prétendre d’ être un citoyen comme les autres, parce que je ne parlais pas assez bien, j’étais moins qu’un de leurs marocains, je devais donner ma vie au travail ennuyeux de la Hollande.
Ma patronne chez Moes Bouwbedrijf, parce que la filiale de Capelle a/d Ijssel de Moes Bouwbedrijf était gerée par une femme, que j’admirais, car elle s’était fait une vie dans ce monde d’homme. Elle m’avait engagé parce qu’elle avait eu une aventure étant jeune avec un français, mais ce qu’elle proposait comme salaire, c’était le « Goed Doel », c’était une aumone. Elle était trop pragmatique, elle n’a jamais acheté mes idées, parce que mes idées ne valent rien, Helen van den Blink fait des affaires en Hollande avec des Hollandais, les français ceux sont ses amours de jeunesses, nous n’existons pas dans son quotidien. Elle avait fait du « Goed Doel » en me proposant le Smic, il n’y avait aucun avenir chez elle pour moi.
Je rencontrais aussi Edward Konigferander, il subissait le racisme des hollandais, c’était un surinamien, il se foutait du racisme parce que c’était un macho comme les hollandais, en tous les cas le système volait Edward et je crois qu’il est payé un tiers de sa valeur, parce que quoiqu’il fasse, il ne sera pas hollandais, et comme dans le BTP nous travaillons tous sur des reseaux, il est elliminé, comme moi, moi en pire, je suis eliminé des reseaux du BTP, parce que j’étais mis sous écoute chez Bouygues, personne partant de la ne peut m’accepter dans ses réseaux, je suis malgré moi, un personnage sulfureux, il n’est pas bon d’être mon ami. Dans cette histoire, 99% des gens, croient que je suis paranoiaque, et 1% des gens savent la Vérite. En tous les cas que cela soit les gens qui savent ou croit savoir que je suis paranoiaque, ou que cela soit les gens qui savent que j’ai été sous écoute, il ne s’est trouvé personne pour dire ta réputation est miné, trouve un autre boulot.
Je me suis tapé des putains, mais les putains ne sont pas ce que l’on croit, elles m’ont dit, nous ne sommes pas fait pour toi, trouve toi une maitresse. Dans le monde du BTP et de l’ingénierie, Comme chez Technip Benelux pour lequel je travaille, je n’ai aucun avenir. Un jour un homme a decidé de me mettre sous ecoute parce que je pensais mal et il a decidé de me mettre sur liste rouge à partir de ce moment, mon destin a été joué. La seule chance d’avenir que j’ai, c’est d’écrire l’histoire, ce que je fais et de faire la révolution contre la voyoucratie, contre la chiraquie, pour prendre le pouvoir. Le Pouvoir m’a exclu, alors je n’ai qu’une obsession, c’est de le prendre. Peut être n’y arriverai-je jamais, mais des hommes liront mon livre et mes livres qui suivront et à la base de cela, des hommes plus fort que moi, prendront ce pouvoir et feront la révolution pour que nous allions vers un monde meilleur.
Mais pour l’heure ma femme est enceinte, nous avons réussi notre projet. Je me rappelle que nous étions dans notre restaurant chinois à Leiden, prêt de la gare centrale de Leiden. Agatha m’avait annoncé qu’elle était enceinte, c’était une grande joie. Elle avait dû aller dans les toilettes et elle est revenue en pleurant. « Erik, j’ai du sang dans le vagin ». C’était un drame, nous avions peur qu’Agatha fasse une fausse couche. Alors pris par l’émotion, je me mis a genoux devant elle, et je mis mon oreille sur son ventre. Notre petit Adrian Victor, à l’époque, nous ne savions pas que c’était un fils, était bien accroché, il allait resister à mes violences et à bien d’autres choses.
Etre enceinte, en Hollande est spartiate, à peine si on a droit a une echographie, malgré les 34 ans d’Agatha. Elle était suivie néanmoins par une sache femme qui s’appellait Toikee et qui savait du français, elle participait à des actions humanitaires en Afrique. J’ai suivi Agatha dans son parcours.
Le ventre d’Agatha devenait gros, puis ses seins se sont deformés. Une femme enceinte est tres désirable pour son compagnon, mais avec Agatha, c’était tabou, interdit de sexe pendant neuf mois. Il est vrai que l’incident des toilettes du restaurant chinois de Leiden avait refroidi nos ardeurs.
L’accouchement d’Agatha et ses neufs mois de gestation furent la grande experience de ma vie. Pour des tas de raison, j’avais des ambitions dans ma vie, j’en fis part à Agatha, mais Agatha trouva que mes ambitions étaient en fait la maladie de mon père, elle ne fit jamais cause commune avec moi, pour participer à mon ambition, elle rejeta mes ambitions et fit tout, financièrement ou par ailleurs pour que je n’eux aucune ambition. La seule ambition que me tolère Agatha c’est d’être le père de famille, cette ambition n’est pas la mienne. En mème temps, le black listage du monde du BTP fossoya toutes mes ambitions.
Donc en fait, je suis frustré d’une vie qui n’a rien créée, qui n’a aucun talent pour créer quelque chose sur cette terre. Je suis admiratif et contemplatif de la création humaine. Je dis souvent à Agatha regarde ces routes et ces autoroutes regarde ce que en moins de cent ans l’humanité a su faire de beau et d’atroce. J’etais chercheur, je voulais créer des choses, ma carrière a été un grand echec, néanmoins, j’adore ce que les boites créent, en commencant par mon travail. Nous batissons des projets, s’il n’y avait pas la voyoucratie, c’est beau, c’est noble. Un Homme fait un prix et un jour un bâtiment, un pont, une installation industrielle voit le jour, c’est beau. La corruption salit tout, comment les hommes ne le voient pas. Parce que dans l’appât du gain, les hommes ne savent pas voire ce qu’il y a de beau dans le monde.
En tous les cas toutes mes ambitions ont été pietinée, par les hommes qui me trouvaient trop rêveur, qui savaient que je n’etais pas comme eux, alors je n’eu à faire qu’une chose dans la vie, c’est Adrian Victor Worme. Malgrè les violences, que mes nerfs mis à mal m’ont fait commettre, malgrè tout, j’ai fait quelque chose de beau sur terre, j’ai donné au monde un être, que tous les hommes prennent conscience de ce mystere incroyable. La vie sur terre n’est pas rare, nous sommes des milliards, la vie n’est pas rare, mais l’occurrence de la vie est minimal. C’est un mystere absolu, nous sommes d’occurrence faible, l’occurrence que je vous écris ces quelques mots sont extraordinairement faibles, il y a longtemps que j’aurais dû vous quitter, mais l’occurrence qu’un homme écrive n’est pas rare. C’est la beauté du sentiment de faire partie de l’humanité ; nous, en tant, qu’homme seul, nous existons à peine, nous ne sommes qu’un souffle, mais en tant qu’humanité fondé dans Dieu, nous sommes une chose palpable.
A la fin du XIX ieme siecle, l’homme s’est elevé de la terre dans un saut de puce et un siècle plus tard, l’homme a marché sur la lune, il y a des choses qui sont inconcevable en tant qu’individu seul, mais que seul l’humanité peut atteindre, mais pourtant cette humanité a besoin de ses particularité, l’humanite ne serait rien si l’individu n’était pas, mais l’individu existe à peine, son occurrence est nul, dans une humanité qui a elle un sens et une occurrence. C’est peut être ce phénomène qui fonde l’existence de ce que l’on peut appeler Dieu. C’est la caractéristique de ce qu’est l’homme et l’humanité qui fonde l’existence de Dieu. Dieu tout puissant n’est pas interessant, Dieu hors de nous, ne nous intéresse pas, mais pourtant il existe peut etre aussi hors de nous. Mais l’homme pensant est par essence centré sur lui-même, il dit toujours « je suis compris, mais je comprends » il doit exister des choses à l’exterieur de cette comprehension humaine, mais elles sont froides, ce qui nous réchauffe, c’est un Dieu humain. Parce que l’homme est ce qu’il est en terme probabilistique et scientifique, alors parce qu’il est cela peut émerger la notion de Dieu.
La plus grande fierté de ma vie, c’est d’avoir créé un être qui m’échappe.
Je travaillais au Smic, et je devinais la présence de Big Brother, Big Brother n’était pas mon ami, et pourtant c’est lui qui payais mon mègre salaire, c’est lui qui me payait au Smic, alors que je devais devenir papa, c’est pourquoi, je continuais à courrir comme un fou, dans la société néerlandaise, à la recherche d’un emploi mieux rémunéré.
C’est pour cela que je fis la connaissance de Sugito. Il avait probablement des renseignements sur moi qui venait de Bouygues et autant dire ces informations n’etaient pas en ma faveur, il me trouva un job qui fut un piège pour moi, j’allais travailler pour Brink Groep une société d’ingénierie du BTP néerlandais, mon patron est un gros porc du nom de Paul Beiyerberger.
Moi, je travaillais pour le BTP, parce que je voulais créer de la puissance intellectuelle, en plus de la Joint Venture Worme, je pensais créer des choses pour la société, je fuyais dans les rêves.
Mes parents m’avaient offert une ZX, ma mère avait obtenu cela de mon père. En fait si mon père m’avait aidé, Bouygues aurait du payer suffisament pour que je me paye mon MBA à Erasmus, et que je me paye une voiture, mais comme mon père avait voulu se venger, il m’avait foutu dans la merde, ma mère obtena en compensation que j’obtienne la ZX que j’avais cassé, à mon retour de voyage dans les gorges du Verdon, un voyage que j’avais entrepris avant de connaitre mieux et de frequenter Agatha.
Seulement, c’était un cadeau empoisoné, il me fit ce cadeau, mais je n’avais pas l’argent pour la faire assurer. Ainsi je roulais avec cette voiture aux plaques françaises, non assurée, avec une femme enceinte à l’interieur. J’avais connu en venant en Hollande le dernier degré de la peauvreté.
En tous les cas, cette voiture me servi pour faire ma sollicitation, il était beaucoup plus facile de trouver un boulot avec une voiture, cela faisait rupin. Les employeurs demandaient toujours si j’avais une voiture, la voiture est un moyen de discrimination. Quand on est pauvre, on n’a pas de boulot, on est du mauvais coté de la société, alors basculer dans la clochardisation, cela vient rapidement, c’est ma hantise, je sais que je finirais clochard dans la rue, c’est le destin du Chirst nouveau, d’etre abandonné de la société.
En tous les cas cette voiture, une ZX verte, me permis de trouver un boulot chez Brink Groep.
Les gens de Brink Groep me dirent qu’ils avaient employé un russe, mais que celui-ci ne comprennait pas le monde capitaliste alors ils avaient dû s’en séparer.
Une secrétaire de Brink Groep me dit qu’il ne fallait pas que j’interprête mal ce que j’entendais chez Brink Groep. En fait, quand on est étranger et que l’on comprend mal la langue, on interprête de manière paranoiaque ce que disent les gens. C’est une situation de grande faiblesse que d’être étranger, psychiquement. Les hollandais qui m’ont engagé le saver, mais il voulait faire une leçon au Gaulliste d’extreme Gauche que je suis, à l’homme mis sous écoute par le système.
J’etais percu par les hommes qui m’ont engagé comme un rouge, il fallait me donner une leçon.
Une collègue me carressa la main et je ne réagis pas, j’etais bien l’animal à sang froid décrit par le système, indifférent aux avances des femmes, les gens de Brink Groep savaient mes histoires cœur, avec Marie Laure Pillard et avec Isabelle Veillet.
Mais pour eux, j’étais une pourriture de gauche perverse sexuellement et il fallait me donner une leçon.
Chez Brink Groep, je fus très surpris du phénomène suivant. Brink Groep m’avait employé, mais ils me donnaient du boulot pour une heure par jour à peine. C’était comme dans le roman de Claude Michelet, son grand père pour virer les rouges et les mal pensant qui travaillaient chez lui, il leur donnait comme mission de garder les arbres, pour empécher les chiens de pisser. Les employés craquaient nerveusement et donner leur demission. C’est ce que les gens de Brink Groep firent avec moi. Ils me donnaient rien à faire et disait que j’étais comme Gaston Lagaffe.
Comme à la maison, je n’avais aucun moyen de progresser en néerlandais, je travaillais en Hollande et je regressais en néerlandais, c’était cela le piège.
Pour fuir, cet enfer, je partis dans mes rêves, j’ecrivais mes idées sur mon ordinateur. Chez Brink Groep, nous n’avions aucun ordinateur à soi, chaque jour, chaque collaborateur ouvrait une session sur un poste de travail qu’il trouvait, il y avait des open space, il y avait des cloitres, toute sorte de facon de travailler était offerte.
En meme temps, je n’avais pas connu internet chez Bouygues, parce que ce grand groupe de communication, comme chacun sait (magouille politique) n’offrait pas à ses collaborateurs des cours d’anglais, mais n’offrait pas à ses collaborateurs la possibilité d’utiliser internet. C’est pour cela que je suis contre la corruption, parce que l’argent va dans des business obsolettes et y reste, la corruption maintient la perdurance des obsolescences, la corruption empèche à la France d’avoir une économie moderne.
Chez Brink, je me mis à internet tout naturellement. Brink Groep ne me donnait pas de travail et se moquait de moi, parce que desoeuvré, je faisais internet sur le lieu de travail. C’est je présume, le sadisme des employeurs néerlandais face aux employés étrangers mal pensants.
Je partais dans mes rêves et je l’ai ecrivé sur la partie du serveur qui m’était reservé. Mes employeurs lisaient mes idées, car il trouvait drôle de continuer de la sorte à jouer à Big Brother, mes collègues se moquaient de moi, ils m’ont engagé pour me ridiculiser.
J’avais dit que dans le BTP les gens parlaient trop et faisait à l’inverse du bridge, on parle d’abord et on agit ensuite en silence, dans le BTP on agit et on en parle ensuite comme des piplettes.
Paul Beyerberger, s’amusait à demander à mes collègues de se taire en ma présence et de ne pas me parler.
J’avais ecrit que les sociétés d’ingenierie du BTP en Hollande comme en France étaient les plaques tournantes de la corruption, ils n’avaient pas aimé, seule la Vérite blaisse.
Mais j’avais d’autre projet. J’avais beaucoup aimé travailler pour le montage d’affaire chez Screg Batiment et dans la conception construction chez Bouygues, en dehors de la corruption la conception est l’avenir des sociétés de BTP, malheureusement elles se servent de cela pour faire leur magouille. L’intellectualisme est l’avenir du BTP.
J’appelais cela La « KAT Theorie », car comme un chat une société de BTP peut sembler plus grande grace à la conception. Brink Groep avait un programme KAT, ils jouèrent de la confusion avec moi.
En fait, Brink Groep savait qu’ils avaient un paranoiaque en puissance, ils ont fait en sorte que je craque.
J’avais d’autre projet, mon grand projet et un projet d’aeroport. Ce projet s’appelle Lille_Anvers-Rotterdam, il se trouve entre Anvers et Rotterdam, sur une ile artificielle en mer du Nord. Cet aeroport est relié au reseau le ligne de train à Grande Vitesse, a ¼ d’heure d’Anvers, ½ heure de Bruxelle et Rotterdam, ¾ d’heure de Lille, 1 heure et demi de Londres, 2 heures de Paris.
La grande nouveautë de cet aeroport, c’est de le penser en connection avec les lignes de train à grande vitesse, c’est de voir cet aeroport, comme un élément d’un reseau.
En mème temps, cet aeroport est un vrai projet européen, un peu francais, et néerlando-belge, cet aeroport inscrirait la Hollande dans l’Europe et permettrait de faire la compétition entre Rotterdam et Amsterdam.
Si un jour des hommes construisent un aeroport entre Anvers et Rotterdam en pleine mer du Nord, alors je suis un génie, peut être aurai je un aeroport qui portera mon nom. Personne n’a jamais sus mis à part chez Brink groep que je voulais construire un aeroport en Mer du Nord. Les autres projets ne valent pas mon projet, car les autres projets sont centrés sur la Hollande, alors que ce projet fait de la Hollande une nation européenne.
J’eux une autre grande idee. Ma pensée est une pensée en reseau. Quand je pense au Business dévelopment, je vois des grands réseaux mathématiques, quand je pense au transport, je me demande si on peut faire fonctionner les transports comme des reseaux. C’est pour cela que j’associe dans ma pensée, le train avec l’avion. On peut aussi penser à accoupler, la voiture avec le train. Un homme d’affaire habitant Paris pourrait laisser sa voiture dans un garage automatique, de ce parking, il irait prendre le train à Grande Vitesse sur Marseille, automatiquement sa voiture le suivrait. Il ferait son premier rendez vous dans Marseille, puis courant de la journée, il récuperait sa voiture, dans un parking automatique dans Marseille. Ainsi, il pourrait aller visiter une usine, à 20 km de Marseille, en utilisant sa voiture.
Cette idée, n’est pas tres pragmatique, comme l’idée précédente, ceux sont des idees de luxe, qui coutent cher, mais elle devrait permettre d’avancer sur des thèmes. Ceux sont des utopies, qui parlent sur qu’est-ce que serait un grand projet Européen de BTP, comment connecter entre eux les moyens de transport.
Je suis sûr que l’interconnection des transports seront des soucis pour le futur. Seulement peut être que dans le futur nous auront affaire à des projets pauvre, des projets basés sur la rareté des moyens de transport et la chèrete du coût de l’énergie.
Il faut savoir que je suis très mauvais en science Physique, mon rêve était de devenir Einstein, mais j’étais très mauvais en physique, la physique demande trop de culture. Il faut allier dans son esprit des évènements culturels, du savoir, touiller et obtenir une nouveauté proche de la Réalite, théorique, mais proche de la réalité. C’est ce couple Théorie réalite qui est difficile d’accès pour moi. C’est pour cela que je suis un tres mauvais ingénieur études de prix, estimateur, parce que je ne sais pas bien collectionner des faits pragmatiques pour etablir un savoir, une expertise. En fait, je ne suis pas un expert et je ne suis pas fait pour devenir un expert. En plus, je n’aime pas les experts, ils pratiquent tous la preservation du mystere sacré, alors que mon savoir est en vente libre.
En plus les experts sont des menteurs, la direction exige de leur expert qu’ils mentent, pour agir. L’erreur de chiffrage fait partie de l’acte de construire, j’accepte difficilement l’erreur et que l’on me fasse travailler dans le faux.
Je suis plutôt un mathématicien, je manie les concepts et l’élément culturel est faible. La Mathématique est une science sans culture. Je suis un homme sans culture, je pense seul, sans référence, ma théologie n’est d’aucune école théologique, ma philosophie ne s’implante en contradiction d’aucune philosophie. Je suis a-dialectique.
C’est pourquoi, je suis un créateur d’utopie, c’est pour cela que les hommes de Brink Groep se sont moqués de moi, parce que je suis un utopiste et qu’eux, ils font un business bien pragmatique, sale mais bien pragmatique.
J’ai inventé une utopie, c’est le dollar de singe. C’est une blague raciste, les noirs pour les racistes sont assimilés à des singes. Pour investir en Afrique, on crée une monnaie qui vaut un dollar, créé avec ½ dollar… Les occidentaux investissent en Afrique et peuvent convertir leur monnaie, dix ans apres. Si le dollar de singe vaut un dollar, c’est que l’opération est un succès.
J’ai inventé un jeu utopique, c’est le jeu de con, un homme est amoureux mais la dame de ses pensées le prend pour un con, mais il fuit et sans lui dire carrément les hommes le prennent pour un con, comme il n’aime pas qu’on le prend pour un con, il fuit, jusqu’au jour, où il se dit, je reviens vers celle que j’aime et je vais lui expliquer que je ne suis pas un con.
Dans la vraie vie, je vais revenir vers celle que j’aime, mais elle continue à croire que je suis un con, j’ai perdu, mais aux yeux du créateur, je ne suis pas un con, alors peut etre que j’ai gagné sans le savoir.
Chapitre 10 : Agatha est enceinte première rencontre avec Dieu.
« Malgré ce mariage houleux, nous allons faire un enfant, Agatha est enceinte, au boulot cela ne va pas. Les écoutes téléphoniques ont été une bombe à retardement dans mon cerveau, je vais craquer psychiquement, je me retrouve dans un hôpital psychiatrique à Bruxelles, Agatha va venir me chercher, dans cet incident tout a resurgi, ma sexualité, les écoutes téléphoniques, mais cela n’est pas que cela, Le surnaturel rentre dans ma vie, sur une autoroute en Hollande, « Dieu » met miraculeusement de l’essence dans ma voiture »
Au travail, cela ne va pas très fort. Au restaurant, on parle néerlandais, je n’y comprends rien, je me sens très mal à l’aise, je n’aime pas être avec des étrangers, car je ne comprends pas ce qu’ils disent le stress que cela génère chez moi, fait que je me recrocqueville sur moi, je me sens très mal, la paranoia m’interdit de m’épanouir, il m’est psychiquement impossible de m’améliorer en Hollandais et en Anglais. De ce fait, mon imigration en Hollande est un échec. Comme avec Bouygues, j’ai brulé mes derniers vaiseaux, je me trouve coincé en Hollande, dans un milieu qui m’a black listé.
Le seul avenir pour moi, c’est d’écrire des livres, car mes amis ingénieurs m’ont chassé du monde des ingenieurs, car j’étais un mal pensant, c’était mal, je le conçois aujourd’hui d’être contre la corruption, la corruption m’aura volé jusqu’au bout.
A la maison, impossible de communiquer avec ma femme, impossible de la faire changer d’avis, elle m’a fait venir en Hollande dans un monde où il faut parler néerlandais et anglais, mais elle, elle me parle français, c’est d’une grande désespérance, comment faire pour réussir quand votre épouse fait tout pour que vous échouer. En plus dans le monde dans lequel j’évolue, il y des règles du jeu, quand une société comme Bouygues dit cet homme est une merde, soit il faut quitter ce monde, soit il faut manger de la vache enragée.
Ma femme ne veut pas croire mon histoire d’écoute téléphonique parce qu’elle veut croire qu’elle a epousé un ingenieur des mines au service du système corrompu, mais qui en revanche, reçoit un fort salaire, pas un homme paria d’un système.
Ma femme dans son système de pensée, nous fait vivre dans l’absurde, dans la non réalite du monde. Le monde nous a catalogué, nous a fiché, nous sommes des rouges, nous sommes des parias de la société, nos extraordinaires talents, celui de moi, pour la stratégie, celui d’Agatha pour la tactique dans le business development ne sont pas reconnu, au contraire de cela nous sommes fichés comme paria, comme mal pensants.
La mort rode autour de notre couple, l’échec est partout autour de ce couple et plutôt que de nous ressaisir pour prendre les bonnes décisions Agatha nous fait vivre dans la folie de ses petits rêves de jeunes filles polonaises.
Alors, moi, je rentre à la maison et je gueulle, je n’ai pas arréter de gueuller sur Agatha pour tenter qu’elle comprenne que nous sommes dans le faux que nous sommes en danger et qu’il faut prendre des décisions, ces décisions elle ne les prendra jamais, alors elle est sur la touche, parce que le système l’a eliminée. Comme elle fait semblant de ne pas savoir comment le système fonctionne elle ne souffre pas. Je suis le seul à savoir comment le système fonctionne, alors je souffre, parce que toutes les décisions de couples sont mauvaises et je ne peux rien faire pour que les décisions changent. C’est l’échec assurait, alors je gueulle sur Agatha, parce que j’ai peur, j’ai peur de la merde dans laquelle elle nous a foutu.
Ma femme a un idéal, c’est que nous soyons des employés modèles, mais pour des raisons différentes, pour des raisons psychologiques, nous ne sommes pas faits pour etre employé. Nous n’avons pas dans des genres différents, la psychologie conforme d’un bon employé, c’est pour cela que dans des histoires différentes, nous fumes black listé. Agatha a travaillé pour un très connu bureau d’ingénierie et elle fut cataloguée comme caractère indépendant, pour les hollandais cette indépendance de caractère, cette excellence dans les performances est insupportable. Agatha est une trop bonne business développeuse, c’est insupportable pour ses patrons qui préferaient avoir un employé moins doué, mais plus maléable. Agatha n’est pas maléable, elle est actuellement sept ans au chomage, parce que personne ne veut d’elle, elle n’a toujours pas réagit, elle ne s’est toujours pas demandé, est-ce que je ne devrais pas faire autrement ?
Moi de mon coté, je suis maniacho depressife, ma maniacho dépressivité m’empèche de m’intégrer a une communauté d’employé. En plus de cela, j’ai connu big brother, les hommes m’ont montré et remontre la haine et le peu d’interret qu’ils ont pour ma personne. Pour l’ensemble de la communauté humaine, je ne suis pas sérieux et je suis dénué du moindre interret, en plus il connaisse ma paranoia ou certain plus rare connaissent le big brother que j’ai connu chez Bouygues. En fait, en travaillant en Hollande, je suis malade, parce que travailler comme employé me rend malade, en plus je suis persuadé que je suis poursuivi par le big brother de chez Bouygues. En fait, Chirac ne m’a pas laissé fuir en Hollande, sans réagir, il possède des reseaux qui m’ont environné. En fait, comme je suis très introverti, je ne peux me batir un réseau plus puissant que le réseau Chirac. Ainsi les hommes, certain sans mauvaise intention, joue à Big Brother avec moi. Le big brother de chez Bouygues, la manipulation psychologique qui avait pour but de me rendre paranoiaque, m’a poursuivi en Hollande. Cette maladie de la société et de moi-même, m’empèche de me développer dans la société néerlandaise, comme je viens au travail en étant malade, il est malsain pour moi de continuer à travailler, et ne pouvant pas travailler, je ne peux pas me développer dans mes facultés à communiquer. Ma femme en refusant de me parler en Hollandais et en Anglais a fait de moi un être triste abandonné de tout le monde, elle a fait de moi, un paria de la société. Déjà Bouygues et Chirac en me mettant sous écoute et en agravant de la sorte ma maniacho dépressivité avait fait de moi une sorte de paria de la société. En fait, à terme, ma seule chance de gagner ma vie, c’est d’écrire des livres et pourtant je n’ai aucun talent pour, ainsi Bouygues et Chirac m’ont fait une vie extraordinairement difficile, c’est pourquoi je n’avais pas besoin d’être marié avec une femme caractérielle qui me torture psychiquement. Quand je discute avec Agatha, elle me dit, tu n’as qu’à divorcer, elle joue le divorce. Je ne peux pas lui dire la vérité : tu es sur black list, je suis sur black list serrons nous fort et ensemble nous allons détruire l’adversité, non en fait Agatha agrave la situation.
En plus de cela, les boites de hollandais avec qui j’ai travaillé et Technip Benelux ne fait pas exception m’engage, mais il ne me donne pas de travail à mon niveau et refuse de me former. Ils font comme le grand père de Claude Michelet avec les rouges, ils me laissent garder un arbre pour que j’empèche les chiens de pisser. Vu les écoutes téléphoniques subit chez Bouygues, il n’est pas étonnant que les hollandais m’aient poursuivi et aient continué la torture psychique subi chez Bouygues.
Je suis persuadé que Brink Groupe avait des renseignements sur moi, mes collègues trouvent que je manque de psychologie, les collègues femmes me carressent la main pour voir si j’ai des réactions, on me fait culpabliser en prétendant que je suis insensible à mon environnement, par conséquent suite à la punition de Bouygues, les hommes créent une image de moi d’une sorte de pourriture que l’on fait souffrir jusqu'à ce que mort s’en suive. Je voulais tuer le système, je l’avais écrit à Claude Michelet, parce que je savais des choses sur les lycées de la région parisienne, mais en fait c’est le système qui s’est ingenié à faire de moi une pourriture en inversant les rôles.
Ainsi Brink Groupe ne me donne pas de travail et fait un jeu psychique autour de ma personne, je suis très mal à l’aise et big brother continue, alors je me plains à ma femme, mais l’idéal de ma femme est de me voire travailler comme un esclave et elle me dit soit adulte met ton costume et va au travail. Mème si je suis malheureux, meme si je ne m’epanouis pas, ma femme en à rien a foutre, elle se moque de moi et elle ne m’aime pas, elle n’aime que son rêve de petite fille, elle a epousé un ingenieur des mines, alors elle veut son ingénieur des mines, mème si l’homme le vrai souffre, elle s’en fout, elle s’en fout toujours maintenant, le bonheur de l’homme avec qui elle a lié sa vie n’est pas une de ses priorités.
Comme cela ne va pas au boulot, je veux faire du business dévelopment, c’est pour cela que je fais un rendez vous avec un fonctionnaire de la mission économique de l’ambassade de France. Je lui dis que les néerlandais attendent des étrangers qu’ils s’enfouissent, qu’ils disparaissent du paysage. Pour différentes raison, il m’est impossible de m’enfouir dans le milieu, je déborde de partout les gens me connaissent, je suis le fou de français qui a epousé la folle de polonaise.
L’ambassade de France organise des réunions avec des développeurs néerlandais, c’est l’occasion de rencontrer des clients néerlandais, mon patron en a rien à foutre, il m’a pris pour me laisser au placard, il ne m’a pas pris pour développer des affaires avec moi.
Je lui demande de me mettre sur un projet car je veux travailler, je n’ai pas encore compris que la malédiction de Bouygues fait son œuvre. Plus tard, je rencontrerai un patron anglais à Rotterdam, celui-ci me dit, les hollandais ne vous permettrons jamais de faire des etudes. Les hollandais n’ont pas l’intention de donner les secrets de business à un ingenieur notoirement mal pensant, ennemi de la corruption. La loi de la cohoptation est de choisir des êtres qui nous ressemblent, la société marche en reseau, ces reseaux sont régis par la loi de la cohoptation, alors evidemment le diable choisit le diable et Dieu choisit le diable de temps en temps. Jamais un hollandais ne me donnera ma chance dans ce pays.
Alors voilà, il me reste l’opportuniée d’écrire, d’écrire la préservation du mystère secret que les hollandais veulent m’imposer : « Tu ne connaitras rien de notre business » en plus la barrière de la langue démultiplie le phénomène de rétention d’information à mon egard. Je travaille depuis un an et demi après ma vie en chiraquie pour Technip Benelux, une filiale néerlandaise d’une société d’ingénierie française, les Hollandais se refusent à me transmettre une information suffisante. La punition de Bouygues continue, puisque tu es contre la corruption, nous sommes contre toi. C’est pourquoi il est plus logique pour moi d’écrire, en effet le monde des grandes entreprises m’a eliminé, m’a mis sur black list, il est plus logique pour moi d’en écrire l’histoire pour gagner mon pain. En fait Chirac avec ses écoutes m’a mis dans un monde où je suis éliminé, quand la maladie s’est declarée, il m’a été impossible de me sortir de cet enfer, en plus de cela j’ai epousé la mauvaise, j’aurais dû épouser l’âme sœur qu’est Isabelle, j’aurais dû aller voire ce qu’il y avait derriere son « je vais succomber », j’aurais dû entendre ce que madame Hubert m’avait dit « vous fuyez une protestante », mais je l’ignorais, je croyais cette protestante à un autre. Alors j’ai epousé la mauvaise, une femme qui a aimé un ingénieur des mines que je ne suis pas, une femme qui n’est pas très bien psychiquement. Mais cette femme malgré les coups de gueule, je me suis efforcé de l’aimer, un amour vache, elle me tue et je survis, il me reste l’histoire, je la raconte.
Pour me détendre, j’écrivais mes idées en nombre faible sur mon ordinateur, mais cela ne me détendait pas du tout, car ils lisaient ce que j’écrivais. En fait, suite à Bouygues, Big Brother constitue une oppression. Je souffre de maniacho dépressivité, c'est-à-dire que mon cerveau séeteind de fatigue d’une extraordinaire fatigue psychique de ne pas pouvoir parler à ma femme des vrais choses de la vie de ne pas pouvoir prendre des décisions en commun.
Nous devons aller à l’anniversaire de notre ami hollandais, marié à une polonaise, traductrice, avec qui nous avions regardé la finale de la coupe du monde de 1998. Ma femme joue avec mes nerfs, elle regarde un livre du Kamasutra, et elle me demande si nous ne pouvons pas le choisir comme cadeau. Je suis encore coincé sexuellement, alors je lui dis « tu crois que cela nous correspond ». L’anniversaire ne me plait pas du tout car je vais me retrouver au milieu d’une jungle de hollandais que je ne comprends pas et qui vont me scruter.
Je suis triste en Hollande, la maladie me reprend, alors je repense à mon cousin David, je me rappelle de sa quète d’affection auprès de sa mère, qu’elle lui refusa toujours, je me rappelle son « quand on est un Michelet, on ne fréquente pas une pétasse. » je suis triste et la bétise du monde dans ma tante Bernadette Michelet me rend encore plus triste, la bétise des hollandais qui m’élimine me rend dépressif. Le fait de penser a David me sauvera la vie, car j’anticipe sur ce qui va arriver, mais Edmond Michelet qui est dans le ciel va voir tout cela, va voir avec qui je suis marié, va voire le monde autour de moi, corrompu, voulant me faire vivre dans la culpabilisation alors Edmond Michelet va intervenir.
Mais pour l’heure nous allons à cette anniversaire imbécile, ma femme me laisse seul dans mon coin, stressé par la présence des autres, les gens se moquent alors je crois qu’il se moque de moi, je suis poursuivi cela ne va pas, alors cet anniversaire va declencher ce qu’il va arriver.
Comme je dis à ma femme que je suis mal à l’aise ma femme me dit « nous n’allons pas tout de mème refuser de voire du monde » Pourquoi voire du monde si c’est pour être mal à l’aise avec eux. Agatha parle à tout le monde, tout le monde l’a plaint dans l’immeuble où nous habitons, la pauvre petite polonaise est maée à l’horrible français, déjà que l’on n’aime pas les français, alors on parle à ma femme qui n’a rien à dire, et on ne parle pas avec moi. Personne ne parle avec moi, je crois que c’est le rôle d’une femme aimante de faire en sorte que les gens parlent avec moi, mais elle ne voulut mème pas jouer le rôle de rabatteuse. Elle est extravertie, elle est jalouse de moi, elle est jalouse de ma famille, alors elle a fait en sorte d’être la seule personne à pouvoir parler avec les gens.
Le lundi après ce weekend pénible quand je vais au boulot, je ne peux plus tenir. Je me rappelle de cet italien à TU Delft qui apprenait le néerlandais avec moi, il m’avait dit que son père à l’adolescence lui avait donné une capote et lui avait parlé de sexe. Alors quand j’arrive chez brink Groupe, je rends mon contrat à l’acceuil et je pars en voiture, il faut que je rentre dans mon cher pays, il faut que j’aille voire mon père, il faut que nous ayons cette conversation que nous n’avons pas eu à mon adolescence pour que nous parlions de sexe, j’ai fui mon epouse enceinte, en état de folie avec l’idée de parler de sexe avec mon père.
Une secrétaire de direction m’avait dit ne faite pas de mauvaise interpretation, ils savaient grace à Bouygues que je souffrais de trouble de l’interprétation alors ils m’ont dit ne le faite pas, n’interpreter pas mal, mais ils ont joué avec ce trouble de l’interprétation, alors voilà, je suis dans ma voiture en route pour la France, je ne suis pas très bien, cela fait trop longtemps que je souffre de cette maniacho dépressivité, les médecins ne l’ont pas diagnostiqué, alors je n’ai pas les medicaments qui me seraient nécessaire. Je suis sur cette route vers la France, sur l’autoroute qui va de Rotterdam à Paris, je ne suis pas très bien, je n’ai pas le courage de m’arréter pour faire le plein d’essence, il me reste pour faire trente kilometres, je dois faire le plein, Paris, c’est six cent kilomètres. Je ne ferais jamais le plein, pourtant je fis 300 kilomètres avec de l’essence pour 30 kilometres. Tout de suite après Rotterdam, je vis la jauge à Essence bougée toute seule, Dieu ou le surnaturel avait fait un signe, il m’avait choisi dans la tourmente. Alors je dis « c’est cool pas besoin de faire le plein » Parce que j’ai des remarques de branleurs mème quand Dieu apparait à moi, et je me suis dit « Il faut quand mème que je tienne mon volent » alors une voie familiere, celle de mon parrain me dit « c’est très bien mon fils continue. » Claude Michelet est mon parrain.
Il y a plusieurs explications à ce phénomène surnaturel. Une vie extraterrestre nous entourre et elle choisit des êtres receptifs pour se manifester à nous. Autre explication, celle de la puissance du cerveau, j’etais proche de la mort, mon cerveau ne voulait pas mourir, alors c’est lui qui a mis de l’essence dans ma voiture.
Autre explication, Dieu m’a choisit pour que je sois le nouveau Moïse. J’etais aliéné par la puissance de la corruption humaine, Dieu l’a vu, il a réagi, il savait tres bien qu’un jour j’écrirais l’histoire pour que les hommes luttent contre cette corruption. C’est cette corruption qui crée les crises financières, c’est cette corruption qui aliénie les pauvres gens, alors il m’a choisi parce que j’avais souffert de la corruption, parce qu’il savait qu’un jour je me dresserai contre les puissants de ce monde pour leur dire arréter votre corruption, arréter ses systèmes humains pourris que vous mettez en place pour aliéner à vous le reste de l’humanité.
En plus Dieu, parle par ce miracle aux Hommes, il dit « homme » ne vous souciait pas pour l’essence que vous mettez dans votre voiture, ne vous souciez pas de la nourriture, ne vous souciez pas des richesses, c’est moi, Dieu, qui donne à l’homme les richesses de la terre. Pour un ingénieur materiaux que je suis, c’est une leçon de modestie, cela n’est pas l’homme seul qui par son génie extrait les materiaux et les transforment pour créer des richesses, c’est Dieu qui a créé ces materiaux, c’est Dieu qui en a créé les propriétés que les hommes redécouvrent. Les hommes ne font que redécouvrir le secret de Dieu.
Autre explication a cette intervention de Dieu, Edmond Michelet et David Michelet qui sont dans le ciel ont vu toute l’affection, tout l’amour que j’avais pour eux, ils ont vu les agissements d’Yves Michelet et de Chirac, alors il ne pouvait pas me laisser seul en face d’un système corrompu, ils ont intercedé pour moi et ils ont demandé à Dieu qu’il intervienne, et Dieu est intervenu pour qu’un jour je vous raconte l’histoire. Quel est ce grand type qui marche seul dans la rue, qui marche seul dans l’église, est-ce un fou ? Non, cet homme est chargé d’une mission que lui a donné le très haut, il doit rencontrer le pouvoir pour lui faire rendre des comptes. Vous m’avez mis sous écoute Mr Chirac, vous êtes dans le secret Monsieur Sarkozy, mais sachez qu’il y a une puissance plus forte que la puissance des hommes, et cette puissance a commencé à me parler, quand j’étais sur une autoroute perdu en Hollande, en route vers mon mauvais père pour qu’il me parle de sexe. Il a commencé à me parler et je ne cesserai de le dire aux hommes. Hommes de la terre, pour votre gouvernance, vous n’avez pas besoin de ces hommes intelligents et beaux parleurs, ces hommes là vous conduisent à la ruine, parce qu’ils ne pensent qu’à leur fortune personnelle. Hommes de la terre, vous avez besoin pour votre gouvernance d’un homme choisi par le très haut, parce que les hommes se trompent dans leur choix, mais Lui, Lui le très haut se trompe-t-il quand il choisit un homme.
Arriver à Bruxelles, les doutes m’assaillirent, je ne pouvais pas abandonner mon épouse enceinte, comme cela, rejoindre mon père qui ne m’avait jamais parlé, était une entreprise veine. Alors je revins sur mes pas en direction d’Anvers,à Anvers, je changeais d’avis, ma femme était une sorte d’infirmiere dans mon fantasme, choisit par Bouygues pour me psychanaliser, alors je repris le chemin vers Bruxelles, je faisais ce petit manège, trois à quatre fois. C’était infernal, je ne savais que choisir entre cette femme infirmiere psychiatrique et mon père tyranique.
J’avais l’impression d’être un savant idiot, je savais des choses, mais je ne pouvais prendre de décision, j’étais un idiot, c’était une révélation, quand je suis dans ces états de crise, je prends ces révélations pour la Vérité, cette Vérité m’envahi et m’égare. J’avais lu des choses sur les savents idiots, de Malraux je crois, cette lecture m’etait resté, c’est ce que j’étais, j’étais un savent idiot. Plus tard, lors d’une crise, je croirais que j’etais une femme, c’était très pénible cette révélation, j’étais une femme et mes parents me cachaient ce secret. Une autre fois, je croirais que j’avais le cancer du cerveau. En fait, pris par la maniacho dépression, dans ces crises, je me cherche, je veux savoir qui je suis, ce qu’il m’arrive, ce sentiment est très troublant. Alors j’en appelle à Dieu et Dieu est venu à moi.
Je roule plus qu’à 50 kilometres à l’heure sur le ring de Bruxelle, la police m’a repéré, mais je ne l’ai pas vu. Je quitte l’autoroute, je suis en état de folie, et j’abandonne ma voiture dans un quartier difficile de la banlieu bruxelloise. Je vois des éboueurs, alors je veux rentrer en contact avec eux, et je leur fais des signes, je suis un branleur « je leur crie » et je mime la masturbation, ils ont peur de moi. En fait, les écoutes telephoniques qui avait porté sur ma sexualité avait créé une terreur, en état de crise cette terreur ressurgissait.
Puis je croisais l’ambulance d’un hopital avec des infirmiers psychiatriques, puis enfin la police mis la main sur moi. Ils me conduisirent au commissariat. Là bas, j’entendais des voix. Il y avait des messages à la radio, « nous avons capture l’enflure. ».
Puis une voie me dit « chaque fois que tu te plaindras de Big Brother, tu reculeras ».
Plus tard, je voulais prendre le téléphone appelait mon parrain Claude Michelet et lui demandais si je devais me tirer une balle dans la tète, car j’etais responsable de la mort de David.
Puis passa un lieutenant de Police, je le prenais pour Pieter De La Tower, alors je rigolais.
Plus tard encore, j’entendais des voix d’un grand mariage, je croyais qu’ils avaient organisé mon mariage, tous mes cousins, alors je rigolais comme un fou, dans le fond, ils m’aimaient, je n’en suis pas sûr, mais dans ma folie tour à tour les gens me haïsaient et m’aimaient.
Puis j’en avais mare d’attendre dans ce commissariat, alors je pris la fuite, mais un policier me courru après moi et me plaqua, il me fit rentrer pas très content dans le commissariat de police.
J’avais gardé mon badge de chez Bouygues, alors le commissariat appela Bouygues, je pense qu’ils avaient la bonne nouvelle, l’ennemi de la corruption était devenu fou, mission accomplie pour la corruption.
Finalement, je me retrouvais dans un hopital à Bruxelle. Dans la chambre, j’entendais des voix d’un couple, il avait le numero de téléphone de sa femme, et moi je ne connaissais pas le numéro de téléphone de mon épouse, j’étais vraiment l’enflure qu’ils avaient capturé.
Ma femme vint avec son ami Ron, ils me ramenèrent à la maison. Ron, le hollandais, me demanda de tout oublier et de dire la Vérité à mon patron Hollandais, c’est ce que je vais faire.
Mais je ne sais pas faire une chose comment oublier, l’essence dans ma voiture, c’est un mystère, Dieu m’a parlé et les hommes me demandent de l’oublier, les hommes ont apprivoisé Dieu dans des religions bien sage, il faut mettre en cage l’homme avec qui Dieu parle, il ne rentre pas dans le cadre des religions officielles.
Je reviens chez Brink Groupe, après trois jours de repos. Ils ont obtenu leur victoire, ils ont réussi à rendre fou, l’ingénieur français mal pensant, mais ils ne savent pas ce qui se cache derrière cette victoire, le début de la fin pour la corruption.
Je fais mon rapport à mon patron, j’ai pété les plombs, mais cela va mieux, mais Paul Beyersberger veut se separer de moi, alors il me convoque avec Gretjan.
Il me dit « tu n’as rien appris avec nous. », donc c’était bien cela, il m’avait engagé pour me priver d’information pour me faire le cout du secret divin. « Tu ne sais pas te comporter comme étranger. » Il n’avait pas aimé que je mette mes idées sur leur ordinateur, j’étais trop fier, il fallait me casser psychologiquement. En somme, nous nous étions tout dit, Paul était une enflure corrompue qui avait fait une leçcon à un étranger, tu n’es pas chez toi, ici règne la corruption, tu n’as pas le droit de rentrer chez nous, un jour la Koninging me recevra, je lui racontrais ma vie, elle écoutera : c’est ce que l’on appelle la diplomatie.
Je me retrouvais une fois de plus au chomage, quand on est au chomage, on se pose la question de savoir qui on est, on est plus rien, et quand on est dans un pays étranger et qu’on a un problème de communication, on est vraiment tout seul, alors on se debrouille, on essaye de s’en sortir.
Je resollicitais en France, alors que j’avais brulé tous mes vaiseaux, avec le groupe Bouygues, j’etais grillé en France, en fait je l’ignorais ou ne le savais pas complètement, mais j’etais grillé en Hollande aussi. En fait, je pensais bètement, je pensais que cette loi du silence venait de la franc maconnerie, alors je pensais que cette loi du silence, était rempante. Mais en fait, pour mettre sous écoute, comme j’avais été mis sous écoute, pour faire lire le courrier d’un homme, cela ne pouvait pas venir d’un groupe ou d’une partie de la société, la seule explication possible, mais je devrais mettre dix ans à le decouvrir, la seule explication possible, c’est que le coup venait d’en haut, c’était Chirac. En fait Chirac m’avait pistonné, mais il avait fait payer très cher son piston.
Donc, je revenais en France et en France, je découvrais sans surprise que j’etais sur la black list. Je déprimais, en plus mes voyages en France me fatiguaient. J’étais malade et c’est malade que j’eu la revelation de la metaphysique quantique. Si l’infiniment petit répond à la loi de la mécanique quantique c’est que l’infiniment grand qu’est Dieu y repond aussi. Il y a comme l’onde et la particule une dualité entre l’homme et Dieu. On ne peut saisir les deux en mème temps, si on saisit l’homme la notion de Dieu s’estompe, et si on saisit Dieu, la notion d’homme s’estompe.
En mème temps, j’avais appris en terminal C, mathématique, en philosophie que la théorie finale de la philosophie était la dialectique parce que la dialectique montre que la pensée humaine est généré par la contradiction des générations, une génération s’oppose à l’autre et ainsi va le monde. Comme par effet dialectique, je pensais que cette pensée était fausse, j’étais en contradiction par rapport à cet enseignement. Et je trouvais la faille, en fait, dans l’histoire de la pensée, il y a l’oubli, je ne suis pas en fait en contradiction avec la dialectique d’Hegel, je n’en ai pas lu une ligne, j’ai oublié cette theorie. L’oubli est aussi un phénomène de la pensée humaine. Alors Dieu intervient et par miracle, il lui arrive d’appliquer des piqures de rappel à l’homme, il se rappelle à l’homme. Dans ce long discours solitaire de l’homme qu’est la dialectique Dieu intervient, et se rappelle à nous. Ainsi dans la théologie et dans la petite théologie de l’intervention de Dieu à moi, l’homme peut retenir le symbole, il croit au symbole, dans l’histoire de la chrétienté, apparait comme phénomène une mytholgie du Christ. Mais si nous croyons à cette mythologie alors Dieu quitte le message, alors notre foi est sans vie. Nous ne devons bien comprendre la nécessité de concevoir que le Christ n’est pas seulement le christ de la foi chrétienne, car alors cela ne serait qu’une invention humaine, mais le Christ a une historicitée et dans cette historicité une rencontre mystérieuse, la rencontre avec Dieu. Les chrétiens n’aimeraient pas rencontrer le personnage historique et je pense que les chrétiens très savants lui feraient à nouveau la peau.
Je pensais ces choses et je pensais que tout était mortel et contrairement à la pensée commune, je concevais la fin de la religion chrétienne, et je me disais si la religion avait une fin est-ce que Dieu nous abandonnerait ? Est-ce que le fait que les hommes comprennent le message « aimez vous les uns, les autres… » ne serait pas la fin, car l’humanité deviendrait Christ et elle mourait, mais ressuciterait, tel est le message du Christ.
Je pensais ces choses peut être moins peut être plus dans ma folie maniacho depressive et j’envoyais le message à ma famille. Ma tante Desmazeaud, bonne catholique, déclarera que quand on était malade, il fallait se soigner. Etait ce la dépression qui me faisait envisager la fin de la religion chrétienne, peut être. Mais la maladie était pensée, et il ne fallait pas répondre à la maladie, mais a la pensée, l’ennui est que cette pensée est génante.
Ma tante Desmazeaud réapparaitra dans cette histoire quand je reviendrais vers Isabelle Veillet et que je raconterais ma vie en Chiraquie à Isabelle Veillet, j’appelais Jeanette et lui demandais d’intervenir aupres d’Isabelle, elle me dira qu’elle ne jouait pas les intermédaires, alors que tout le monde savait que nous étions des connaissances avec Isabelle, nous n’étions pas au stade d’avoir besoin d’intermédiaire et elle me dira « je suis l’ami d’Yves Michelet ». Ils avaient bien entendu dans la famille que je plaignais d’avoir été mis sous ecoute par Chirac via Yves Michelet, mais ils étaient amis avec les Michelet, alors ils ne voulaient pas m’entendre quand je fus mis dans un hopital psychiatrique nul ne me soutint, c’est ce que l’on appelle de bon chrétien. Je raconte l’histoire pour que l’on se souvienne d’eux, de ces bons chrétiens complices du pouvoir.
Mais c’est aller trop vite en besogne, nous ne sommes pas au chapitre de mon retour vers Isabelle Veillet, actuellement ma femme est enceinte et je cherche du travail mème en France, mème parmi la maffia. En mème temps, je gagne 400 euros par mois, alors il faut que je me débrouille, ainsi avec mon petit néerlandais, je vais dans l’administration néerlandaise, qui était tres humaine à l’epoque, et je monte un dossier pour que mes neufs années passées chez Bouygues, soint prises en compte dans le calcul de mes indemnités.
Dans la vie, j’ai une succession de chance insolente et de malchance. Ainsi quelque jour après l’accouchement de ma femme, je recevais une lettre de l’administration néerlandaise. Du fait de l’accouchement d’Agatha nous avions besoin de fond, pour payer la poussette, et pour payer toute sorte de choses.
La lettre de l’administration néerlandaise reconnaissait mes neufs annees passées chez Bouygues, il faut dire que le polder model était tres socialisant à l’époque, les choses ont bien changé depuis.
A la lecture de cette lettre, je m’assayais et je fermais les yeux, je venais de passer une dure épreuve. La précarite est géniale quand nous avons ces petites nouvelles qui nous sauvent la vie. Si j’avais été riche, je n’aurais jamais connu ces bonheurs de pauvre.
Ma femme était enceinte, mais comme nous souffrions d’un manque d’argent, nous nous déplacions dans une voiture avec des plaques françaises et nous n’étions pas assurés.
Nous étions allés en Pologne, non assurés en passant par la frontière, je ne sais comment nous n’avons pas été contrôlés. Il n’empèche que nous sommes passés par Prague et que nous avons traversé la Slovakie par les tartras qui etaient couleur rose. Nous traversions ce paysage merveilleux qui faisait cent kilomètres de long ce n’est qu’aux etats unis que j’ai pu profiter d’une telle scène. En plus, cette année la il y avait de la neige. En pologne, je devais rêver de mon Joint Venture Worme et j’aurais aimé rebatir la Pologne avec un grand groupe de BTP paneuropeen.
Je revais. Nous allions dans la famille d’Agatha. Le frère de ma belle mère avait cinq enfants, la belle Annia, une sorte de vierge polonaise, me plait beaucoup, si j’avais l’occasion, je tromperais Agatha avec elle, j’ai toujours aimé des êtres assexuelles, c’est une forme d’égocentrisme, je n’aime que moi-mème à croire, mais j’aime aussi Tchemek, le frère d’Annia parce qu’il est bon en mathématique, mais qu’il travaille, il faut dire qu’il a eu la chance de ne faire que des mathematiques et que cette chance, on me l’a enlevé et je me la suis enlevée. La petite sœur de ma belle mère, m’embrasse et me parle en Allemand que je comprends difficilement, elle m’avait dit que si je rendais sa nièce malheureuse, j’aurais affaire à elle. Je ne crois pas que je la rends très heureuse. Je gueule trop, Agatha me harcèle et je la harcèle, c’est la guerre entre nous, cela a toujours été la guerre. Agatha sait depuis toujours qu’il y a une Isabelle, alors elle veut des garanties d’amour, elle ne fait pas confiance, alors évidemment, elle est impossible, cela accroit ma maniacho dépressivité, alors je suis violent, je n’aime pas cela, je n’aime pas le couple que nous formions, je culpabilise énormement, je culpabilise énormement d’avoir eu des gestes vis-à-vis d’Agatha, mais c’est elle qui a commencé, c’est elle qui enfouit mon caractère parce qu’elle a trop de caractère, dans notre couple on ne voit qu’elle, je disparais, je ne peux pas dire, je veux arreter de travailler et je veux me mettre a écrire, c’est elle qui distribue les bons points et je n’en ai que des mauvais, c’est desespérant. Autant, je suis amoureux du talent d’Agatha, autant Agatha ne m’en trouve aucun, c’est à se demander pourquoi elle m’a epousé. Depourvu de talent, je ne dois avoir qu’une seule fonction, faire rentrer l’argent dans le foyer, mais quand on a aucun talent et effectivement comme elle ne me parle ni en anglais, ni en néerlandais que cela me fait rentrer dans ma coquille, je n’en ai absolument aucun, j’ai le talent d’un molusque.
Puis vint le jour tant attendu, vint le jour de gloire, pour moi et pour Agatha. En fait, cela fut une joie commune, mais cela nous separa à jamais, nous n’avons pas les mèmes définitions de ce que doit être les devoirs parentaux. Nous avons tous les deux connus une grande joie en étant parent, mais cela nous a separé à tout jamais. Adrian qui va naître le 4 avril 2000, est une grande joie commune, mais une grande cause de dissension.
Le 3 avril 2000, à 6 heure du matin, Agatha a commencé à avoir ses contractions. Cela fut une grande épreuve pour elle, elle va accoucher à 5 heures et demi, le lendemain. J’ai été present toute cette journée. Au debut, Toke voulait qu’Agatha accouche à la maison, parce qu’en Hollande,on accouche à la maison, c’est tres fun, pas tres hygiénique, mais les femmes hollandaises sont des juments, alors on fait comme avec des juments. Seulement ma femme avait 35 ans, c’était la première fois et c’était douloureux. A la fin de la journée on pris quand meme la decision d’aller à l’Hopital. A l’hopital, j’etais le seul à m’occuper d’elle, je la mettais sous la douche pour atténuer la douleur. A deux heures du matin, malgré le danger un docteur anesthesiat Agatha. Elle put enfin dormir, je suppose que le bébé aussi.
Puis je craquais, je m’endormis une petite demi heure. A cinq heure Toke me reveilla, Agatha était sur le point d’accoucher. J’etais en habit de ville à l’hopital et cela n’était pas hygiénique, mais je fis tout l’accouchement d’Agatha, il y avait du sang partout et moi qui ne supporte pas le sang, la je l’ai supporté. Toke pris Adrian dans ses bras et me le donna pour que je le mis sur le ventre d’Agatha. C’était incroyable, ce moment, il était tout violet, il ne respirait pas, j’etais comme un homme primitif, je pensais que nous avions fait un monstre, puis sur le ventre il se mit a crier, c’était merveilleux, nous étions les rois du monde, elle était Marie, j’étais Joseph, j’avais accompli une boucle dans l’existence, la peur de la mort qui poursuiva ma vie, devint la peur de la mort d’Adrian. Je suis souvent las de la vie et je souhaite que la mort me prenne en douce sans m’en apercevoir. Mais en fait, ce qui me tiens en vie, c’est de voire ce qu’il va advenir de lui, j’ai peur que le miracle ne s’accomplisse pas qu’on nous l’enlève, j’ai peur de cette fragilité.
Adrian prend très rapidement des couleurs, il est tout rose presque rouge quand on le met sur la balance. Puis je tiens dans mes bras, c’est un petit être fragile, c’est vraiment touchant.
Sur la balance, on voit les couilles d’Adrian, on ne voit que cela, Adrian est vraiment un petit garçon, c’est une tres bonne nouvelle pour moi, comme j’ai des difficultés avec le sexe faible, je ne sais pas comment faire pour le bain avec une petite fille, un petit garcon, c’est beaucoup mieux.
Je rentre à la maison, ma femme m’a demandé de prevenir mes beaux parents polonais que nous avons un fils, alors je leur telephone et je leur dis « To jest Syna » Ils comprennent, ils viendront nous voire à la maison pour aider Agatha et pour me traiter de fou, car mes coups de gueules destabilise tout le monde, je me mets très facilement en colère. Ma belle mère me traitera de « kounia miounou » et fera le signe du fou avec la main.
Mais je serais assez gentil pour supporter ma belle famille à la maison, mon beau frère Marcin viendra vivre chez nous, car Agatha va trouver un job à son frère, elle aurait dû penser à son mari et à elle-mème.
Avoir un enfant, c’est toute sorte de choses a faire, Heureusement en Hollande des choses étaient prevu, Agatha va bénéficier d’une aide à la maison. Dans un premier temps, Agatha donne le sein, mais cela ne marche pas, Adrian ne suce pas assez, alors le sein d’Agatha s’infecte. Le docteur néerlandais oublie de tater le sein de mon épouse, il passe à coté de 500 grammes de pus.
Agatha va souffrir terriblement, c’est retour à l’hopital, car la premiere fois Agatha était sorti a 11 heures du matin après avoir accouché à 5 heures et demi. Elle retourne à l’hopital pour une opération du sein douloureux. Il faut lui acheter une pompe pour pomper le lait, puis nous passerons au biberon, ainsi Adrian aura connu le sein de sa mère, mais cela sera très problématique. C’est à cause de toutes ses souffrances qu’Agatha ne voulu pas avoir un autre enfant, et puis elle a epousé un homme malade bipolaire, cela aussi ne la pas engagé à refaire l’expérience merveilleuse que fut la naissance d’Adrian. A l’hopital, Agatha souffre alors elle a un geste de rejet envers moi, elle me dit pars quitte moi. Parfois, j’en ai eu le fantasme quand Adrian aura moins de deux ans je suis alle en Martinique, là vraiment j’ai voulu quitter Agatha, je voulais divorcer après 2 ans de mariage, mais je ne l’ai pas fait ainsi j’ai pu voire grandir mon fils, j’ai perdu mon âme, mais j’ai sauvé celle de mon fils, je suis la génération gachée.
La naissance d’un enfant, c’est un nombre de choses considerable à faire, heureusement que j’étais au chomage. Il faut choisir un prénom, alors on achete des bouquins pour choisir le prénom pour savoir ce que cela veut dire. Adrian, c’est pour l’Amour, c’est l’Adriatique, et puis il y a Victor c’est pour la victoire, Adrian Victor, c’est la victoire de l’Amour.
Puis il faut inscrire Adrian à la mairie, cela c’est véritablement simple, à Brie Comte Robert, il modifie le carnet de famille.
Puis il faut acheter des faire parts, acheter des balons bleux, inviter des voisins rencontrer des tas de gens qui nous félicite. En Hollande on mange à la naissance d’un enfant des granulés anisés, bleu pour un garçon, rose pour une fille. Les faire parts, je les avais acheté à Paris, parce que c’était plus chic, et Agatha voulait, alors quand une femme enceinte veut quelque chose on le fait parfois.
Puis il y a la poussette, nous avons obté pour la poussette Quini, c’est une poussette qui a été désigné par des amoureux de la voiture, c’est une sorte de voiture miniature, et puis on peut la plier. C’était très pénible. Quand on promenait Adrian dans Zoetermeer, les gens nous arréter, nous disait qu’on avait un beau petit enfant, on discutait avec nous. Un jour un homme me dit « il ne sait pas ce que nous nous savons ». Bref avec un enfant, on fait des tas de rencontres.
Un jour, une nuit à trois heure du matin, j’ai failli tuer Adrian, je donnais le biberon, je le faisais mal , Agatha a gueulé sur moi, alors j’ai posé Adrian violemment et j’ai gueulé sur Agatha, ne fais pas cela à trois heures du matin, lui ai-je dit.
Puis viendra, la crèche, les crèches, on en aura trois au total, je crois. Adrian sera elevé par des filles néerlandaises, c’est pour cela qu’il parle bien le néerlandais.
Je me souviens nous étions chez les voisins du dessous, qui aimaient beaucoup Agatha, ils étaient du coté d’Agatha dans nos disputes, on lui dit le nom oiseau dans differentes langues et Adrian réagit à chaque fois, car il y avait des oiseaux chez ces gens. Depuis, notre voisin est mort d’une crise cardiaque, il avait cinqante ans.
J’ai un peu aidé Agatha dans le souci qu’est de s’occuper d’Adrian, bien sûr je n’en ai pas fait assez, mais cela n’était pas facile, les amies polonaises d’Agatha rechignait à nous aider. Nous eumes l’aide de ma belle mère, mais ils habitaient en Pologne et une fois de plus nous fumes seul au monde, mais cela ne fut jamais un fardeau.
Ce qui fut un fardeau, c’est que nous étions tres faché Agatha et moi, nous n’arrétions pas de nous engueuler, parfois j’avais des gestes violents et malheureux, plus tard quand je vais travailler chez Ballast Nedam, j’ai failli tuer Agatha, j’ai failli l’étrangler, quand je pensais d’Agatha et de nos disputes cela faisait monter en moi mon désir de meurtre, Agatha est la seule personne que j’ai voulu supprimer de la surface de la terre.
Enfin, ma belle mère était chez nous, elle nous aidait pour le bain d’Adrian, ma belle mère aimait baignait Adrian, et puis moi je ne savais pas bien le faire. Il fallait absolument qu’Adrian soit baptisé à Paris dans la meme paroisse polonaise du XVIeme arrondissement, parce que les Morcyzsky avaient baptisé la petite Annia. Le prètre catholique fit son sermon sur les bourreaux familiaux, j’etais un fardeau pour ma belle famille, je ne suis pas à proprement parler le gendre idéal, je suis le pire qu’Agatha leur a ramené, mais en tous les cas moi, j’ai tenu, cela va faire bientôt douze ans, nous nous sommes mariés le 24 juillet 1998, et nous sommes toujours mariés. Mais parfois, je ne suis pas persuadé que nous nous rendons forcement heureux. Mais c’est peut être cette difficulté de couple qui fait notre histoire et qui fait que nous sommes attachés, plus Agatha est méchante avec moi, plus elle s’appercoit que je suis attaché à elle, donc pourquoi être gentille et douce avec moi, pourquoi me parler en Anglais, pour que je parle avec les gens ? Non, c’est beaucoup mieux de me voire souffrir.
Je voulais que les parrains marraines soient partagé entre ma famille et la famille d’Agatha, je voulais que la fille ainee de Claude Michelet, Mireille, ma cousine, bibliothécaire et cocu, soit la maraine d’Adrian, ainsi nous aurions gardé des liens avec la France, mais Agatha refusa, et on ne refuse rien à une femme enceinte, ainsi Adrian a pour parrain mon beau frère Marcin et pour marraine Dagmaar.
Mon père et ma sœur sont venu au baptème, ainsi que les Desmazeaud, mais nous n’avons fait aucune fète, c’est que moi qui a mangé dans un bistrot, c’était la misère. Si mon père m’avait aidé à plumer le groupe Bouygues au prudhomme, il en aurait été différemment, mais pourquoi revenir sur le passé, je n’ai pas de père, vous l’avez compris, j’espère.
Mon père, par esprit de réconciliation aurait pu subventionner la fête, mais mon père est avare, l’avarisme est un vilain défaut. Ma mère, elle, elle a abandonné son fils malade et fou et elle souffre de maladie en Correze pour aller Aux Etats Unis voire mon frère cela va, mais cela ne va pas pour moi.
Mes parents sont venus nous voire en Hollande, mais Agatha était désagreable, et parfois malade, mes parents aiment le restaurant, Agatha nous deteste pour cela.
Chapitre 11 : Ballast Nedam
« Je travaille pour la société de BTP Hollandaise la plus corrompu, la punition des écoutes téléphoniques de chez Bouygues continue, malgré cela je démarre un projet pour eux à Paris, j’utilise Ho DO Anh, le traitre de chez Bouygues qui va se faire passer pour mon ami. Malgré mon succès, je suis viré comme un mal propre »
J’avais rencontré aux Assedics néerlandais, un hollandais très sympathiques, pas forcément Gezellig, mais sympathique. Les Hollandais disent gezellig pour les coutumes sociales, mais ce qu’ils ont en matière de coutume c’est de vous inviter pour prendre un café avec un petit gateau, ce n’est pas très sympathique leur Gezelligheid. J’ai invité des néerlandais à venir manger chez moi, mais ils n’aiment pas cela parce qu’ils n’ont pas envie de vous réinviter. Ainsi je l’ai fait pour Ed den Boer, et pour Edward Konigsferander. Maintenir des liens avec les néerlandais est tres difficile pour moi, ainsi je parle très mal le néerlandais et je suis tres isolé en Hollande.
Les employeurs hollandais se sont servis de l’état de précarite dans laquelle je suis pour me prendre comme un esclave. Ils me disent que je dois progresser doucement, mais c’est en fait pour enterrer ma carrière, c’est pour cela que j’aurais dû faire un MBA pour accélerer ma carrière, les hollandais se sont ingéniés à faire régresser cette carrière. En fait, la vie est un combat, je n’ai pas su combattre.
Leo de Lange était tres sympathique, il travaillait comme indépendant pour les Assedics néerlandais, son job était de trouver un travail à des cas desespérés, il trouvait du bouleau a des handicapes ou a des gens comme cela. Bref, si Leo de Lange s’occupait de mon cas, c’est que mon cas justement était desepere, c’était vrai, c’est toujours vrai. Leo de Lange avait des théories sur le marché de l’emploi. Sa théorie, c’est que les petites annonces et la recherche classique ne couvrait que 20% du marché de l’emploi, cela voulait dire qu’il y avait un marché de l’emploi caché. Pour aborder ce marche de l’emploi, il faut contacter directement les employeurs par un moyen ou par un autre.
Plus tard, je serais au chomage à nouveau. Les Assedics néerlandais m’envoyèrent dans un bureau d’outplacement, qui s’appelle Ede & Partners. Ede & Partners avait demandé 8 000 euros au lieu de 5 000 euro parce que j’étais etranger, la seule chose qu’ils me firent pour ces trois mille euros supplementaires c’est qu’ils me conseillèrent d’apprendre le néerlandais. C’est un peu cher pour 3 000 euros. Mais Ede & Partners travaillait sur deux principes, la psychologie pour trouver un boulot, il faut cerner sa psychologie. C’est là que j’appris l’effet miroire en psychologie, pour faire avouer à Isabelle Veillet qu’elle m’a dit « je vais succomber », il ne faut pas lui poser la question, car alors on s’affronte à un blocage, mais vous verrez dans la suite d’ « une vie en Chiraquie » comment Isabelle avait avoué qu’elle m’avait dit « je vais succomber » et que cela était probablement pour moi. Ede & Partners avait une autre théorie pour trouver un boulot, c’est la recherche en réseau, la recherche en réseau part du principe que la société est forme par des réseaux. Il faut se faire coopter par des gens, organiser des rendez vous, et se faire recevoir par des gens en fonctionnant par petit pas, un rendez vous apporte cinq rendez vous et ainsi de suite. Ainsi théoriquement si vous voulait rencontrer le pape ou Obama, vous avez cinq étapes pour y parvenir, cinq rendez vous. Cette théorie est un complément a la théorie de Leo de Lange ou 80% du marché de l’emploi est caché et en plus dans ces 80% cachés se trouvent les meilleurs jobs, les jobs les mieux rémunérés, c’est pour cela qu’un peu de flexibilité est bon pour évoluer dans nos sociétés modernes.
Le problème c’est que je suis rigide psychiquement, donc c’est difficile d’appliquer les règles de la recherche en réseau. Le problème c’est que pour se faire inviter en Hollande, il faut parler parfaitement le néerlandais, la recherche en réseau ne souffre pas la médiocrité et j’ai une véritable difficulté d’acquerir les rudiments de la langue néerlandaise. Je suis un mathématicien et apprendre une langue étrangère est une mission impossible pour moi, je n’arrive pas à accumuler les connaissances. C’est pour cela que le choix de mon épouse qui consiste à ne pas me parler en anglais et en néerlandais est coupable, de fait je suis très isolé. C’est une de mes obsessions, je suis une victime et donc un bourreau.
Deuxième principe de la recherche en réseau, c’est que les gens parlent entre eux, quand un homme se met en mouvement et dit je veux rencontrer Sarkozy, je veux rencontrer le pape, liser ma vie en chiraquie et vous comprendrez pourquoi, les gens en parlent combien, pourquoi ? Difficile a dire. Le gros problème, c’est que la recherche en réseau va de pair avec le back ground qui vous êtes qui vous avez rencontré. Quand dans votre histoire, il s’avère que vous avez été laché par la famille Michelet, mauvais point de départ pour vous, ensuite Bouygues dit que vous êtes mauvais, très mauvais point pour vous et de proche en proche se fait une réputation autour de vous, vous êtes un rouge, la notion existe encore, vous etes catalogué, et dans la recherche en réseau même s’il y a des hermicités entre la France et la Hollande, il y a tout moyen pour la société à accéder a votre back ground, vous etes grillés et vous allez rencontrer dans la société des êtres perverses qui savent pertinemment que vous êtes grillés, et par conséquent ils savent que vous n’êtes pas un homme libre et aliéner un homme est un grand plaisir pour les hommes. Bref la recherche en réseau est impossible pour vous. Je suis un impuissant, je me suis dit à moi-même que ma mission est impossible, croire en Dieu, cela n’est pas cela, je suis en dehors de la vraie foi en Dieu.
En consèquence de quoi, comme je le laissais entendre à Ede & Partners, ils ne pouvaient pas me rendre service, ils auraient du dire aux Assedics néerlandais, nous ne pouvons rien pour cet homme, c’est lui-mème qui doit apprendre le néerlandais et ses réseaux sont bouchés, nous ne pouvons rien pour les déboucher.
Ainsi Leo de Lange appliquait les recettes d’Ede & Partners et il le faisait pour le compte de chomeurs handicapés, handicapés vraiment ou handicapés de la vie comme moi.
Il avait trouvé un boulot chez Ballast Nedam en Hollande pour des travailleurs immigrés qui ne savaient pas parler le hollandais. Le Ballast Nedam se trouvait à Leerdam à une trentaine de kilomètres d’Utrecht à 70 kilometres de Zoetermeer, c’était une structure qui s’occupait des infrastructures, c-a-d des terrassements et des choses comme cela. A coté de cette structure se trouvait une structure de Ballast Nedam International ; cette structure construisait et maintenait sur le Bénélux des stations services pour le compte de grand groupe néerlandais. Ils avaient, je crois un grand contrat avec Shell sur le Bénélux. Bref cette petite structure faisait 25 millions de chiffre d’affaire et 20% de marge.
Cette petite structure était dirigé par Enk van Uitert, un homme qui avait magouillé (ou beaucoup travaillé) pour Ballast Nedam à l’International : en Irak, je crois. Il magouille avec des petits patrons néerlandais qui tenaient des garages, il avait sa maison en Belgique cela lui permettait de payer moins d’impots. En mème temps, j’ai cru comprendre qu’il magouillait avec des sociétés belges de construction. Il est possible qu’il beneficia de largesse, mais je ne suis pas dans le secret des Dieux. En tous les cas, j’ai viré les Belges de la France, sur nos projets et ceux sont les belges qui m’ont viré de Ballast Nedam International.
Je croisais un collègue chez ballast Nedam qui savait un peu de francais et qui devait etre conducteur de travaux. Les autres hollandais l’avaient viré. Le problème de Ballast Nedam International c’est qu’ils avaient une forte ingénierie qui leur permettait d’œuvrer en phase commerciale en mème temps cette société se servait de réseau corrompu pour vendre cette intelligence. Cette manière de faire avait fait merveille à l’international, mais ils avaient oublié d’être performant en phase d’excécution, en conséquence de quoi leur réseau corrompu ne fonctionnant pas, ils avaient quitté le marché, leur existence sur le marché du BTP était devenu évannessant. Cette société en position de faillite était incapable de se sauver parce que les cadres d’une entreprise, les ingenieurs sont capable de sucer un système, mais ils sont incappables de le sauver. C’est pourquoi en position de crise, la seule attitude possible est de faire des coupes sombres, il ne faut jamais attendre le miracle d’un sauveur.
Ballast Nedam IPM dEnk van Uitert auraient pu être un avenir important pour Ballast nedam International en Europe. Une politique européenne aurait pu générer 200 millions de chiffre d’affaire, en faisant en mème temps du bâtiment classique le chiffre d’affaire en Europe aurait pu être de 400 millions, Ballast Nedam International aurait été sauvé. Malheureusement, cela n’est pas avec des gens avec un back ground en Irak comme Enk van Uitert que l’on fait ce genre de politique ambisieuse. En plus Enk van Uitert était environné d’ingenieur comme Fries van Gest, jaap van Lammeren, Cees Leijte qui venait d’Arabie Saoudite. Cela n’est pas le back ground de l’Arabie Saoudite qui aurait pu faire notre avenir.
Enk van Uitert me reçu et me dit qu’il fallait apprendre, en effet je ne savais pas ce qu’était un contrat FIDIC ou un cost Phy, ou tous les détails de la vie contractuelle à l’internationale. Seulement comme toujours avec les Hollandais personne ne m’appris ces choses. Autre point, c’est quand un homme dit à un autre tu dois apprendre que cela veut dire, nous prendrons en considération aucune de tes idées.
Enk van uitert me dit que je serais payé et classé en fonction de mon back ground a l’international, cela voulait dire qu’ils avaient mon back ground, mauvaise nouvelle, ce back ground c’était Bouygues.
Nous travaillons au début sur des projets européens de télécommunication d’une société américaine qui s’appelle cable & Wireless, nous travaillons sur des projets virtuels partout en Europe.
Le directeur commercial jouait avec moi et mes collègues jouaient avec moi. Le jeu qu’il jouait était simple, il jouait à big brother, il jouait à « je sais que tu sais que nous savons sur toi. ». Alors j’allais voire le directeur commercial et je lui dis que chez Bouygues les jeux étaient destructeurs, il me répondit que je n’étais pas de taille à jouer psychologiquement. Il me dit aussi un jour qu’il était chrétien, mais qu’il n’avait pas les mèmes principes que moi. En effet, les chrétiens agissent comme des ordures avec leur proche, ils n’ont aucun remors de conscience. Ce directeur commercial trouvait que je n’étais pas assez battant, c’est pour cela qu’il jouait à big brother avec moi. Ils jouèrent avec ma voiture de fonction, j’avais negocié une voiture de fonction, il ne voulait pas me la donner. Ils me la donnèrent quand je cassai ma voiture française, j’avais oublié de mettre de l’huile. Out la ZX de papa !
La première fois que je pris cette voiture, je mis du diesel à la place de l’essence, elle tomba en panne, je gueulais contre Enk van Uitert, le lendemain, Cees me dit tu as gueullé contre Enk van Uitert. Il discutait avec moi et il faisait des réflexions qui tournaient autour des facheries que j’avais avec Agatha. Le sentiment de paranoia était tres fort. Quand on est paranoiaque, il est difficile d’avoir l’esprit libre, il est difficile d’apprendre le néerlandais. Les Hollandais savaient parce qu’ils avaient le back ground de Bouygues à mon propos, ils savaient que je n’avais aucune chance en Hollande, alors perversement il me faisait croire que j’avais ma chance. Ils etaient les Snopes, ils me vendaient des pelles et des sauts, ils me disaient creuse il y à une mine d’or. J’etais comme Ratclif, j’ai creusé, j’ai perdu ma santé à ce petit jeu.
Comme le jeu avec cable & Wireless me paraissait virtuel, je pris ma voiture et rentrai en France, je fis un rendez vous chez Ramery pour voir s’il pouvait être partenaire et je leur dis que j’avais des problèmes de fonctionnement avec les hollandais.
En tous les cas, le lendemain, les hollandais décrochèrent les plans de cable & Wireless et nous ne parlames plus jamais de cette affaire. De toute facon cette affaire ne vit jamais le jour.
Enk van Uitert ma dit, nous n’avons pas besoin de toi, j’étais au placard en fait, il m’avait pris pour me mettre au placard, c’est la loi du milieu, je fais l’aumone dans un milieu qui m’a rejeté et que je devrais haïr et combattre. C’est pour cela que j’écris une vie en Chiraquie, pour redevenir logique avec moi-même, j’incarne la lutte de l’humanité contre la corruption. La corruption voudra toujours aliéner l’humanité, la corruption m’a aliené et m’a rendu paranoiaque parce que c’est ce que veux la corruption. Je n’ai rien contre la magouille, les magouilles, j’en ai fait moi aussi, les magouilles ne sallissent pas, le problème de la corruption, c’est que la corruption veut vous voler votre âme.
Puis, nous avions les soucis, d’avoir un petit bébé. En prenant le bain nous vimes une chose byzarre sur le bras d’Adrian. Il avait un virus qui lui attaquait les articulations. D’abord je voulais aller à l’hopital pas Agatha, puis Agatha alla à l’hopital, je quittais mon boulot pour aller à Zoetermeer, nous avions beaucoup de soucis. L’opération fut bégnigne. Cees me dit le lendemain que je devais écouter ma femme.
Avec son ami suisse, de Ballast Nedam, Cees me dit que nous étions divisé avec Agatha autour d’Adrian, nous l’aimions trop c’était une cause de dissension, il fallait se retrouver. En jouant à big brother, les hollandais rentraient dans ma vie privée et voulait téléguider ma vie.
Ils me trouvaient tous enfantin, j’avais des rêves d’enfant aller en Allemagne, je parlais de ces rêves comme un enfant, je suis un homme enfant, un éternel puceau dans un monde raciste pour ce type d’individu.
Enk van Uitert, ne m’avait pas donné les papiers de ma voiture de fonction, c’est pour cela que j’avais dû louer une voiture pour faire le voyage en Pologne. Cette année là nous basculames en l’an 2000, je n’ai pas de souvenir bien précis de la Pologne de l’époque. Ma belle famille était très heureuse d’Adrian. La seule fonction que j’ai vis-à-vis de ma belle famille, c’est d’avoir été le géniteur d’Adrian.Ils s’apperçoivent que je peux comprendre des choses des conversations en Polonais. C’est simple, Agatha parle toujours des mèmes choses, il faut très peu de mots, comprendre tres peu de mots pour savoir de quoi parle Agatha.
Puis, nous rentrons sur la Hollande. Les Hollandais ont traité une affaire avec un groupe d’ingénierie anglaise et un groupe de télécom américain. Les américains avaient de mauvais partenaires sur la France, le projet ne partait pas. Comme Ballast Nedam avait demarré un projet en Angleterre ils avaient reconduit la mème equipe. Raisonnement simpliste, ceux sont des amércains. Ils sont paneuropéens comme je suis paneuropéen, nous sommes des branleurs.
C’est pour cela qu’être paneuropéen peut servir la cause commerciale d’un groupe de BTP et d’ingénierie. J’élimine les Belges parce que je ne veux pas avoir pied et poings lié avec les néerlandais.
Comme les néerlandais jouent a big brother avec moi, qu’ils fouillent mes poches pour voir que je joue au loto et qu’ils s’amusent psychiquement avec moi, ils ne se servent pas de moi a fond.
En fait, avec ses vieux project managers, Ballast nedam agit comme un bureau d’ingénierie. Il aurait fallu trouver un petit bureau d’ingenierie en France, faire une joint venture et masquer vis-à-vis des americains les gains. Ainsi, nous aurions sous- traité à ce bureau d’ingénierie français à un prix qui nous fasse faire 2% de marge et en dessous de la table nous aurions fait 30% de marge. C’est de la magouille, mais cela n’aurait pas choqué Ballast nedam International.
Au lieu de cela, nous sommes arrivés sur Paris (saint Denis) en ordre dispercé. Je suis arrivé avec 2 heures de retard, au premier rendez vous chantier. Un libannais travaillait pour le bureau d’ingénierie anglo-saxon, je croyais qu’il avait pris ma place. Paranoia quand tu nous tiens.
Je vais me débrouiller comme un genie du chantier. Il y avait des tas de chantiers, je trouvais sur place un turc qui me promis des dessous de table que j’acceptais, il me fit la première intervention le flocage du plafond. Pour les britaniques, c’était une véritable victoire. Sans rien faire que des réunioins en anglais, comme par miracle un chantier démarrait et sans retard ce qui est incroyable dans le monde du BTP.
Puis je trouvais la société Algeco, je n’avais pas de papier administratif, mais je tombais sur une commerciale positive, elle se prit à mon jeu. J’appris par la suite qu’Algeco a été à deux doigts de refuser de travailler avec nous. Mais comme par miracle sans papier administratif une société française accepta de travailler pour nous et nous pumes installer nos bureaux de chantier, qui fut une de mes plus belles réalisations.
Enfin, je contactais Ho Do Ahn. Ho Do Anh sera toujours un traitre, parce qu’il m’a connu chez Screg Batiment, c’est lui qui m’a dit au bout de trois c’est trop tard avec une femme, c’est lui qui a fait que je n’ai pas rappelé Isabelle Veillet, il sait que je suis faible psychiquement, alors il me trahira toujours. J’avais bien dit à Ho Do Ahn nous devons être les deux doigts de la main. Les Hollandais vont casser notre deal, mais il faut tenir, il ne faut parler qu’avec moi. Ho Do Ahn pragmatique me trahis et dis tout aux hollandais, et il devient copain avec la comptable française qui travaillait pour Ballast Nedam IPM.
L’autre solution aurait été d’aller voire Spie, Spie était 30% plus cher, il n’aurait pas été difficile de traiter avec eux et de convaincre les néerlandais en disant qu Ho Do Ahn était trop petit, car Spie était prêt a plumer les ‘’etrangers. J’aurais dit à Spie, cela ne va pas avec les Hollandais si vous m’offrez un job et 30 000 francs vous avez le chantier. Dans ce cas j’aurais sauvé ma peau, mais j’ai voulu la jouer intérets généraux, idéalisme. Spie fit une erreur psychologique avec les néerlandais, ils offrirent du champagne en nous disant que toutes les semaines ils peuvent nous offrir du champagne. Un hollandais cela ne se paye pas avec du champagne et c’est jaloux, alors quand j’ai proposé la solution modeste qu’était Do, cela a marché.
Ho Do Anh a réussi à trouver une société gérée par un Syrien et suite à une longue série de miracle, le chantier a demarré. Ho Do Anh m’a payé 25000 francs, je crois que je les ai merité, mais Ho Do Anh m’a trahis. Il avait joué à Big Brother avec moi chez Screg Batiment, alors il joua à Big Brother avec moi avec les Hollandais de Ballast Nedam. Quand j’allais aux putes, Ho Do Anh en connaissait les details, quand je croyais que l’on m’écoutait par ma radio, Ho Do Anh me disait on peut t’écouter par la radio.
En fait, c’est simple Chirac a commis le crime, il s’est servi du service public pour régler mon compte. Les possibilités d’écoute de l’armée sont formidablement puissante, ceux sont ces moyens disproportionnés qui ont été utilisé pour me faire plonger dans la folie ou me pousser au suicide.
Je parlais avec nos camarades britaniques, je crois qu’ils ont rencontré un fou sympathique, je leur ai demarré un chantier par miracle, en leur faisant gagner de l’argent en donnant gratuitement de bon conseil à mon project management néerlandais, ils n’ont jamais vu un tel fou. Un fou peut démarrer un chantier. Mais nous n’étions pas sur la mème longueur d’onde. Mes project managers hollandais voulaient faire une fin et la bulle internet car la follie de ces chantiers c’étaient cela, était un moyen pour faire une fin de carriere. Moi, je voyais l’avenir en grand il y avait 40 millions d’euro de CA qui attendaient Ballast Nedam en France, pour cela il fallait vendre du project management et faire un joint venture avec une petite ou moyenne société dingénierie francaise, cela était possible, mais je travaillais avec des gens qui jouaient à big brother avec moi.
Jaap van Lameren me dit « tu n’es pas un requin, tu es un pyranas, tu ne peux rien contre un groupe comme Bouygues » . Nous sommes en démocratie. Nous verrons si « une vie en Chiraquie » a un succes d’estime, nous verrons si ce genre de groupe aime ce genre de révélation, je ne suis pas persuadé que les groupes comme Bouygues apprécient que leurs agissements deviennent public.
Pour comprendre le phénomène, j’avais dit que la façon dont les gens se serrent la main est très important, parce que le patron juif de mon frère Laurent, lui avait appris les codes en la matière, à Portland Oregon, pour qu’il ne soit pas depaysé dans la haute société Oregonaise, et puis chacun sait qu’il y a une facon particulière de serrer les mains des franc macons comme signe de reconnaissance. Quelque jours plus tard, je lis un article où est interviewée une francaise qui a fait carrière chez Arcadis, elle dit « moi, la facon dont les gens se serrent la main, cela m’est egale. »Cela crée automatiquement en moi de la paranoia. Car il y a big brother, il y a la paranoia et il y a les gens qui parlent. Evidemment je ne suis pas en mesure de controler cette trilogie, j’imagine que les gens parlent sur moi, c’est pour cela que j’écris « une vie en Chiraquie », la rumeur sera suralimentée comme cela la rumeur s’éteindra d’elle-mème ou elle me nourrira. Je suis fou, je conviens !
Ballast Nedam IPM était un village, dans ce village, ils avaient herité du chiffreur fou, alors pourquoi pas s’amuser à le rendre plus fou, pourquoi pas effectivement, cela était trop tentant.
Mais le jeu, cela finit par lasser, on ne s’amuse plus, alors les belges sont debarqués sur mon chantier, ils m’ont saqué, puis je fus mis à pied : interdit de faire internet, interdit de travailler, venir au boulot et se comporter comme une statue.
Puis Enk van Uitert convoqua Leo de Lange, en ma presence, il dit que j’étais une pourriture, que j’étais une merde que j’étais fini, moi je dis que j’avais demarré un projet pour eux, mais je n’y étais pas, ce à quoi on jouait, c’était de me faire comprendre que je n’etais pas le bien venue dans le monde du BTP corrompu de la Hollande que c’était la mème chose que la France, j’étais renvoyé de ce monde, je devais le comprendre faire autre chose, écrire « une vie en Chiraquie » par exemple, Bouygues m’avait degradé de mon titre d’ingénieur des mines, j’étais une merde, c’est Enk van Uitert qui faisait passer le message avec un réel plaisir. Enk van Uitert était un boeren Lul, un paysan con, il jouait les paysans cons, comme Jaap de Vor, de Technip Benelux, est entrain de jouer avec moi. Dans le monde des ingénieurs ont met parfois sur la touche des éléments mème si on s’apperçoit que ce sont des mecs biens, mèmes si on s’appercoit qu’ils sont intelligents, surtout si on s’apperçoit qu’ils sont intelligents, cela fait plus à crouter pour les autres.
L’écossais qui travaillait avec nous le disait bien, je n’étais pas un mauvais bougre, c’était injuste, mais c’était comme cela, le monde individualiste s’en fout complètement des malheurs d’un ingénieur mis sur la touche ou sous la douche. Il n’y a qu’une personne qui n’en a pas rien à foutre et qui regarde de prêt ce qui se joue autour de ma personne, c’est Dieu. Dieu a tout vu et comme il sait ce que je suis fondamentalement, quand je ne quémande pas mon pain, que je suis fondamentalement contre ce système, ce système qui dérive, et qui empire, Il sait Dieu que je vais raconter l’histoire sans l’embellir, sans faire de moi un héros, je suis un antihéros, mais cet antihéros, Dieu l’a choisi pour qu’ils vous racontent des choses, pour qu’il vous tende le mirroir, et pour qu’il vous dise vous les élites, je vous connais bien, et je connais tous vos mensonges et je vais les raconter, parce que des petits des banlieux vont lire mon histoire et ils vont s’apercevoir que les voyoux ce n’est pas eux, alors j’espère bien qu’ils vont se révolter, j’espère qu’un nouveau parti verra le jour, un nouveau PS, parce que l’ancien PS est hypercorrompu, est hyper complice de la droite et qu’ainsi rien ne pourra être reformé en France, par une elite si corrompue, si individualiste, si imbue d’elle-même.
Et voilà, je me retrouvais sur la touche, à la maison le torchon brulait, c’était l’enfer avec Agatha, Marcin m’avait casse la gueule, il ne supportait mes violence vis-à-vis d’Agatha, je me laissais frapper, car j’étais soule de ces batailles avec Agatha, je fuguais de la maison et aller me refugier dans des hotels, financièrement, avec un enfant, c’était du suicide. Au boulot, je ne devais rien faire. Quand je me rapprochais de la comptabiliée, Fries Van Gest gueulait que j’étais un fouille merde, alors que je n’avais rien à foutre de leur petite magouille, puisque de toute façon, je leur aurais proposé une plus grande magouille et ils auraient gagné de l’argent, alors qu’incroyablement, ils en ont perdu.
Nous devions traiter un grand projet pour KPN Qwest, c’était le résultat de mon demarrage de chantier, mais la bulle internet allait tout faire casser, nous avions travaillé pour rien, nous avions fait des rêves pour rien, ainsi en va-t-il de la condition humaine, ainsi en va-t-il de la vie, sans Dieu pas de sens.
J’étais à la dérive, j’étais comme un vagabond, on allait me virer une fois de plus, Agatha allait divorcer, je pense que le milieu du BTP le savait très bien, ils savaient qu’ainsi mon couple était intenable, c’est pour cela que j’écris « une vie en Chiraquie » parce que sur liste rouge, ma femme, comme moi-mème, notre couple est à la dérive. Comme Chirac s’était servi de ses réseaux internationaux, je devais être sur liste rouge aussi en Hollande, comme Agatha avait un sale caractère et était trop performante pour ses collègues néerlandais elle allait aussi finir sur liste rouge.
Je n’avais pas de choix, la Hollande était morte pour moi, Brink Groep plus Ballast Nedam c’était trop. La France était morte pour moi, mais c’était mon pays, alors je cherchais refuge dans mon pays, je capturais la voiture de fonction, j’avais les 25000 francs de Ho Do Anh, j’allais me refugier chez mon père et je reçus un acceuil de merde. Mes parents savent que je suis sous écoute, je leur ai raconté, en plus ils me connaissent, ils savent que je ne mens jamais ou que cela est difficile pour moi, alors ils savent que je suis dans le caca, pour dire un euphémisme, mais pour eux c’est leur échec, ils m’ont conditionné et je suis fait pour etre ingénieur des mines, pour eux ma maladie est un échec, je suis un raté. Il préfère quand il y a des étrangers présentés Francois Michelet qui est un alcolique parce que cela fait du bien de présenter un Michelet, mème raté, ils ne veulent pas me présenter a des inconnus. Pour eux, ma mise sous écoute, et ma mise sur liste rouge est ma honte. Quand je votais Arlette Laguillier, mes parents voulaient que je change d’avis, ils sont contre tout ce qui est politiquement incorrect, hors je suis politiquement incorrect, ils sont contre moi, ils ne m’aiment pas au delà de la machine qu’ils ont voulu créer, je ne suis pas cette machine, j’étais fait pour la recherche pas pour les ambitions imbéciles de mon père, ils m’ont programmé, et ils ont de tout temps aggravé profondemment mon état maladif.
Mon père est à peine sympathique avec moi, vous avez compris, que mon père n’était pas cet être aimant que j’aurais pu espérer. Si ma mère avait eu le courage de quitter mon père peut être aurais je fais la connaissance d’un type bien. Il devait s’occuper de moi, payer pour le manger, c’était insupportable de se comporter comme un père pour lui. J’étais très fatigué, en fait avec le recul j’étais très probablement atteint de maniacho dépressivité, si je reflechis ma vie en fait je suis atteint de maniacho dépressivité depuis très longtemps, ce qui a été pris chez moi pour de la faineantise est en partie complètement lié à cette maladie. Très jeune, je n’avais pas l’énergie de travailler très tard, alors pour donner le change je me faisais passer pour un branleur, en fait je n’ai pas la capacité de travailler beaucoup, je fatigue très vite et j’ai un manque total de motivation.
J’etais donc tres fatigué, les disputes avec Agatha me minait de l’interieur, d’ailleurs c’est pour cela qu’Agatha se dispute avec moi, parce qu’ainsi elle peut gagner, ce qu’elle ne comprend pas c’est qu’à force de gagner on finit par perdre, Agatha est une perdante de la vie, moi aussi, nous nous sommes trouvés.
Donc, j’etais contraint de parcourir la France avec ma voiture néerlandaise volée à Ballast Nedam, pour trouver un boulot. Très vite je compris que Bouygues m’avait fait une réputation, donc inutile d’espérer une carriere dans ce milieu, ma réputation était faite. Mais le milieu me laissait toujours en vie, jusqu'à ce qu’ils finissent par me tuer définitvement. Par miracle, je finissais par trouver un poste en Martinique, je faisais un rendez vous avec Mr Bontoux, et il s’appercevait de ma nullité en géographie, mais contre son avis les autres de Nord France me choisirent comme candidat.
J’allais travailler pour ce qu’il restait de Nord France, j’allais travailler pour l’ennemi, cette boite était infestée par la franc maconnerie, le directeur technique était franc macon, Pain était franc macon, les Bontoux étaient franc macon. Les Franc maçons ont toujours aimé que je crus que c’était le coup de la franc maçonnerie, le big brother, alors que big Brother c’était Chirac cela ne pouvait pas être autrement ; ils ont aimé parce qu’ils font partie du réseau, et c’était un coup de main au pouvoir de me faire croire que le coup venait d’eux.
J’allais donc faire carrière chez les ennemis avec mes idées sur le business development, mais le business development on allait le laisser à un nul, très sympathique d’ailleurs Frédérique Bontoux, le fils.
La stratégie de Bontoux de travailler avec sa vieille garde c’était à cause de son fils, la vieille garde était nullel, ils avaient tous trop travaillé, mais ils n’étaient pas dangereux pour Bontoux. Comme il devait y avoir des guerres chez les franc maçons, certain me choisirent pour trouer le dispositif Bontoux. En plus ils avaient tous besoin d’un con qui fasse croire que Nord France revenait, car en fait Nord France était morte. Comme Ballast Nedam International, j’allais travailler chez des morts, qui avaient encore des réseaux, mais aucune possibilité et énergie pour les faire fonctionner, comme quoi les réseaux en business, comme en politique cela ne sert à rien, il faut être porteur d’un vent, avoir rencontré Dieu est un vent qui vous porte à faire de la politique et du business et vous y arrivez malgré le manque de qualité humaine, parce que vous avez Dieu. Vous arrivez mème sans talent à écrire un livre « une vie en Chiraquie » et bien d’autres sûrement, cette énergie bien des hommes ont voulu la briser. Bien des hommes parce que ce Dieu qui s’est manifesté à moi ne fait partie d’aucun clergé et n’appartient à aucun réseau.
Mais pour l’heure nous sommes à Perpezac leblanc, nous tentons de faire bonne mesure chez mes parents, nous nous sommes reconciliés avec Agatha et Adrian le petit va faire la connaissance de Keaven, c’est la dernière fois que l’on le verra. Keaven a failli tuer Adrian, car il jouait prêt des chiens qu’il a fait courrir, Adrian a failli être emporté par la laisse. Je gueullais sur Keaven et je me rappelais le mot de Claude Michelet quand nous avions kidnaper Jean Marc, je ne veux pas monter les voire avait il dit, j’ai gueuller à Keaven, « je ne veux pas te voire, casse toi ». Il faut dire que ce petit enculé m’a foutu la peure de ma vie.
Enfin, nous sommes remontés en Hollande avec petit Adrian, il fallait bien qu’Agatha travaille. Pour Agatha je devais rendre ma voiture à Ballast Nedam, pour eux j’étais malade, mais je ne voulais pas rendre cette voiture, je voulais faire un scandale, je n’aimais pas Big Brother. C’est sûr le scandale les aurait éclaboussé. En plus mes propos sur big brother sont inaudibles dans notre société, alors il faut me faire passer pour fou. Bipolarité n’est pas folie, mais ils sont parvenus à le faire croire.
Je gardais petit Adrian et des gens de Ballast Nedam IMP sont rentrés sur mon parking par effraction et ont piqué la voiture de fonction qui était à eux, mais c’était illegale parce que la seule facon de la revoire c’était de me faire un procès, et ce procès personne ne veut me le faire. C’est pour cela aussi que j’écris « une vie en Chiraquie » pour faire un procès improbable contre la société. Je rabache, je suis bipolaire, le rabachage fait partie de ma folie douce.
Je faisais une crise de nerf, je me roulais par terre dans l’ascenseur parce qu’Agatha était du coté des gens de Ballast Nedam. Pris par mes nerfs, je la mis par terre et tellement ennervé, je me mis à lui serrer le coup, comme par bonheur je pris conscience de ce que je faisais je desserrais les mains. Agatha s’occuperait de mon cas avec Ballast Nedam et obtiendrait la fin du paiement de mon salaire.
Il faut dire pour expliquer mes nerfs qu’Agatha avait obtenu de moi que nous déménagions et nous avions emprunté, cet emprunt créait chez moi des soucis d’argent, ces soucis d’argent m’ont poursuivi toute ma vie avec Agatha. En fait, si je me fache avec Agatha, c’est que parce que les décisions d’Agatha ne fonctionnent pas financièrement. La réalite c’est que nous sommes dans la merde, quand on est dans la merde il faut d’abord trouver des solutions pour en sortir, mais Agatha n’est pas assez adulte pour voire la vérité en face. En fait, elle devrait divorcer, j’avais trop de problème, elle n’a fait que les aggraver, elle n’a pas les pieds sur terre. Ou plutôt, c’est moi qui ne les ai pas, je suis dans ce big brother, dans cette révolution impossible, peut être que Chirac avait raison, il faut aimer ses ennemis parce qu’ils n’ont pas tout à fait tort.
Je rentrais en France, j’avais failli tuer ma femme, mais nous n’étions pas faché plus que cela, ou du moins cela n’etais pas ouvert. Mais dans ma tète, je partais en Martinique pour ne plus jamais revoir Agatha.
Chapitre 12 : La Martinique
« Pour survivre, je trouve un job en Martinique, mon patron est un ancien légionnaire franc-maçon, je suis poursuivi par mes écoutes, 6 mois de grande liberté en Martinique, je suis encore viré comme un malpropre, je vais craquer à nouveau, l’auto psychanalyse que je pratique me fait basculer dans la folie, je me parle à moi-même, mais ils écoutent, cela me rend hystérique »
Le père Bontoux était un ancien legionnaire, très à droite, il était méchant pas sans intelligence, mais malgré sa méchanceté, il avait un fils qui se laissait vivre alors cela ne convenait pas au père Bontoux, alors de force il lui fit faire une carrière, plutôt que de lui acheter une boutique à Nice ce qui aurait rendu totalement heureux Frédérique. Mais peut être n’en avait il pas les moyens, alors il voulait faire de Frederique un Business developpeur. Il avait pour cela des réseaux franc maçons dans la Martinique, c’est pour cela que nous allons nous trouver avec ce beau monde en Martinique.
Je commençais par Paris et je m’apercevais que j’etais tombé dans un reseau franc maçon du directeur technique, je le disais dans ma voiture, cela le fit rire, je me dis alors que ma voiture était sous écoute. En fait, en Martinique je vais me rendre fou en parlant dans ma voiture. Je parle dans ma voiture, je m’autopsychanalyse, mais cela ne marche pas parce que les franc maçons écoutent et alors ils savent tous mes plans, je suis en prison, une prison mentale qui s’appelle la folie. C’est pour cela que je vais craquer.
Je commence donc par Paris où j’y passe quinze jours. Si les gens de Nord France n’avait pas été des petits salopards, j’aurais passé 6 mois à Paris afin de m’acclimater aux personnes, aux prix de la Martinique et aux méthodes de chiffrage, j’aurais en mème temps pris les consignes du directeur technique franc maçon. Mais on n’était pas là pour être professionnelle, on était là pour faire tourner le con en Bourrique dans la Martinique.
A Paris, se passa l’évènement qui marqua mon existence, j’etais dans la maniacho dépressivité, cet évènement me fit croire que nous étions dans un cauchemard. Les amis de Ben Laden, le 9 septembre 2001, firent exploser deux tours à New York. Ce jour là cela fut comme un cauchemard. La premiere fois que la nouvelle s’est propagé, nous disions qu’il s’agissait d’un avion de tourisme, nous ne voulions déjà pas croire à l’horreur des choses. Puis les images nous parvinrent, nous étions bien dans un monde en guerre, des hommes haissaient l’occident, nous aurions du nous poser la question pourquoi l’occident est hai par des hommes remarquables, parce que piloter un avion c’est remarquable, pourquoi l’occident est hai ? Mais nous n’avons pas voulu répondre à cette question, les générations futures y repondront, nous avons voulu répondre à la Haine par la Haine, parce que en terme de propagande c’est tellement plus simple.
Nord France International était dirigé par un anglais de Bovis Lend Lease, la societe d’ingénierie qui s’est occupé de Dysney Land Paris et la société de l’anglais qui me disait que j’avais aucune chance en Hollande. Je suppose que mon patron anglais ne savait pas ce qu’était une société de BTP, pour lui s’était des fournisseurs, et il ne savait pas les magouilles de Bontoux dans les DOM Tom. En fait, Bontoux n’a rien fait. La politique commerciale de Bontoux en Martinique était de commencer la structure sur un chantier en montage d’affaire à l’ avenir incertain. A l’heure qu’il est l’operation n’a toujours pas vu le jour. Autant dire que nous étions en plein rêve.
En fait, sa politique était d’être démagogue avec une vieille garde qui n’avait plus sa place dans la société, les grands projets d’ouvrage fonctionnelle n’était pas l’avenir de la région, ils étaient incompetents pour le boulot qui nous attendait, moi aussi à la reflexion.
La vraie strategie aurait été la suivante si on voulait garder les compétences de la vieille garde. Fonctionner comme un bureau d’ingenierie, avec les vieux comme project manager. Ouvrir la Martinique sous un nom nouveau, S’allier avec Gibbon qui était le plus gros entrepreneur local et qui venait de faire faillite. Lui savait mener les hommes sur le terrain. Ainsi nous aurions pu atteindre très rapidement les 200 millions de franc de CA. Mais pour cela, Bontoux était inutile et ses réseaux franc maçons étaient moins utiles. En plus Bontoux était de la vieille ecole, il était con, il voulait organiser le marché en organisant des ententes, c’était de la vrai connerie, nous étions rien sur le marché et nous avons organisé des ententes entre le groupe Vinci, alors que notre intéret était qu’ils s’entredéchirent, et en plus comme nous n’existions pas pourquoi organiser une entente quand on n’a rien à échanger. Mais Bontoux était franc maçon et ce qu’un franc maçon sait faire dans le BTP, c’est organiser des ententes illégales, c’est la seule chose que la Franc maçonnerie sait faire dans le metier.
Je suis d’abord alle en Guyanne, je ne me suis pas entendu avec le responsable du BE parce qu’il voulait la Martinique. Je ne fis pas grand-chose pour l’aider. Je visitais en coup de vent la Guyanne, personne ne m’aida à faire le guide. Néanmoins je vis un depart de la fusee Ariane à Kourou.
J’étais amoureux des serveuses de restaurant, mais je n’osais pas leur parler, dommage peut être que la sexualité avec ces belles négresses aurait changé le cours de ma vie, mais mème les négresses ont besoin que l’on leur parle. En fait, je suis amoureux de la societe de BTP Skanska parce que je suis admiratif de leur professionnalisme de leur lutte contre la corruption qu’il ne respecte pas comme tout bon calviniste, mais surtout j’aurais aimé une fois dans ma vie être dragué par une suédoise. Etre dragué par une femme manque à ma vie. Isabelle Veillet n’est pas allée au bout de ses clins d’œil, elle n’a pas osé, si bien que je n’ai pas connu cela.
Je ne suis pas aimé dans le monde du BTP parce que c’est un monde d’homme et les hommes aiment les femmes, moi je les aime, comme les autres, mais elles me font vraiment peur.
J’ai un slogan pour cela « avant trente ans j’avais peur des femmes après j’ai compris pourquoi. »
Enfin, je debarquais en Guadeloupe, là bas je fus acceuilli par Vu et par son technicien Indien. Vu était un vietnamien qui avait connu Do, il me montra sa méthode de chiffrage qui consistait à ne pas utiliser les temps unitaires mais à recalculer en comptant les hommes ce qui restaient somme toute un calcul très théorique, mais la direction ne veut pas que nous allions plus loin que la théorie. C’est dommage, j’aurais du faire des études avec Vu, ainsi j’aurais pu m’aguerrir à ses techniques de chiffrage et apprendre de lui. Pareil en Gualdeloupe, je n’avais personne pour me faire le guide. J’allais à la dérive en visitant la Guadeloupe. Tout ceci était enchanteresse. Malgré les problèmes de racismes de ces sociétés, ou les problèmes de violence, il faut dire qu’ils habitent au Paradis.
Puis je debarquais en Martinique où je fis la connaissance de Frederique Bontoux, nous fimes la tournée des grand ducs et nous fimes connaissance des gens du réseau de Bontoux. Comme toujours avec les français rien de concret ne se passait. Je tombais sous le charme du fils de la poetesse, Ralph Montplaisir. C’est un riche politique rêveur, nous aurions pu rêver ensemble l’occasion ne s’en est jamais présenté.
Ce que je sais du jeu de Bontoux, ce sont deux appartés. Il dit a Mme Depince, la DRH, je ne suis peut être pas humaniste comme Worme, mais moi, je ne bats pas ma femme. Pour faire du business je ne vais pas me branler dans les Wc des aeroports ou dans ma chambre d’Hotel. Comme je me masturbais cela me fis dire que la franc maconnerie était partout.
Je travaillais en Martinique avec Ion Cindea, un roumain qui avait appris avec Sassine un franc macon Lybannais qui était mon BE mais qui était la pour me surveiller. Toute la Martinique était la pour me surveiller. J’ai rencontré un tas de gens sympathique que je ne nommerais pas ici il faudrait revenir dans mes notes. En 5 mois que m’a laissé Bontoux, j’ai fait la prise de commande du niveau de la concurrence. Nous étions reparti grace à moi en Martinique, mais c’était moi qui avait fait l’exploit, alors que je souffrais de maniacho dépressivité et pas le fils Bontoux, je pense que les pervers de la Martinique ont voulu faire une leçon au pervers qu’était Bontoux. Il me vira et au bout de six mois, il fut virer. Je ne crois pas que Frederique Bontoux soit fait pour ce métier, je ne crois pas que cela soit un beau cadeau que l’on fasse à Frédérique, lui aussi on lui vole sa vie, un jour il faudra qu’il tue son père.
La première affaire sur laquelle, je travaillais fut l’extension de la Galleria, La Galleria étant le plus grand centre commerciale de la Martinique. La Galleria appartient au Parfaite qui ont du sang noir dans les veines c’est pour cela qu’ils sont moins cons que les békés, l’élite blanche de la Martinique. Les Békés pratiques la consanguinité, c’est une sorte d’aristocratie decadente qui fait faire des conneries à la France, la France devrait abandonner la Martinique.
La Martinique devrait être une plaque tournante pour la France sur le continent américain. Les hautes technologies devraient être developpées en Martinique, la Martinique devrait devenir un paradis fiscal, mais il ne devrait avoir que des alliances entre la France et la Martinique, c’est dans ce sens que nous devrions fonctionner. Ne pas lacher la Martinique, mais avec les hautes technologies faire un énorme cadeau à la Martinique et la rendre independante, voila ce que nous devrions faire. Mais la France joue petit sur l’echiquier du monde et n’a pas de grand dessin alors la France a le RMI qu’elle offre à la Martinique.
La Martinique devrait être independante et rester riche, mais devenir independante, pour pouvoir mener une politique pancarabienne et panaméricaine.
Les Parfaite étaient bien moins cons que les békés et beaucoup plus laborieux. Je ne les connaissais pas vraiment, je crois que je crée avec mon mauvais caractère un vent de sympathie pour NOFRAM la filiale martiniquaise de Nord France. Les Parfaites avaient en matière de batiment un fournisseur attitrait GTM, j’ai donc joué les éléphants dans un magasin de porcelaine.
Je rencontrais l’architecte polonais Crapovischi. Il était à sa place dans la société, il savait que l’on attendait de lui qu’il se comporte comme un larbin et c’est ce qu’il faisait, parce qe Crapo était un personnage social. Crapo m’invita à manger parce qu’il est social et voulait mieux me connaitre, je refusais parce que j’avais ma mère, en fait je fuis le monde, plus que Big Brother c’est cette fuite du monde qui me fait peur qui a été la cause que les portes se sont fermés devant moi. Je me rappelle à Lannion quand j’étais jeune élève ingénieur, une chercheuse m’avait proposé de venir manger chez elle, j’avais refusé puis j’avais regretté mon geste, en fait je me sens agressé, c’est pour cela que je n’ai pas su batir un réseau capable de combattre le réseau de big brother. En fait, je suis un vrai introverti je rencontre les gens et j’aime cela mais que dans un contexte professionnelle, les rencontrer dans un contexte privée me fait peur. Si je n’avais pas cette peur des femmes et cette peur de la vie sociale, Big brother n’aurait pas fonctionné avec moi. Mais cela a marché à fond. Crapo était très intéressant et la Galleria était très interessante parce que les projets d’extensions ne s’arrétaient pas là. Les Parfaites avaient des projets d’extension de leur parking. Crapo était l’ami, dans la vie il n’y a pas d’ami, mais était l’ami de Ion Cindea. Crapo voulait que je me conforme à une certaine hiérarchie sociale, hors je conformerais à une hiérarchie sociale quand on me proclamera roi de France. Je crois que je suis fou.
Dans l’arréopage de l’affaire de la Galliera, il y avait un ingénieur conseil qui était Monsieur l’ingénieur de la Martinique. Crapo me fit recevoir par Clerempuy. Clerempuy avit vendu sa boite à GTM, c’est lui qui faisait que GTM était chez eux à la Galliera.
Comme je n’avais aucun sens de la hiérarchie sociale, je cassais comme un éléphant les petites affaires de Clerempuy. En fait, je commençais à faire un prix à 9 millions GTM était à 11 millions. Comme cela ne pouvait pas rester en l’état vient des questions de la maitrise d’œuvre qui était pour Clerempuy donc pour GTM, je remis mon prix à 10,3 millions, GTM était juste en dessous de nous. Les Parfaite nous demandèrent de revoir notre prix. Je fis repondre par Bontoux, qui cette fois m’ecouta, que nous n’étions pas des marchands de tapis que nous avions fait un prix au plus juste et que nous ne jouons pas ce jeu. Nous n’allons pas jouer le role du lièvre, du petit qui fait baisser le prix du gros.
Les Parfaite furent surpris de la réponse et voulurent nous prouver qu’ils etaient grand prince, ils firent le chèque, ils nous désignèrent.
En fait, tout le monde en Martinique pour rire aurait voulu faire des affaires avec le puceau fou, un puceau en Martinique c’était cocasse.
Plus tard un ami de Bontoux m’invita au restaurant et il me dit la chose suivante « vous avez quand mème des ambitons. » je lui repondis que non, je n’ai pas menti, j’ai des rêves cela n’est pas la mème chose.
L’ami de Bontoux qui travaillait pour une boite de transport me pistonna auprès de Bontoux pour que je m’installe au Diamant, nous pumes avec mon epouse admirait la pointe du Diamant.
Ma mère vint me voire en Martinique, la maladie lui empèche de venir en Hollande, mais lui tolère son excursion en Martinique. Nous visitames ensemble la Martinique et allames au restaurant, c’était tout de mème agreable d’avoir sa mère.
Puis agatha débarqua jalouse de ma mère, elle me fit chier. Quand elle arriva, je l’installais au Diamant, ce n’était pas assez bien, et puis les gens étaient racistes. Nous fimes l’amour comme des chiens, alors le jeune Bontoux au boulot dit vous êtes des chiens, je crus vraiment qu’il y avait des micros.
Nous allames avec NOFRAM en Guadeloupe féter avec Nord France la nouvelle année. Les guadeloupéen appelaient ma femme demi-doudou, une demi-femme. Frederique Bontoux trouvait que je stressais trop et que ma femme exagerait, il comprit vite le couple infernale, ma femme me fait stresser avec des demandes extravagantes, il n’y en a jamais assez alors je cours le monde comme un fou.
Ensuite, nous visitames Sainte Lucie, Sainte Lucie est aussi jolie que la Martinique, mais les gens montrent moins leur racisme, c’est plus sympathique, Agatha a beaucoup aimé. En voyant, Sainte Lucie, on comprend que la France doit rendre la Martinique à la Caraïbe.
Agatha resta un mois en Martinique, ce fus un tres beau noël, mais Agatha fourbissait ses armes pour me harceler avec ma mère, avec l’argent, elle voyait très bien que j’étais libre et cela est intolérable pour Agatha, je dois être l’esclave de ma famille.
Le propriétaire du Diamant était un jeune noir, il m’apprit que la société était bouchée et que les places étaient chères. Nous discutames souvent ensemble, avec des amis ils voulaient monter une affaire.
La deuxième affaire sur lequel je travaillais était le parc Aquatique de la Martinique. Ma cliente, Mme Huebervick, avait beaucoup d’espoir en nous, seulement je n’étais pas armé pour lui faire un prix tout corps d’etat, car le réseau de sous traitants, c’était les amis de Bontoux, j’etais coincé. Et Bontoux n’avait aucune envie d’aider une négropolitaine haïe des békés parce que Bontoux était du coté des békés. Je ne pouvais pas l’aider beaucoup. La seule chose que je fis c’est de tomber amoureux de ma cliente qui en plus était maréie. Un matin tôt nous nous rencontrames, grace à Ion Cindea nous branchames un géotechnicien dans l’affaire. A la fin, nous discutames avec Mme Hubervick, elle avait les fesses sur ma voiture, j’aurais dû la prendre, mais je n’osais pas.
Je me dis alors, que partout où j’irais cela serait comme avec Isabelle Veillet, j’aimerais des femmes innaccessibles, amoureuse de leur père, face à cette image du père moi qui n’ose pas, je suis un petit garcon, je suis un petit garcon face à ces femmes et je me comporte comme tel, un jour peut être je deviendrais adulte. Avant de partir de la Martinique, je dis à Mme Hubervik que j’étais amoureus d’elle, j’étais malade, elle me repondit qu’elle n’avait pas le temps de s’occuper d’un homme. Dommage ?
Je rencontrais son cousin terrassier de la Guadeloupe qui m’invita au restaurant, j’acceptais avec tout le monde sauf avec Crapo, en fait je regrette Crapo. Ce Guadeloupéen me dit qu’il avait quitté sa femme pour une autre et qu’il était revenu vers sa femme après avoir fait des enfants aux deux. Il me dit que je ne comprennais rien à la vie. C’est peut être ce jour que je compris que j’avais deux femmes et qu’un jour je devais revenir vers la première vers Isabelle.
La troisième opération fut une opération de logement bois d’Inde avec un architecte ami de Bontoux, je fis faire l’étude en Guyanne, je commencais a être sérieusement malade. Cet architecte avait une fille qui était l’élément le plus important, mis à part qu’il était franc maçon, il me traitait de stalinien, en dehors de la franc maçonnerie, c’est la dictature vous comprennez, eux ceux sont la civilisation, celui qui est sous écoute c’est moi.
Puis, je m’autopsychanilisais dans ma voiture, c’est là que j’eux un fantasme, j’étais devant un tribunal au purgatoire et il n’y avait que des femmes et ces femmes auraient toute put devenir mienne et la présidente de ce tribunal s’appelait Isabelle Veillet, alors je les questionnais ces femmes, je leur demendais « est-ce que vous auriez voulu avec moi ? » Elle repondirent toute « oui, Erik ! » J’etais condamné par ces mots. C’estàa ce moment donc six ans après que je compris qu’Isabelle Veillet m’avait dit « je suis sur le point de succomber », mais qu’en fait je ne savais pas ce qui se cachait derriere cela, c’est en Martinique dans ma folie montante que je suis déjà revenu vers Isabelle.
Agatha ne resta pas en reste, Bontoux me faisait le coup de la deuxième période d’essai, c’est là qu’Agatha décida de me harceler au téléphone pour des questions d’argent, je passais des heures au téléphone avec elle, le clan Bontoux était aux anges, cela finit par me rendre complètement malade.
J’envoyais un prix vers Mme Hubervik sans l’accord de ma hiérarchie, Bontoux en eut marre, puis je ne devais en tous les cas pas rester, alors il me vira.
Je faisais des crises de delire, j’etais au bar, et je comprenais la conversation en Italien alors que je ne parle pas l’italien, je regardais les gens méchament, je me prenais pour un tueur qui sauvait sa peau, c’est la que je recontrais un developpeur franc maçon qui avait coulé Gibbon celui avec qui je me serais bien associé. Il me dit, il faut baisser son froc, cela dévait être un plaisir pour les franc maçons de me faire passer ce message. Je baissais mon froc, je dis que j’avais un fils, Bontoux me repondit qu’il le savait, Dieu s’en souviendra !
En fait, à la fin de ma mission chez Nord France, je commençais à faire des crises de délires, Big Brother m’avait abattu, mes collègues m’avaient dit qu’il était normal pour un employeur de mettre son employé sous écoute, alors comme c’est normal la guerre continue, moi, je dis que c’est peut être légal, mais rendre fou un homme c’est un crime et ce crime devrait être jugé un jour.
Je tenais des propos incohérent, je croyais que j’allais rester en Martinique, j’avais travaillé pour l’hopital psychiatrique du Lamentin, je croyais que mon destin était de rester à la Martinique, je me fis un délire comme quoi je n’allais jamais prendre l’avion. J’entendais des voix les békés me faisaient les leçons de politesse, car en effet je n’avais pas été très polie ces cinq mois passés en Martinique.
Avant de partir, je montais sur un promontoir, et je criais en face du rocher du Diamant, je n’ai laissé que du vent, je ne laisse que ce vent, je parlais du son de ma voix.
C’est un effet très desagréable, que de se voire partir en délire, mais en fait cela n’est rien plus qu’une sorte de soulocratie, la bipolarité c’est une soulocratie qui ne s’arrète pas.
Je déambulais dans Fort de France, je m’arretais à un bar et je vis deux mecs, je n’étais pas en forme, alors ces deux mecs me dirent tu vois c’est ce qu’il arrive quand on bat sa femme. Le thème de la Martinique pour la franc maçonnerie, c’était de me punir d’avoir battu ma femme. Ce qu’il y a d’extraordinaire avec Big Brother, c’est que globalement c’est Big Brother qui est corrompu, mais Big Brother veut me mettre dans ma tète que le pourri c’est moi, c’est pour cela que je vais faire les délires qui vont suivre.
Finallement grace à Frédérique Bontoux, je réussis à prendre l’avion. Avant j’ai une petite annecdote, en arrivant en voiture, je vis le flic avec un poste de radio, étrange qu’est-ce qu’il faisait ce flic avec ce poste de radio à faire la circulation. Hors moi aussi j’allais au boulot avec un poste de radio, je crois que Big Brother a joué un jeu à la con avec ma folie.
A l’aeroport du Lamentin, je rencontrais un fou qui avait du mal à embarquer, alors je crus que c’était le jeu à l’hopital du Lamentin, on jouait à faire croire au fou qu’ils peuvent sortir et alors ils errent dans le Lamentin sans pouvoir s’envoler. Mes délires sont parfois des histoires complexes comme celle là ou comme le délire du tribunal dont Isabelle Veillet est la présidente, mais je vois cela comme dans un flash, le délire maniachal est une source d’inspiration.
Pendant tout le voyage, je faisais des délires, les békés m’empechaient de me lever de ma place.
Finallement j’arrivais a Roisy. La j’eu un délire que je devais être repris par Madani Sow chez Screg Batiment que c’était ma prison être études de prix à vie, et études de prix la où Big Brother avait commencé, c’était ma punition pour m’être mal comporté avec mes patrons Enk Van Uitert et Bontoux.
En tous les cas folie ou pas franc maçonnerie ou autre réseau, j’appris en Martinique et grace à Ballast Nedam que Big Brother avait depassé les fronitières que Big brother jouait aussi bien en Hollande qu’en Martinique. Ils savaient que l’ennemi du système était devenu fou paranoiaque et qu’il était facile de contrer cet ennemi. Si ce fou écris un livre, si ce fou se mets à raconter sa « vie en Chiraquie » on aura qu’à dire qu’il est fou. Voilà comment on élimine les gens qui pensent mal et qui ne pensent pas comme nous, voila comment on procède dans la Chiraquie de Jacques, dans la Chiraquie qu’a herité Nicolas Sarkozy. Le probleme c’est que 99 % des gens sont pour la corruption et sont pour la coercision en cas de malaise, 99% des gens vivent de l’argent de la corruption, ainsi ils ont anesthesié le pays, il n’y a pas d’esprit de lutte.
La lutte n’est pas morale, elle est de deux critères. La première, c’est que la corruption nous alienira, et nous conduira au gouffre, tout ceci finira par une dictature parce que la démocratie cela ne fonctionne pas, cela finit toujours en jus de boudin. La deuxième raison c’est que la lutte contre la corruption, une lutte intelligente, c'est-à-dire non moralisatrice, devrait apporter un nouveau dynamisme à l’economie du pays. La corruption fait dormir le vieux pays, alors le pays dort, tout ceci n’est pas très efficace. Si Dieu est apparu à moi, c’est pour que je reveille les consciences sur cette terre ou dans un futur enigmatique.
Chapitre 13 : Deuxième rencontre avec Dieu
« Je craque à nouveau, je fais faire un moins dans un hôpital psychiatrique, je suis poursuivi par des agents de la DGST, ils me font peur, cela marche. Je crois que la terre entière veut ma perte, je fuis dans les bois, je suis poursuivis, je le crois du moins alors je prie Dieu : « en toute sincérité, je ne peux pas te prier car je ne sais pas si tu existes, mais fais un geste pour me sauver. » Alors une voix me dis « Tu le sais ! »… J’étais en fugue dans les bois, alors je me calme et je rentre chez mon père ou je résidais. »
J’arrive donc dans le bureau de mon père en état de folie. Nadine et Harry m’acceuille, mais j’interprète mal les propos, ils me parlent de mes vacances en Martinique, je crois qu’ils se moquent de moi, je crois qu’ils sont tous dans le coup, cette croyance va connaitre un pic dans les délires que je vais faire.
Je ne suis pas en l’état de faire quoi que ce soit, si mon père était un homme normal, et précautioneux, il m’aurait envoyé tout de suite à l’hopital car je n’allais pas du tout bien, car mes propos étaient étrange, il m’a laissé en état de folie, il voulait que j’aille m’inscrire au chomage, il voulait que je continue ma vie sociale, ils avaient programmé un homme, mais cette machine ne fonctionnait pas bien, alors quand les rêves ne fonctionnent pas on se masque les yeux, on ne veut pas voire la vérite en face. En fait, son fils dans son pic maniacho dépressivité faisait une crise de Scyzophrénie.
J’ai deux anecdotes troublantes à ce propos : J’avais des moments de conscience, si bien que je peux me rappeller d’un certain nombre de chose ; j’étais revenu à Mormant où mon père avait une petite maison, je me balladais dans les environs quand je vis un homme qui sulftais un champ, je lui demandais ce qu’il faisait de manière gauche car dans mon trouble mental je n’etais pas sûr de moi. Alors il finit la phrase« … c’est un produit pour la canne à sucre de Martinique », je pensais automatiquement qu’ils étaient partout et qu’il me surveillait dans la maison de mon père. La deuxième anecdote, c’est que j’avais fugué, je croyais que je ne méritais pas mon pain, je croyais que mon destin c’était de faire la manche, j’essayais de résoudre mathématiquement ce qui se passait dans ma tète en fait, j’avais besoin d’aide, et d’aide des docteurs, mais mon père roupillait. Je faisais du stop, je voulais rejoindre mon copain Do, à Paris. Ceux-ci se présentèrent comme des Lybiens, ils avaient une mine patibulaire. La conversation qu’ils avaient me fit peur, alors 5 kilometres plus loin dans un village a coté de Mormant, je demandais à descendre. Ils sont descendus avec moi et de manière énigmatique, ils dirent « si tu emmerdes le systeme, nous reviendrons faire ton compte », alors j’ai eu peur et j’ai continue ma fugue. La Vérité c’est que je vis dans cette terreur.
Ces deux anecdotes me font penser que la DST ne m’avait pas laissé seul dans mon pétage de plomb, ils avaient des hommes de main, payé pour me foutre les boules, pour me faire crever de peur. C’est incroyable qu’un petit homme comme moi est suscité tant de haine d’un système à la derive, voué à la décadence.
Je cherchais donc mathématiquement ce qui se passer dans mon cerveau, j’avais très peur, c’était la mort qui venait. Je regardais la télé et la télé semblait parler de moi. Tout ce qui se passait a la télé et je ne vous le raconte pas ou plutôt je résume, parler de moi. On me critiquait, on me disait cela fait longtemps que l’on te suit et tu n’es qu’un branleur.
Je regardais a la télé, un reportage sur des plongeurs et la maladie des éponges, alors je pensais que mon cerveau était une éponge malade, je pensais qu’il me parlait à moi pour le faire comprendre. Je lisais un livre sur le cancer, je pensais automatiquement que c’était un message ce livre pour me faire comprendre que j’avais le cancer du cerveau. Quand je fermais les yeux c’était noir, alors je pensais que je ne faisais aucun rêve en couleur et que j’étais malade que je n’étais pas normal, la vie pour moi était en noir et blanc, j’étais un être triste. Cela n’est pas faux, tout ce que ces délires m’ont dit n’est pas faux du tout.
Puis un matin j’eux la révélation, mes parents me le cachait par amour, mais j’étais une femme, j’étais une femme, je n’étais pas un homme, c’est pour cela que j’avais tant de difficulté avec les hommes du BTP, j’allais faire cette révélation à mon père, mais je m’autosensure.
Comme je vous disais la télé me parlait, la radio me parlait, et elle finit par m’envoyer une très mauvaise nouvelle. Ils en avaient eu marre de moi, les hommes, alors ils avaient decidé d’organiser mes obscèques nationales. C’était opressant, tout ce qui se passait à la radio c’était pour m’annoncer ces obsèques. J’etais opressé, c’est pour cela que j’ai fugué, l’humanite me rejetait, il ne restait qu’une seule solution c’était de devenir mendiant, j’allais mendier dans Mormant. Un homme me dit un truc fantastique que je devrais utiliser un jour, il me dit « c’est la première fois que l’on me fait ce coup, voilà un euro. » Voilà comment j’ai gagné un euro, en état de folie, en faisant une chose insollite. Puis je rencontrais les Lybiens. Je continuais à fuguer, je vis dans le loin dans un de ces grand champs de la Brie, un arbre dénudé, je me demandais si le destin ne me forcait pas à aller me pendre, une des explications à tout ceci était que je suis le responsable du suicide de David Michelet, c’est moi qui l’ai poussé au suicide parce que je suis une ordure, c’est récurrent l’accusassion du suicide de David. Quand je suis fou, c’est moi qui suis le responsable de sa mort, quand je suis lucide, je sais que c’est sa maladie et un milieu familial à l’exception de Claude et Paul peut aimant. Je cherchais mathématiquement durant cette fugue à échapper a ce délire qui envahisait mon cerveau. J’interviewais les gens avec des propos mathématiques fous, les gens avaient peur de moi et ne s’ouvrait pas à moi.
Puis j’eux un extraordinaire délire, je pensais que tout ceci était pour la chose suivante : Chirac avait compris le sens de la constitution néerlandaise, basé sur arbitrage royal au limite de l’impuissance, je pensais que Chirac avait compris que l’impuissance pouvait faire des merveilles en Politique. Chirac avait choisi un impuissant pour devenir le roi de France. Je pensais qu’ils allaient m’inviter a la télé, et qu’à la télé, Chirac allait annoncer que j’étais le nouveau roi de France.
Mais cet etat de grace ne dura pas, je croyais que l’on me poursuivait, j’entendais des hélicopteres, c’était pour moi, c’était pour venir me tuer, je fuyais dans les bois, je niquais completement mes grolles, c’était opressant, la fin était proche, alors j’étais desespéré, il n’y avait pas d’autre solution, je priais Dieu : « Dieu, je ne sais si tu existes, alors parce que je ne le sais, en toute sincerité je ne peux te prier, mais si tu peux faire une chose, sauve ma vie. » Alors une voie distincte pas celle de la Schyzophrenie me dit « Tu le sais ! » alors je me calmais et je décidais de rentrer chez mon père. Il faisait nuit, je marchais au bord de la route, les phares des voitures m’eblouissaient, je voyais cela comme une punition, alors je pensais avec effroi que mon père avait changé d’identité que je ne retrouverais pas mes parents, ma sœur et mon père, qu’ils avaient eu honte, d’etre de la famille du branleur, alors ils avaient change d’identité et j’allais me retrouver seul au monde. J’avais de la panique à cette pensée alors j’accelerais le pas. Je rentrais à Mormant, ce n’était que des delires, j’etais rassuré de les revoire. Alors force était de constater que le fils « cheri », que l’ingenieur des mines avaient des crises de folie, alors il fallait faire quelque chose. Je ne suis pas meilleur qu’un de ses rois de France, ma folie n’est pas controlable, mais elle me fait voire des choses que les hommes ne voit pas. Je me demande pourquoi Dieu m’a choisi pour porter ce message, mais il faut que je porte ce message au monde. Les Hommes du clergé me disent « taisez vous, vous allez troubler la foi des autres. » Mais Dieu choisit parfois des êtres faibles pour porter un message plus lourd qu’eux. L’Europe occidental fait la desepérance de Dieu, bien sur les hommes de Dieu avaient abusé, mais l’humanité sans Dieu, s’individualiser, se deshumaniser, alors peut être faut il qu’un être faible dise au reste de l’humanité, sommes nous dans la bonne direction ? Plus j’avance dans la vie et plus je sais que nous ne sommes pas dans la bonne direction, la bétise règne en maitresse sur le monde.
Mon père et ma sœur décidèrent de m’envoyer chez le médecin. Avant j’avais une conversation avec ma mère, je croyais qu’il fallait dire toujours le contraire de ce que je pensais, alors la conversation était folle, il fallait faire quelque chose pour moi. J’allais donc chez ce médecin, ce médecin m’avait donné six mois d’arrêt maladie quand j’étais chez Screg Batiment, filiale de Bouygues. J’étais stressé de voire ce médecin car je pensais qu’il allait me punir d’avoir menti à l’époque. J’aurais dû penser, tu vois que tu es malade, tu vois bien que tu n’avais pas menti, mais je pensais le contraire, je pensais qu’il allait me punir, j’étais effrayé de le voire. J’attendais dans la salle d’attente et j’avais une caméra au dessus de la tète qui mesurait mon degré de sincérité, je me levais, mais je m’appercevais que je n’étais pas sincère parce que je le faisais pour la caméra, je levais le bras mais je n’étais pas sincère parce que je le faisais pour cette caméra, je me rasseillais mais je n’étais pas sincère parce que je le faisais pour cette caméra. Vous avez compris que c’était de la folie, vous avez compris que cette caméra, c’était big brother, vous avez vu le résultat des mises sous écoute, je faisais une vraie crise d’épilepsie.
Puis pour sortir de cette folie, je sortais de la salle d’attente avec ma sœur à mes basques, la caméra disparue automatiquement, alors j’eux un flash, la finitude et l’infinitude, c’est la mème chose, éternité n’est pas forcement synonyme d’immortalité, nous étions au paradis sur terre, la femme que j’aimais Isabelle Veillet était au paradis, et que nous étions les plus heureux du monde que depuis le christ nous savons que nous sommes déjà au paradis. Je pensais que la religion de la femme que j’avais aimée avait vaincu ma religion, je savais que le Dieu des mathématiques, de la sincérité n’existe pas.
Le docteur me vit et on prit la décision sage de m’envoyer à Henry Mondor. J’allais donc à Henry Mondor avec Nadine, la secrétaire de mon père, à chaque croisement, je disais « les lybiens ! les lybiens ! » il m’avait vraiment foutu les boules.
A Henry Mondor j’eux un délire, je croyais que tout ceci était organisé parce que j’étais une enflure, comme vous le savez depuis l’incident de Bruxelles, alors je croyais que les hommes m’avaient dressé ainsi pour que je fasse un combat de catch contre Ben Laden. J’avais été dressé pour tuer Ben Laden. Je repenserai a ce délire et je croirais que Dieu m’avais envoyé une mission, capturé Ben Laden. J’avais un autre délire, Chirac avait des amis dans le monde Arabe ; on m’offrait en présent à un prince arabe pour que je fasse partie de son harem, car j’étais la femme fleur et il m’aimait.
A Henry Mondor, j’aurais pu avoir une aventure amoureuse avec une Isabelle, je suis né vraiment le 22 fevrier, elle était sur le point de divorcer, elle avait quatre enfants et travailler à la foire du trone. Je me fis scanner, mais ils ne trouvèrent aucune liaison dans mon cerveau. Avec peu d’interview ils purent se faire une idée sur ma maladie, c’était un pétage de plomb lié à une bipolarité. Au début, ils me trouvèrent une médication, mais malheureusement cette médication provoqua une hépatite médicamenteuse, je crus vraiment ma fin venue, j’étais par terre dans l’hopital entrain de crever quand Isabelle j’ignore pourquoi vint m’embrasser, je ne sais pas pourquoi cette Isabelle avait eu de l’affection pour moi, mais les délires avaient complètement calmé l’ardeur sexuel si bien que cet amour naissant à l’hopital ne fut jamais conclu, dommage !
Je ne me rappelle pas grand-chose, à l’hopital, j’ai du perdre des choses en matière de capacité intellectuelle. Mes parents sont venus me chercher, cela n’était pas l’amour, mais cette fois-ci ils ne m’ont pas abandonné.
Nous revimes voire Mme Depincé, la personne qui m’avait engagé, elle avait une sœur bipolaire, elle fit une pression psychologique pour que je ne critique pas Bontoux, cela était drôle, elle constata que mes parents avaient un rôle dans ma maladie, mais elle dit qu’elle ne me savait pas aussi malade quand elle m’avait engagé, je pense que les gens, je peux me tromper, sont hypocrites, je pense que Mme Depincé avait suffisament d’information sur moi de chez Bouygues et d’ailleurs, en plus Bontoux connaissait des details sur ma vie privée, Mme Depincé le savait, je pense que Mme Depincé sait beaucoup plus qu’elle voulait nous dire, je pense que mon milieu professionnelle de l’époque et de maintenant, Technip Benelux, savent beaucoup plus sur mon passé qu’ils ne voudront jamais le prétendre.
Je vais me reposer 4 mois chez ma mère à la campagne à Perpezac Le Blanc, je ne donne aucune nouvelle à mon épouse qui a un jeune enfant en bas age et un nouvel appartement, puisqu’Agatha a emmenagé en Fevrier 2002. Mais ma femme me harcèle, je reponds à ce harcelement par la fuite, puis je suis véritablement malade. En Corrèze, je garde que très peu de souvenir, je rencontre le peintre anglais de ma mère et je lui dis que dans les mathématiques ce qu’il me reste c’est l’idée du beau, sa femme me fait des picures, car elle est infirmière, j’envie leur vie à la campagne, si « une vie en Chiraquie » devient un succes et que je peux envisager la vie que je veux, j’irais vivre a la campagne a Mogilno, en Pologne, et je ferais de l’écriture ma vie. Mais je ne suis pas un artiste, je ne suis pas un écrivain, je suis un ingénieur, il me faut assumer mon destin jusqu’au bout, sans idée de fuite.
Mes parents me conseillent de ne plus revoir mon épouse, que c’est desesperé, que l’on ne convaint pas une femme de changer qu’elle m’a rendu malade et qu’elle me rendra malade à nouveau. Mais la vérité est plus trouble. Alors je vais décider de pardonner les harcèlements d’Agatha et de revenir voire mon fils, mon fils me manque, Mme Depincé m’avait dit « pensez à votre fils », bien sûr je n’ai jamais cessé d’y penser.
Pendant mon séjour en Corrèze, je vais voire Yves Michelet et Claude Michelet, ils vont me faire croire que le coup est bien des franc maçons, en fait ma folie est de bonne alloi.
Chapitre 14 : je retourne chez Agatha en Hollande
« Je vais travailler à Rouen, il me rassure en me disant qu’il ne pratique pas la manipulation psychologique comme chez Bouygues ; mon histoire est connu dans mon milieu professionnel, je suis grillé, mon patron est un petit franc maçon, je craque à nouveau, je ne rencontre pas Dieu, mais j’ai un fantasme, les sœurs Veillet pour une vente de charité vendent des tickets à de grandes bourgeoises qui viennent le soir dans mon lit a l’hôpital pour me dépuceler. »
Contre l’avis de mes parents je remonte voire ma harpi de femme polonaise, j’arrive à la nouvelle maison que, comme pour la maison de Noordwaarts, nous avons vu la progression de ses préparatifs. Agatha m’a forcé la main pour que nous acquérons ce bien, j’ai du faire des prises de sang et tout le tentoin, puis mon contrat chez Ballast Nedam a bien servi pour obtenir le prêt, le fait d’avoir travailler chez Nord France a permis de payer pour quelques mois, malade c’est la sécurité sociale qui paie, je fais de la survie.
Je retrouve Agatha dans Dorpstraat, le village de Zoetermeer, ce n’est pas elle qui pousse la poussette, c’est la poussette qui la pousse, elle est atteinte par tout cela, elle est tétue elle a voulu son nouvel appartement, résultat son mari est à l’hôpital psychiatrique et elle ne sait pas comment payer.
Alors comme je la vois à la dérive comme cela, je lui pardonne, nous faisons l’amour et nous ne parlons pas, nous ne parlerons jamais dans ce couple.
Mme Depincé m’avait conseillé de rester le plus longtemps possible malade, c’est ce que je voulais faire, mais la sécurité sociale refusait de reconnaitre mes années travaillées chez Ballast Nedam, en Hollande, en dépit des accords communautaires. Il faut dire que pour faciliter la paix avec Agatha j’étais venu avec l’argent du loyer, de l’argent, car Agatha seule ne pouvait pas se payer cet appartement, il fallait que le malade mental se démène le tronc, pour assurer les petits rêves de sa femme.
La sécurité sociale francaise n’accepte pas de payer les travailleurs comme mois et de reconnaitre leurs années de travail, sous pretexte qu’en Hollande nous sommes couverts par des contrats de droit privé. J’ai fait une lettre au juge. Mon argument était le suivant, ces contrats sont de droits privés, mais régit par la loi Hollandaise. Hors le droit communautaire de reconnaissance mutuelle, c’est avec la loi Hollandaise que nous l’avons tenu. En Hollande, quand quelqu’un passe pour des raisons de plafond d’un contrat privé à un contrat public, ses droits sont garantis. Pourquoi ces mèmes droits ne sont plus garantis quand on passe la frontière ? Je prétendais dans ce courrier qu’il y avait en fait délégation de service public par ces contrats privés et que par conséquent il est anticommunautaire de ne pas reconnaitre les droits des étrangers ou des francais qui passent la frontière.
Cette simple lettre suffira à ce que la sécurité sociale me paye en reconnaissant les années Ballast Nedam : Ai-je fait jurisprudence ? Big Brother a-t-il été gentil avec moi pour une fois ? Tout est possible.
Mais pour l’heure, la sécurité sociale ne veut pas payer, je suis gravement malade et je suis en fin de droit, la merde ne me lache pas aussi facilement, alors par miracle je réussis à trouver un job chez Sogea Nord Ouest, à Rouen, chez Vinci. Big Brother me tiens la tète juste à la surface de l’eau si je coule, ils sont peut être dans la merde alors le milieu me sauve toujours à temps, à temps que cela devient trop critique.
Je fais mon intéressant, et je dis que la sécurite est la chose la plus importante, en fait en quittant Screg batiment, nous avons traité une mauvaise affaire, parce que nous avions des billes politiques, en fait nous voulions débloquer une affaire mal engagé pour le RPR de l’Essone, vous m’avez compris. Cette affaire était si catastrophique sur le plan financier, que nous avons pris des risques de planning, c’est devenu la folie sur le chantier, résultat un mort.
La logique de cette histoire, c’est que quand moi l’ingenieur études de prix, je baisse mon froc fasse a la hiérarchie, toujours très politique, il y a un mort sur le chantier. Nous les cadres, nous sommes responsable de la corruption, nous sommes responsables des morts sur le chantier.
Mais je ne developpais pas mes arguments vis-à-vis de Michael Jose-Chenu, qui ex Bouygueman était patron de Sogea à Rouen.
Je leur dis que pour moi, une entreprise de BTP devait faire 5% de marge, c’était le résultat de mon analyse suite à mon experience de chez Screg Batiment, pour moi une entreprise de BTP doit faire 5 % de marge. Maintenant, c’est le point de vue de l’entreprise. Si je tourne ma casquette et que je deviens citoyen de l’Etat français, il est scandaleux que les gains des entreprises de BTP dépassent 2%. L’argent de l’état va dans des mauvaises poches. L’avenir du pays ne vient pas et ne viendra pas de business traditionnel. Que notre économie est ses plus beaux fleurons dans ce genre de business en dit long sur le tragique de la situation de l’économie française. L’argent doit aller pour des écoles, pour des infrastructures qu’empruntent des business d’avenir, pas des business du passé. Encore une fois le problème de la corruption n’est pas moral, le problème de la corruption c’est qu’elle preserve des obsolescense. En tous les cas, la politique de Sogea était de faire 5% de marge, le grand patron avait eu les même vues que moi, seulement, lui, il gouvernait.
Jose Michael Chenu était un ancien de chez Bouygues, pour me rassurer il me dit que chez lui on ne manipulait pas psychologiquement les employés. Par conséquent, j’avais bien été manipulé psychologiquement chez Bouygues.
Il n’y a pas grand-chose à dire sur Rouen, cela était fatigant pour moi, Agatha restait en Hollande et moi je travaillais à Rouen, je faisais beaucoup de route. Normallement, nous devions déménager au bout d’un an mais Agatha ne fis rien. Agatha est dans un autre monde.
En 2003, Agatha parti en Pologne en vacances seul, moi je restais à travailler, nous n’avions pas déménagé, c’était un problème au boulot, le weekend j’etais surexité, je voulais appeler Isabelle Veillet, je voulais la revoir, je lui dis au bout du weekend « je t’aime, mais je n’ai pas le droit ». C’était tout, je raccrochais, j’avais attendu tout le weekend pour dire cela, tard le dimanche.
J’arrivais à 2 heures du matin, à Rouen. J’étais malade, je rechutais, comme je me sentais rechuter, j’allais de moi-même à l’hôpital, je fis dix jours en Hôpital psychiatrique. Ce coup-ci, je ne rencontrais pas Dieu, je fis simplement un fantasme, les sœurs Veillet, Isabelle, et Catherine Veillet Michelet vendaient des tickets à des grandes bourgeoises qui la nuit venaient toutes me dépuceler. Cependant, je crois que je suis indépucelable.
Jose Michael Chenu trouvait que je n’étais pas un bon petit soldat que je n’étais pas aux ordres, alors il m’a viré pour les mèmes raisons que le système me mit sur liste noir. Dans la société française de la franc maçonnerie, tout le monde est aux ordres, aux ordres de quoi, aux ordres de la décadence.
Je tombais sur une bande de franc maçon, chez Sogea Nord Ouest. Mon chef jacques Lebas était un vulgaire métreur, mais très apprecié de ses chefs parce que c’était la voix de son maitre Jean Rossi, qui était le patron de Sogea. Jacques Lebas faisait les études de faisabilité de jean Rossi cela veut dire qu’il faisait des métrés la nuit, il gardait cette chasse gardé. Chez vinci pour être directeur technique il faut faire des métrés la nuit pour son Dieu, son patron- Dieu, notion française. C’est déplorable. Jacques Lebas ne savait pas déléguer, il ne contrôlait pas le travail de ses collaborateurs, il était un métreur et un franc maçon.
J’avais connu l’ancien patron de Ion cindea, Sassine, un libanais, qui avait été deçu par moi, car je n’ai aucune conversation, aucune culture. Je faisais un enfant dans le dos à Sassine, et Jacques Lebas qui disait qu’il était nul, pourtant lui donna une compensation, c’est comme cela que cela marche dans la franc maçonnerie, le principe est mafieux, rien à voire avec l’être suprème.
Pour me tester, ils me mirent sur un projet pour des néerlandais. Total faisait construire une usine, les néerlandais, Fluor Daniel, avaient fait les préétudes. Mon experience avec Ballast Nedam, c’est que l’inconnaissance de la culture française empécherait Fluor Daniel d’avoir la moindre chance sur le point de vue commercial : l’histoire m’a donné raison. Hors pour Fluor Daniel, nous étions de vulgaire sous-traitant et Fluor Daniel travaillait avec Ponticelli une boite de levage francais, donc un petit partenaire. Chez Fluor Daniel, ils nous parlaient de partenariat et non de sous traitance. Le message que je voulais faire passer à Francioli, l’actuel dirigeant de Vinci Constructrion, c’est que c’était à lui d’aller voire Fluor Daniel pour savoir si le partenariat c’était du lard ou du cochon. Si le partenariat c’était réel alors Vinci pouvait sous son nom faire rentrer Fluor daniel chez Total et nous pouvions traiter avec une marge élevée une affaire facile ou devenu facile. Mais Jose Michael Chenu me censura. Alors je ne respectais pas ses ordres, je donnais le dossier à Vinci International dans l’espoir que la lumiere jaillisse chez Francioli. Mais Francioli, comme tout patron français est deconnecté via des Jose Michael Chenu de sa base. Francioli ne communiqua pas avec Erik Worme, mème un quart d’heure, il communiqua avec Ponticelli qui lui raconta des conneries, mais comme c’était d’un patron, ces conneries, on les crut, alors nous fimes travailler une équipe de chiffreurs deux semaines alors qu’à ce stade nous pouvions travailler 4 heures et que la problématique était commerciale et pas technique.
Résultat Fluor Daniel fit un prix hors sujet et nous sommes revenu sur un schema classique ; nous avons travaillé pour Technip, le groupe d’ingénierie français, avec une prise de commande réduite et un gain réduit. La communication dans les grands groupes emprunte des regles de la franc maçonnerie ce qui est desatreux, des hommes de valeur restent sur la touche, alias moi, des voies de croissance ne sont pas empruntées, mais la société est ordonnée, c’est pour cela que je ne suis pas de droite, je suis pour le désordre. Mais je ne suis pas de gauche, non plus, alors je souffre seul.
Cela m’a donné plusieurs idées, la première c’est que je n’avais pas ma place dans de tels groupes, la deuxième, c’est que l’innovation était cassé par des hommes de cours comme Jose Michael Chenu, la troisième idée, c’est que ces grands groupes vivent au depend de l’économie française, ces grands groupes doivent renvoyer l’ascenseur à l’économie française, hors pour plein de raisons, ces grands groupes sont des trous noirs qui bloquent le dynamisme de l’économie française. Comme des cadres de valeurs restent sur la touche ou dans des placards je suggère la chose suivante, c’est le coocooning d’entreprise. Il faut favoriser les grands groupes du CAC 40 qu’elles promeuvent l’idée de création d’entreprises dans leur sein. Par exemple, le joint venture Worme, pour un développement européen ne fait pas partie de la politique de ces grands groupes. Hors des cadres audacieux pourraient développer du business pour leur compte et ramener de la plus value en développant ce business avec l’entreprise porteuse. Autre idée que j’ai suggere a Technip Benelux, c’est une vague idée de business development ; cette idée est une fusée à deux etages c’est premièrement une assemblée de personnalité hors secteur qui excercerait un contrôle dynamique sur le business dévelopment des entreprises, deuxièment un departement de business developpeur qui alimenterait en information l’assemblée et ferait du support de business development. Cette idée nul ne l’a mis en pratique, mais je suis sûr que cette idée fonctionne dans les boites d’ingénieurs, car l’innovation est bloquée, parce que les ingénieurs fonctionnent de façon militariste. Dans le cadre du coocooning d’entreprise cette idée pourrait etre developpé. En fait, les élites dont je fais partie, ont été programmé pour gouverner des grandes structures, l’imagination, le développement n’est pas dans le sang de ces élites : résultat, une incurie de notre société à traiter la question du chomage, pour résoudre le chomage, il faut changer les élites, pas le reste.
Voilà ce que je retiens de mon passage chez Sogea Nord Ouest. Chez Vinci, il faut être directeur technique pour faire des études de faisabilite, moi, j’etais sous merde chez Bouygues et j’en ai chié des palanquets d’études de faisabilité.
Ce que je retiens, c’est que la franc maçonnerie ou les réseaux bloquent l’idée d’innovation dans la société française et que les hommes de pouvoir ont intéret de bloquer cette innovation. Ce dont la société française a besoin ce sont des Bill Gates, hors Bill Gates dans sa phase de démarrage, dans ce qu’il le constitue, pour lui le réseau n’existe pas. C’est le projet la vision de Bill Gates qui fait Bill Gates. Nos ingénieurs qui sont nos patrons n’ont pas cette vision et ils sont assez intelligents pour le reconnaitre, la seule Vision d’un Jean Rossi, ce sont les méthodes de chantier et la formation, cela ne va pas pisser bien loin comme vision, et pourtant Jean Rossi fut patron de Sogea.
Comme je suis un antimilitarisme par attavisme et non par conviction profonde, comme par nature je ne sais pas marcher au pas, je ne peux pas m’adapter dans des grands groupes, si ma femme était intelligente, ce qui est loin d’être le cas, j’exagère, pauvre Agatha, elle a, elle aussi, l’intelligence de son grand cœur, nous vendrions du business development à des grands groupes, parce que ces grands groupes ne pouvant générer en interne des choses, ont besoin d’intervenants exterieurs. Quand on est provocateur non pas par atavisme mais par maladie, il faut trouver sa place dans la société. Ma place dans la société est d’écrire « une vie en Chirquie » ou de vendre des concepts de Business. Mon épouse est allée en Chine, elle a rencontré un chinois, il vendait de l’ail, allez savoir comment elle l’a convaincu de vendre de la banane et bien elle lui a vendu une murisserie parce que c’est ce qu’elle vendait : cela s’appelle Business Development. Le fonctionnement en réseau maçonnique n’aime pas que cela existe, pas plus qu’il n’aime que Dieu existe, le fonctionnement en réseau à l’Europe occidental est un frein au progrès. Il faut apprendre à faire du business avec des gens qu’on ne connait pas d’Eve ni d’Adam, il faut apprendre à marier des réseaux antinomiques, un réseau français avec ses plus, avec un réseau néerlandais, c’est sur cela que s’appuit ma vision d’une entreprise de BTP européenne, mais cette idée est un combat.
Je passe sur l’accident qui a failli couter ma vie sur l’autoroute du nord, j’eux le réflexe nécessaire pour eviter l’obstacle et ne pas mourir, si bien que je peux encore raconter des histoires.
Je rendais ma voiture de fonction, quand une société qui s’appelle Chanin pris la décision folle de me donner ma chance.
Auparavant, j’écrivais à Jean Rossi en lui expliquant que les arguments de Jacques Lebas ne fonctionnerait pas aux Prudhommes, et que j’avais un enfant et que j’etais obligé de le faire. Sans savoir ce que ce licenciment allait donner, je décidais sans argent, moi au chomage, ma femme au chomage, d’acquérir un vehicule, une C3 neuve qui fut la cause de nos facheries avec Agatha parce qu’Agatha me força de la donner en Pologne, mais je les fais, cadeau c’est cadeau.
Le fait de croire en l’avenir me permit d’amener la chance, je retrouvais un employeur, Vinci signa un accord avec moi et m’offrit 30000 euros aux prix de mon silence.
Vinci est une boite de franc maçn, j’espère qu’ils ne m’attaqueront pas pour diffamation. Je crois que Vinci a continué le jeu de Big Brother avec moi, l’histoire de Bouygues était connu, ils m’ont bousculé.
Bien sûr je passerai sous silence mes petits défauts, avec Sassine j’ai voulu monté une magouille avec Technip, Technip n’a pas oublié, ils m’ont engagé, ils connaissent toute mon histoire, alors ils jouent à big brother avec moi. Jose Michael Chenu a suivi mes petites magouilles, il a joué au con, il vaut mieux jouer au con, le fait que je magouille plait à big Brother, mais il ne devrait pas, moi, je magouille, Big Brother montent un système corrompu en réseau, cela n’est pas la mème chose, moi je n’aliene pas mon semblable.
Bref comme par miracle les choses s’arrangent pour moi, je sors juste la tète de l’eau.
Jose Michael Chenu me reçoit, je lui dis que je peux le faire introduire aupres du maire du Havre, il sait tres bien qu’Yves Michelet ne me pistonnera jamais, il me fait comprendre que je suis fou que je n’écoute pas les autres que je fais peur, il me fait croire que je n’ai pas ecouté les ordres, Jose Michael Chenu est une ordure il sait que c’est lui qui a mal donné les ordres. En fait, ils veulent se séparer d’un homme malade et d’un homme qui ne se mettra jamais au garde à vous.
J’ai oublié de vous dire que je suis sous Sollian en France et que le Sollian a des effets secondaires. Bien sûr cela stoppe le délire, mais avant d’aller chez Sogea, je suis allé solliciter à Rotterdam, cela m’occasiona un stress, dans le train j’eux des impatiences, je ne peux rester en place. J’ai dû abandonner mon interview, et revenir à la maison à Meidoornlaan, prêt de Dorpstraat. Dans ces impatiences, je ventille mal, pris par le stress, je n’ai pas assez d’azote ou trop je ne sais plus, mon cerveau a un trou noir, je crois que je vais mourir, je suis déjà mort, cette fois ci, et j’ai donné mon âme à Dieu et demanda qu’il s’occupe des êtres chers, je suis un homme qui est déjà mort, parfois dans mes délires, je crois que je vis au purgatoire. Les médecins francais, si on peut appeler cela des medecins vont me bombarder de Sollian, ce sont aux effets secondaires multiples qu’ils m’ont soumis, je vais etre traiter, grace à la Police par les docteurs Naudet et Daudin. La science est au service de Big Brother, quand vous êtes traité à cause de la police, vous êtes maltraité, j’ai subi des maltraitances de la part de mes médecins français, je site leur nom, je les resiterai, Daudet et Naudin, ils sont connu dans la profession, la psychiatrie doit être au service de la Police sous haute surveillance. Deuxièmement, le fait de passer à l’hôpital vous enlève tout droit de justice, cela pose un problème moral énorme, de sous homminisation des malades. Je ne tue pas jacques Chirac, je ne tue pas Catherine Veillet Michelet, je ne tue pas Yves Michelet, je ne tue pas Isabelle veillet, alors comme je ne tue pas ces personnes, maniacho dépressif ou pas, j’ai le droit a l’accès à la justice, c’est pour cela que j’écris une vie en Chiraquie. Et puis pour raconter sadiquement que Dieu existe.
Chapitre 15 : je travaille à Paris
« A Rouen, ils se débarrassent d’un homme fragile psychiquement, c’est le racisme contre les malades mentaux, la société les crée puis elle les élimine, je travaille à Paris, je fais des exploits mon patron est content, mais je suis trop libre. Entre temps je prie Dieu de la manière suivante : « Dieu, j’ai des problèmes que tu sais, fais moi gagner au Loto. » Puis je me ravise et je lui dis « cette prière est impie, d’autre que moi ont plus besoin de cet argent que moi, oublie cette prière. » Quelques jours après je gagne au Loto »
Bref à Rouen, ils n’avaient pas besoin d’un ingénieur maniacho dépressif, ils s’étaient débarassés de moi et ils avaient eu peur de passer devant les prudhommes avec moi ou ils avaient eu pitié. Peut être que Big brother a de temps en temps pitié de moi et de temps en temps ils ont peur du monstre qu’ils ont créé. Chanin était dirigé par le couple des Ergand. Les Ergand sont des bons catholiques et dans les affaires se sont des escrocs menteurs. Monsieur Ergand me prenait pour un petit enfant et il me réprimendait comme un petit enfant. Moi je m’en foutais je voulais travailler comme business dévelopeur. J’ai bien fonctionné avec un bon directeur de production de Bouygues qui s’appellait Jean Philippe Beaud. Jean Philippe avait affaire à un fou, mais ils ont utilisé le fou. Mais chez chanin, j’etais très fatigué, ma maniacho dépressivité me travaillait.
Je travaillais sur une affaire incroyable, un centre commercial à Dunkerque, géré par un développeur néerlandais, Wereldhave, j’avais fait une préetude pour Wereldhave quand j’avais travaillé chez screg Batiment, c’était le premier projet de Wereldhave en France. Bouygues avait environné l’affaire commercialement, le seul rôle que nous devions jouer est celui du lievre. J’étais tellement faché par tant de magouille de Bouygues qui avait fait preuve de tellement d’incompétence dans cette affaire, qui avait mal construit, vendu un centre commercial mal construit et environné l’affaire vis-à-vis des assurances pour s’assurer de faire les reparations. J’étais tellement fache du rôle que l’on nous faisait jouer, je n’aime pas jouer le lièvre dans une affaire magouillée, c’était une magouille de Bouygues, les gens de Wereldhave France, jouaient avec nous, ils étaient probablement payés par Bouygues, et Wereldhave était suffisament riche pour se faire entuber par Bouygues. J’etais tellement faché que je voulais faire un rendez vous chez Wereldhave en Hollande pour leur demander comment ils géraient l’argent de leur actionnaire, pour cracher dans la gueule de Werelhave France. Par bonheur, je n’ai pas eu à me fatiguer pour rien.
Avec Jean Philippe Beaud nous fimes un exploit. La SNCF avait une toute petite affaire de grille métallique ; l’affaire était environnée par Spie ou un autre grand groupe. Je demandais à jean Philippe de faire un effort pour trouver une bonne entreprise de serrurerie-métallerie. Personne ne maitrise le prix de ce lot technique, alors c’était crucial stratégiquement, je le savais. J’avais un bon contact avec les techniciens de la SNCF alors comme nous étions en retard dans notre remise de prix, je leur conseillais de tricher et d’ouvrir notre enveloppe quand mème. En etant bon commercialement et en trouvant le bon sous traitant, par des conducteurs de travaux de Vinci de Jean Philippe Beaud, nous avons scoré. Le mariage du chiffrage avec le procurement est ma marotte, c’est pour cela que j’avais aimé Ho Do Anh, outre le fait de lui faire avouer un jour, Big Brother, mais Big Brother est trop puissant.
Nous avons pris une affaire de 2 millions d’euro avec 30 % de bénéfice, mon patron avait toutes les bonnes raisons d’être content.
Je faisais le project manager sur cette affaire, mais je n’étais pas bon, la ligne de communication avec Jean Philippe et Mr Ergand était mauvaise, ils savaient le malade mental à qui ils avaient affaire. Quand nous étions le lièvre, il ne me le disait pas, quand il fallait intervenir, Jean Philippe ne me donnait pas les moyens. J’étais un ingénieur raté des grands groupes, Chanin n’était pas une cinécure pour moi, il s’en faut de beaucoup.
Malgré tout en 6 mois de présence dans l’entreprise Chanin, je traitais 20 % du chiffre d’affaire, alors que nous etions trois/quatre, et la marge était excellente. Le problème de Chanin était le commercial, partout ou j’apparaissais, j’etais le lièvre pas facile de casser les ententes en si peu de temps.
J’avais des contacts avec Ho Do Anh qui était encore au chomage, comme je suis une bonne poire, je lui trouvais un job chez Cari, une grosse PME du BTP. Je parlerais plus tard de la Pologne au patron de Cari, mais il n’était pas convaincu.
En fait, mon projet avec la Pologne est simple, c’est trouvé une grosse PME polonaise, faire des joint ventures avec des PME francaise et casser les ententes des majors du BTP francais, je veux casser la magouille du BTP francais.
Quand je suis arrivé chez Chanin, on m’a proposé un poste de chiffreur en réparation, mais en fait je voulais faire du business development, je ne suis pas satisfait avec ce que la vie me propose.
Ergand avait rencontré Marta Morzky Boyer, elle avait branché une entreprise polonaise avec Ergand, mais Ergand était un escroc qui employait des gens pour 4 euros de l’heure, alors Marta n’était pas armé pour faire du business avec un escroc comme Ergand. Marta Morzky Boyer est une DRH, elle était plus doué pour obtenir des renseignements sur moi.
J’ai voulu faire des affaires avec Marta, elle aurait pu me trouver la grosse entreprise de BTP Polonais, mais elle n’a jamais voulu comprendre mon idée, ou elle a fait semblant.
En mème temps, je faisais une variante sur l’affaire de la SNCF, grace à cette variante je voulais que le patron de BLI, la société de serrurerie- métallerie, me paye 30000 euros, nous avions atteint un gentleman agreement, avec HO Do Anh le patron de BLI nous avait promis ces 30000 euros et fait un contrat, et nous avez assuré qu’il n’avait qu’une parole. En fait, je n’ai jamais vu ces 30000 euros, la corruption cela n’est pas un jeu entre gentleman, c’est un rapport de force, aliener le camp de l’adversaire. Me sachant, hors du jeu, il n’a jamais payé, moi je lui offre une publicité gratuite, Eymeraud est expert judiciaIre, c’est drôle !
En tous les cas ce patron de cette boite de Grenoble BLI me doit 30000 euros et d’une manière ou d’une autre un jour il faudra qu’il paye.
Chapitre 16 : Je suis viré à Paris.
« La victoire au loto rend mon couple explosif, nous nous disputons, Agatha ne veux pas que je sois libre a Paris, c’est la guerre »
En fait, je suis sur le point de me faire virer chez Chanin, comme je voulais les attaquer aux prudhommes, parce que ma place ne devait pas etre un CDD, parce que l’emploi était réel, la DRH va m’appeler et va faire pression morale sur moi, elle va me traiter de paranoiaque, ce que mes employeurs du BTP ont peur aux Prudhommes c’est que je tienne mes propos de paranoiaque sur Big Brother, ils ont eu vraiment peur de cela. Mettre un homme sur liste rouge, le fonctionnement du milieu n’est pas jolie jolie, cela n’est pas etonnant que ce milieu pourri ne m’ai pas donné ma chance comme business developpeur et m’ai laissé végéter comme simple chiffreur alors que je suis ingénieur des mines et que j’ai des capacités intellectuelles a défaut d’avoir une force de travail.
Comme ma situation est desespérée dans le monde du BTP et que partout où je vais, je suis en prison, alors comme cette situation est problématique, comme mon epouse aussi c’est fait mettre sur liste noire en Hollande, elle s’est fait virée injustement pour fait de corruption qui était faux, mais comme elle s’est fait viré par un Bolkenstein, elle est eliminée de la société néerlandaise.
Nous sommes tous les deux éliminés de la société, alors notre situation est problématique, je le sens, je le présens, je vois Big Brother partout, alors une fois de plus je m’en remets à Dieu, et je le prie de la manière suivante : « Oh ! Dieu, tu vois où précaire est de notre situation, s’il te plait Dieu fait moi gagné au loto ! » Puis, je me ravisais et je dis a Dieu : « oublie ma prière, il y a des gens qui en ont plus besoin que moi ! » J’etais sincère, ma prière fut entendu, je gagnais au loto, j’avais joué ma date d’anniversaire, la date d’anniversaire d’Agatha, et des numeros caches d’isabelle, bref j’ai joue l’amour et j’ai gagné. Je n’étais pas corrompu, c’est pour cela que j’ai gagné, alors qu’en écrivant « une vie en Chiraquie », je suis corrompu.
Je décidai de donner la moitié à Agatha, le deal était plus compliqué, mais cet argent fut cause de dispute. J’etais libre à Paris dans un appartement avec ma sœur, Agatha me harcela pour que je retourne en Hollande, mais il y avait, Isabelle, il fallait que je sois libre pour contacter Isabelle. Dieu m’avait fait des signes, et Isabelle était au synode protestant, qu’est ce que tout cela pouvait signifier. Dieu ne m’avait pas reveillé en vain, en revenant vers Isabelle, il y avait probablement la solution a Big Brother, il fallait que je raconte a Isabelle ma vie en Chiraquie.
Alors je n’écoutai pas Agatha, Agatha devenait folle et quand Agatha est folle, elle est harceleuse, elle me harcelait à propos de l’argent c’était pénible, il fallait la payer pour être libre et pour avoir la paix. J’avais une mission à accomplir, si j’avais gagné au loto cet argent n’était pas à moi, il était a Dieu et je devais accomplir cette mission divine quelqu’en soit le coup.
Chanin me vire, je vais devenir vagabond de luxe, et je vais errer dans toute la France à la recherche de mon passé en quête d’un sens pour le future de l’humanité, l’humanité est un peu grande pour mes frêles épaules d’homme malade, mais Dieu a ses exigences, je dois me donner à lui.
Comme la sexualité avec Agatha est très pauvre, je me posais des questions folles sur la sexualité, j’étais en recherche à ce niveau là et je voulais savoir qu’elle était le vrai amour, maintenant je sais que j’ai connu deux amours difficiles et peut être bien d’autres mais je suis passé sans les voire.
Chapitre 17 : Troisième rencontre avec Dieu.
« Je ne suis pas fou, je suis normal, je prends mes médicaments, je suis dans un parking, seul, isolé et quelqu’un me passe dans la main un morceau de bois, le problème c’est que je suis seul alors je suis effrayé, je lâche le morceau de bois. Avant les rencontres avec Dieu, j’avais perdu la foi, je suis un sceptique, je ne crois pas, c’est aussi pour cela qu’il a fait des signes vers moi, parce que je suis autant athée que Catholique ou protestant. »
Je travaillais chez Chanin, ce qui est bien dans une PME c’est que l’on fait de tout, du project management et le chargé d’affaire, il faut aller voire les clients. La maniacho dépressivité me fatiguait, mais j’avais mes médicaments et je n’étais pas en phase de délire. Pour une affaire, je devais aller voire des clients à Air France, sur le site de Roissy. Air France voulait exposer son concorde, et le mettre sur des poteaux métalliques, il fallait fonder le tout. Ce n’était pas un projet qui aurait pu nous rapporter beaucoup d’argent, mais c’était un chantier pour faire une référence, le chantier du Concorde, c’était chouette.
Donc je devais présenter mon dossier chez Air France, je me pointais avec ma voiture de fonction et franchement, je ne me doutais de rien.
Je parquais ma voiture sur le parking dénudé d’Air France, puis je m’approchais des locaux, c’est alors que quelqu’un mis un baton de bois dans ma main. L’ennui c’est qu’il n’y avait personne autour de nous, aucun arbre d’où il pouvait provenir. D’effroi, je lachais le baton. Car vous voyez je n’ai jamais souhaité être le héros de cette histoire, les interventions de Dieu cela me fout les boules, cela me dépasse. Que Big Brother se soit interessé de moi et est fait de moi un héros de la lutte contre la corruption, cela me dépasse, mais que Dieu soit intervenu dans ce jeu cela me dépasse encore plus, cela m’effrai, je crois que je deviens fou avec cette histoire, il faut que je la raconte au monde, je suis devenu un personnage trop grand pour moi, j’incarne une chose folle et je ne veux pas y croire, je vais rentrer dans l’histoire, « Chirac a mis sous ecoute un éternel branleur », je vais rentrer dans l’histoire comme le plus grand branleur de l’humanité. Alors Dieu sait que cela m’affole, c’est pour cela qu’il est intervenu cette troisième fois, pour me dire non tu n’es pas fou, c’est bien toi que j’ai choisi pour raconter l’histoire pour rentrer dans l’histoire, la petite, la grande, immole toi, donne toi a fond, car je t’en donne l’ordre, je me desespère de mon occident chrétien qui est prêt à tous ces trucs dégueullasse qui fait la guerre aux islamistes, mais qui tue plus de personnes que l’Islamisme, je me desespère de cette humanité qui sacage les ressources de la terre, dit leur que je ne suis pas content du tout.
Voila, j’ai une mission, je dois aller au bout de cette mission, il n’y a que cela qui me motive dans l’existence tout le reste est pesant, c’est pour cela que je me suis donné a fond, que j’ai joué avec les émotions maniachales.
Chapitre 18 : Retour vers Isabelle
« Quand je reviens vers Isabelle, j’ai des certitudes. Je sais que Dieu existe car il s’est manifesté à moi. J’ai gagné au loto, je me pose des questions fondamentales. Je me suis demandé si je devais parler uniquement de Dieu à isabelle, ou si je devais aussi lui parler de mon désir sexuel pour elle. Je décide que j’ai le droit de parler de sexe, je lui parle de sexe et je lui raconte « une vie en chiraquie ».
Je me pose des questions fondamentales : Quel est l’amour véritable ? Isabelle, Agatha ? Qu’est-ce qu’il y avait derrière « je suis sur le point de succomber » d’Isabelle ? Qui m’a mis sous écoute, les Michelet, les franc-maçons ?
Isabelle porte plainte pour harcèlement physique et sexuelle et elle donne toute ma production à la police. La police qui m’a mis sous écoute est trop heureuse de l’aubaine elle me fait mettre en hôpital psychiatrique, je vais récidiver au total, j’y passerai deux mois et trois mois et demi.
Sarkozy devient président de la république française, Agatha me sauve la vie en me faisant rapatrier en Hollande. En Hollande, je ne resterai qu’une semaine en hôpital psychiatrique, encore aujourd’hui, je dois me restabiliser psychiquement, car j’ai été bombardé de psychotrope.
Je ne suis pas que cet être avec des utopies, comme je vous les ai raconté dans cette vie en chiraquie, je ne suis pas cet être qui se fache dans sa voiture, quand De Villepin est allé faire un discours de paix en pleine guerre, j’ai hurlé les enfants du gaullisme ont signé les accords de Munich.
Non, je ne suis pas que cet etre attrabiliaire, je suis aussi un être qui a connu l’amour, à force de fuir les femmes, l’amour m’a rattrapé. Isabelle Veillet fut la seule personne pour laquelle j’eux un coup de foudre, un été à Marcillac, chez les Michelet. Elle fut la seule personne que j’aimai plus que moi-même, elle est une des personnes qui ont le plus compté, et qui compte le plus dans mon existence. Ma mère trouve que je suis un raté, mais je suis grand autre part, j’ai aimé, j’ai aimé David Michelet et je ne dis pas cela parce qu’il s’est suicidé, Dieu sait que j’ai regretté cet acte, j’ai aimé Isabelle Veillet, jusqu'à la folie, en 1996, quand Isabelle me dit « je suis sur le point de succomber » ce qu’elle ne sait pas c’est qu’elle parle à un fou. Puis j’ai aimé Agatha, puis j’aime mon fils, plus que moi-même.
Bref, comme je revenais travailler à Paris, comme depuis 2002 en Martinique, je sais que je ne sais pas ce qui se cache derriere son « je suis sur le point de succomber » alors j’ai decidé, et je n’ai pas abandonné cette idée, je veux imperativement savoir ce qui se cache derriere son « je suis sur le point de succomber » c’est mon obsession comme dit mon pote d’enfance Eric Sarriot. En fait, je veux qu’Isabelle m’avoue son « je suis sur le point de succomber »parce qu’alors j’ai accès au pouvoir, mais elle, elle va me faire passer pour fou.
En 2003, je la rappelle, mais je lui dis ces mots imbeciles « je n’ai pas le droit de t’aimer » Puis comme je travaille à Paris, mes pensées reviennent vers elle, je vais chez elle et pour cela j’utilise un stratagème. Je fais internet et je trouve les coordonnees des voisins d’Isabelle, elle habite 36 rue Nocolai dans le 12ieme arrondissement. Je selectionne une femme et je me fais passer pour Michel Bouder et je dis à cette femme vous avez gagné un jeu concours je dois vous livrer mais je n’ai pas votre code d’accès. J’obtiens le code d’accès de l’immeuble d’Isabelle. Alors comme j’ai son code d’accès, je vais dans son quartier et je lui offre une rose, et je mets un point d’intérogation.
Je veux savoir ce qui se cache derriere son « je suis sur le point de succomber » parce que si Dieu est venu a moi, c’est parce qu’une personne vivante m’a tenu ces propos.
J’envois un nombre considérable d’email a Isabelle, je lui dis « fais moi l’amour, c’est la seule facon de me rendre responsable » Puis je lui envois mon poème mathématique où je lui dis que j’ai decouvert qu’elle était pucelle que c’était mon plus beau théorème et que cette solution là je la dirai à personne.
Puis je vins chez elle, en bas de l’escalier, je l’attendais, je m’étais propulser vers elle en fantasme, je l’avais fantasmé parce que c’était le seul moyen de vraiment découvrir le secret du « je suis sur le point de succomber ».
Elle me dit « Erik, j’étouffe », je pensais en moi-même, Isabelle tu es folle tu quitte un homme il y a dix ans, je suis peut être devenu un tueur de femme si tu me dis que tu vas etouffer moi je t’achève. Puis nous descendimes dans la rue ensemble. Alors elle me fis comprendre qu’elle n’était pas pucelle, donc Isabelle lisait bien mon courrier c’était une victoire pour moi, Puis elle me dit « cela fait dix ans que je ne joue pas au jeu de l’amour » Pauvre Isabelle sa vie doit être bien triste, en tous les cas c’était étrange, en 1996, 9 ans, elle me dit « je suis sur le point de succomber. » et en 2005 elle me disait cela fait dix ans que j’ai quitté le jeu de l’amour. Isabelle commencait à me dire qu’elle allait succomber pour moi que c’était cela son secret. Puis nous nous quitames, je pris une rue et elle en prit une autre, alors je me dis cela n’est pas possible et j’accelerais carrément et je suis bien plus grand qu’Isabelle, nous allons faire un rectangle, et à la mème seconde nous nous recroisons rue de Watting. J’étais mort de rire, c’était une joie énorme, c’est comme si nous avions fait l’amour et que nous avions eu chose rare un orgasme ensemble, mais alors Isabelle était mortifiée ; elle allait voire les flics, elle me dit verte de rage « It s a jock ! » (non Isabelle cela n’est pas une blague, quand tu m’as dit je vais succomber, je croyais que je ne te reverrais plus jamais et je te revois là.)
Mme Hubert, le premier amour de mon père, ne m’avait pas menti, elle qui frequentait le milieu protestant de Paris, je fuyais vraiment une protestante, je fuyais Isabelle Veillet, c’était une tragédie, car ils m’avaient fait croire, Catherine m’avait fait croire qu’elle était à un autre, mais cette femme m’a aimé enormement, en fait, nous ne pouvons pas nous parler parce qu’elle m’a aimé.
Isabelle porte plainte pour harcèlement sexuelle, elle dit « Mr Worme m’a dit je t’aime, je lui ai repondu très clairement je ne t’aime pas » Monsieur Worme insiste il me harcèle sexuellement. Elle donne à la police tous mes ecrits comme une preuve, elle donne mème une photo de mon fils que je lui ai envoyé en leur disant vous voyez bien. Mais moi je lui ai envoyé la photo de mon fils pour lui dire « il n’est pas de toi, mais il faut que tu l’aimes ». En plus, j’envois à Isabelle outre le fait que jel’aime et que j’aimerais lui faire l’amour, je lui envois ma vie en Chiraquie, qu’à cause de sa salope de sœur, Catherine Veillet Michelet, j’ai été mis sous écoute que c’est injuste. La police est aux anges l’homme qu’on a mis sous écoute est englué dans une affaire de harcèlement sexuel avec Isabelle Veillet.
La police me convoque et me dis que je suis interdit de sejour dans le quartier d’Isabelle, je ne veux pas les entendre, je ne veux toujours pas les entendre, parce que je veux un procès contre Big Brother et contre le « je suis sur le point de succomber » d’Isabelle, je veux un procès contre ces deux injustices qui m’ont été faite et je suis sûr que je vais gagner ce procès, mème si l’adversaire est formidablement puissant parce que j’ai Dieu a mon coté.
Isabelle donne tous mes emails à la police, elle les donne aussi à sa sœur Catherine Veillet Michelet, qui en fait part à Yves Michelet. Sarkozy est ministre de l’inéerieur, Yves Michelet a du le faire contacté, mon sort est scellé, j’irai dans un hôpital psychiatrique, je n’aurais pas mon procès, il ne le faut pas.
Mais je vagabonde, je reviens sur mon passë, je passe au Luxembourg parce que je n’ai plus confiance en Agatha, puis je descends sur Nancy, je reviens à l’école des Mines de Nancy, je visite Nancy. Je descends toute la France et me retrouve à Limoges, je veux revoir le quartier Monjovy, et l’école de mon enfance, rien a changé.
Je débarque à Brive, je ne veux pas voire mes parents, ma mère est affolé par ce qui arrive, la famille parle, les Michelet sont sur le front, l’attaque est severe, il faut me mettre en échec. Je vais voire le franc Maçon de ma tante Suzanne, il me dit que la Police sait beaucoup de chose, Big Brother m’a enseigné que la Police sait en effet beaucoup de chose. Il me dit qu’il faut lacher avec Isabelle Veillet, mais je veux mon procès alors je ne vais pas lacher, je lui raconte une version antérieure d’ Une « vie en Chiraquie », je lui dis que j’étais un puceau tardif et que cela expliquait tout.
J’allais à Marcillac, et je fus reçu par les chiens, Claude Michelet me gueulla « je ne veux pas te parler ! », en effet sa famille a le cul sal, il se doute des agissements de son frère et il a aussi le cul sal alors il ne veut pas me parler. Quand je suis revenu de Martinique, j’étais chez ma mere et Claude Michelet me fis dire tu vois c’est de la faute au franc macon, pourquoi Yves Michelet est franc mac, Jacques Chirac est franc mac ? C’est de la faute à Chirac, alors on ne peut pas parler avec Claude Michelet, il a couvert Fred Saulnier, il a couvert son frère Yves, c’est une pourriture par lacheté.
Je reviens sur Paris, j’ai acheté un livre sur comment faire l’amour et j’ai ecrit une lettre à Isabelle. En hollande nous avons une cage d’escalier vitré ouverte sur des galleries, un petit oiseau c’était pris au piège et je m’etais approché de lui et il s’était fracassé contre la vitre de peur ; à force de tentative et de patience, je l’avais capturé, et je l’avais ramené à la maison, nous l’avons soigné. J’ecris donc à Isabelle, je suis monté sur milles marches, mais tu es toujours montee plus haut, je ne montrerai pas sur mille unième, je sais que tu es un oiseau blessé mais je ne te capturai pas.
Nous discutames, nous parlames de la confession, elle me dit que les protestants étaient adultes et ne se confessaient pas, Es-tu Isabelle ? Dis tu a Dieu, j’ai menti à la Police, je fais passer cet homme pour fou.
La Police me captura, je ne fus meme pas mis en garde a vue, un commisaire comme je souriais, m’interpella et me dis tu trouves cela drôle, je répondis « non, je me detends ». Les flics faisaient des blagues de cul nuls. J’allais à l’IPPP, l’Infirmerie Psychiatrique de la Préfecture de Police. Je fus interviewer par le psychiatre, une pourriture qui fait le sale boulot du pouvoir, un homme corrompu. Comme j’avais écrit a Isabelle qu’elle mériterait de prendre le médicament de force il prétendit que c’était un appel au viol. Comme je parlais de Dieu, il pretendit que j’etais téléguidé par des forces célestes. Bref il ne me donna aucune chance.
Je fus envoyer à l’hopital Henry Ey, et je fus suivi par deux ordures corrompus les docteurs Daudet et Naudin. Daudet me parla d’Erasmus et de l’apologie de la folie, leur travail était de me manipuler pour me convaincre que j’etais fou. L’infirmier de l’IPPP mimait les fous, comme il voyait que je ne trouvais pas cela drôle, il arréta son jeu.
Tout est fait à l’hopital pour vous convaincre que vous êtes fou. Je suis bipolaire, par conséquent le délire amoureux, vous fait froler la folie et le délire, mais ma conscience n’était pas obéré, j’etais surexité, mais j’étais conscient. Premièrement l’IPPP devrait être contrôle en permettant au patient d’avoir un avocat, deuxièmement l’incarceration ne doit en rien bloquer le processuss juridique, car encore une fois, Isabelle Veillet ment, je le sais, je ne la tue pas, si je ne la tue pas c’est que je suis conscient et je suis un être de conscience par conséquent j’ai le droit à mon procès. C’est malsain de rejeter dans la nature des êtres qui sont des ennemis de la société. En fait, la logique est simple, on t’incarcère, tu refuses ton sort, donc tu es dangereux, alors on te garde à vie : Jamais je n’accepterai mon incarcération.
A l’hôpital, je craquais, je fondais en larme, l’internement était très dur à supporter. Les agissements de folle d’Agatha me rassuraient, elle était tombée comme une folle chez le notaire de Mme Hubert, la première clerc. Elle était folle, Agatha, c’est qu’elle m’aimait. Dans mes incarcérations a l’hopital, Agatha m’a toujours ramené à la maison.
A l’hôpital, on peut faire appel à un juge des libertés, mais personne ne vous dit que vous avez le droit à un avocat, vos droits sont bafoués, alors que la police dispose d’un avocat.
Je recontrais toute sorte de gens à l’hôpital psychiatrique, un musulman qui avait connu un trou noir qui priait devant tout le monde. Il Y avait un drogué étudiant qui était en desintoxication, nous jouames aux échecs ensemble. Un toulousain alcolique qui ne se remettait pas de son chagrin d’amour, bref toute sorte de gens. Keaven un jeune Schizofrene luttait pour ne pas être interné, il parlait de sa fortune, les chiffres étaient ridiculement faible.
J’aurais plus de contact avec Keaven lors de ma deuxième incarceration. J’avais plus de contact avec une princesse autrichienne qui harcelait Jacques Toubon, elle était amoureuse de Jacques Toubon. Un jour j’en ai eu marre, mes héros à la culture, ceux sont Edmond Michelet et Malraux, pas Toubon, je suis Gaulliste d’extrème gauche pas Chiraquien, il ne faut pas déconner. Je lui dis que son Toubon était une merde, un vrai con, et que le vrai Homme qui l’aimait, le vrai Homme qui était bien c’était son mari, parce que j’avais remarqué qu’il venait toujours la voire ainsi que ses enfants, je lui dis c’est lui le mec bien, cela n’est pas Toubon. Et bien vous allez rire, elle s’est mis à avoir un grand sourire, j’avais demasqué le secret de sa mythomanie.
Mon pote Ho Do Anh était le confident de mes amours avec Isabelle, cela n’était pas une bonne idée mais je n’avais que Do. Do me dis c’est byzarre en France on met les amoureux dans les hopitaux psychiatrique. Mais un jour lors d’une conversation telephonique je dis a Do, « avec une femme ce n’est pas trois ans après, c’est quinze ans. » il me répondit c’est du harcèlement que tu fais, quand je dis la Vérite, je fais du harcèlement. Big Brother m’enlève de force Isabelle Veillet, je lui reprendrais.
Puis, je vis ma mère qui vins avec un évangile, comme si j’avais besoin de cela et un bouquin sur les injustices du système psychiatrique français.
Je vis Aussi Mme Hubert, je voulais qu’elle me parle d’une chose, il paraissait que je fuyais une protestante, elle ne se rappelait de rien, c’est l’amnésie gén’drale dans le milieu protestant. C’est byzarre Catherine est une grande jacquaseuse, si Mme Hubert est au courant, il doit y en avoir beaucoup d’autre au courant pas un des protestants ne parle, cela doit être cela être chrétien, je leur conseil la lecture d’une vie en Chiraquie, cela complètera leurs bibles et évangiles.
Ma sœur passait ainsi que mon cousin Christophe et c’est tout. Mon parain absent, mon père absent.
Finalement, je sortais de l’hôpital, je faisais des crises d’impatience que je vous ai déjà raconté, j’étais mal, pas en etat de travailler, J’allais chez Ede & Partners apprendre les principes de l’outplacement et apprendre un peu de psychologie, cela me servira peut être un jour.
Je trouvais un job en France, chez Labati, mais je n’avais pas mon compte. Ah j’oubliais de vous dire que Werner Burki, pasteur du temple de l’Oratoire, le temple d’Isabelle, le temple de ma spiritualité, vint me voire. Il me dit qu’il fallait être gentil avec les psychiatres dire que je ne verrais plus Isabelle. Mais suis-je là pour qu’on me fasse des leçons de morale et ce que je dois faire vis-à-vis d’Isabelle Veillet ou dois je être guerri, car j’étais dans un hôpital, Normalement dans un hôpital, il n’y a que mon cerveau, on ne devrait pas recevoir de leçon de moral. Je dis un jour que j’avais franchi la ligne rouge avec Isabelle Veillet, mais je n’ai pas dit que je la harcelais, quand Isabelle veillet a decidé d’aller à la police pour porter plainte pour harcèlement sexuel en mentant car en omettant son « je vais succomber » j’ai decidé que j’irais jusqu’au bout et au bout nous n’y sommes pas.
Je reprennais contact avec Isabelle, je lui donnais des rendez vous, elle envoyait la police. J’allais au temple de l’oratoire, l’évangile me parlait à chaque fois, c’est à croire que les pasteurs m’attendaient, je ne raconte pas tout, je n’ai pas le temps de fouiller dans mes pensées.
Je pensais qu’au temple de l’oratoire Isabelle Veillet finirait par dire la vériée devant Dieu elle ne mentirait pas, mais elle appela les flics, elle sortit du temple de l’oratoire, elle ne voulait pas le faire devant Dieu, lepasteur parlait du rapport entre Dieu et la sexualiée, cela était comique les paroisiens étaient mort de rire, le bedeau vint vers moi et me dit on vous attend dehors.
La police m’attendait, et je fus mis en garde a vue. Je devais passer pour un procès, je subis toute sorte de fouilles vexatoire, dans la cellule, un prisonnier m’impressionna, je ne crois pas que j’aurais survécu à la prison. Je dis à un vagabond, qui me disait que j’aurais un col de signe en prison, je lui répondis « mais moi c’est pour l’amour. » il me dit « c’est quoi l’amour. »
Puis il y a eu une confrontation avec Isabelle, je citais la lettre a Thimothée de Paul l’ap6otre et je disais que les jeunes veuves devaient se marrier et je leur dis mais Isabelle n’est pas veuve, elle est vieille fille, mais elle porte le deuil de ses chagrins d’amour. Puis j’enchainais, je dis qu’Isabelle était une timide sexuelle, comme toute timide sexuelle quand on décrit sa psychologie, elle croyait que l’on fait de l’introspection, Mlle Veillet m’a dit je vais succomber, et je finis ma confrontation. Isabelle répondu « cela n’est pas à Mr Worme de guider ma pensée » et comme elle s’apperçu qu’elle me donnait raison elle enchaina « je n’ai jamais dit je vais succomber à Mr Worme » cet enchainement prouvait qu’Isabelle mentait et les psychologues de la police le savent, mais comme je ne demandais pas d’avocat, ils refusèrent d’étudier le cas psychologique d’Isabelle et de ne considerer que le mien. C’était une enquête bacleée. J’ajoutais lors de ma confrontation, que pour harcèlement sexuel, mon risque est neuf mois de prison, je demandais qu’elle risque court Isabelle pour faux témoignage, mon propos c’est qu’elle doit risquer aussi 9 mois de prison.
Comme tout droit de justice m’est denié, je demande à la nation francaise de juger mon cas, et je demande un procès, contre Big Brother et contre Isabelle Veillet. Si nous sommes confrontés à nouveau, elle craquera, elle a toujours craqué avec moi, elle a un talon d’achille elle m’a aimé et elle a voulu en faire un secret et ce secret je l’ai decouvert lors de cette confrontation.
Je retrouve l’IPPP, je leur dis que c’était une comedie de medecine. Je retrouve Henry Ey. Mon pote Do vient me voire, il est du cote de Big Brother, et il ne me comprend pas, il ne me comprendra jamais, mais cela n’est pas grave c’est mon pote, c’est mon traite d’ami, il ne m’inspire aucune confiance, mais il a du talent et j’aime le talent, j’aime les intelligences qui ne sont pas les miennes Les leçons de psychologie ont marché.
Je me retrouve avec Keaven, il est impossible de parler avec Keaven, car il cogite et viens vous harceler, on le traumatise. Je regrette ma princesse Autrichienne. Je suis bombardé de médicament, ils sont entrain de faire de moi un légume, 1200 mg de Solian, alors qu’il m’en faut, 100 ou 200, c’est un crime, ces deux psychiatres sont des bouchés.
Pour survivre au stress de l’incarcération je pense à mon œuvre imaginaire, je vous raconte cette œuvre parce qu’après une vie en chiraquie j’ai envie de vous raconter des histoires.
Les 60 morts d’Adrian :
J’ai été marqué par deux evenements dans ma vie la mort de mon oncle Jean Francois, mon grand père Jean Delmond s’est laissé mourir de tristesse, la mort de David Michelet, j’ai vu Claude Michelet essayer lui souffler la vie desespèrement. Cela causa à tout le monde beaucoup de tristesse. Quand j’ai eu mon fils Adrian ma peur maladive de la mort se reporta sur Adrian, alors que je travaillais à Rouen, je voulais avoir des nouvelles sans arret de la maison parce que l’idée qu’il puisse lui arriver chose fatale m’était insoutenable. Je veux raconter des histoires vraies de père qui ont perdu leur fils et des histoires burlesques, à la fin c’est le père qui tue son fils par accès de precaution, parce que l’idée de la mort du fils devient trop pénible.
Voyage dans le temps :
Dans le future un jeune physicien brillant est amoureux d’Isabelle Veillet mais celle-ci aime un Enarque, Erik Worme est fou de malheur, il abandonne ses études de physique. Il prend un vague poste administratif. Il s’occupe des voyages interstellaires. Dans cette société du future il y a un tabou, pour voyager à la vitesse de la lumière on envoit les données de l’individu, mais que fait on du corps.On le tue, c’est horrible, on ne veut pas pour des raisons éthiques créer des doubles. Comme Erik Worme devient sadique dans son malheur amoureux il fait construire une prison, il ne tue pas tous les corps, il torture par sadisme les personnages de haut rang. Un jour Isabelle Veillet et Michel Bouder passent dans ses mains, il les incarcère et il les torture, comme il en a marre avec Michel Bouder, il finit par le tuer, mais il continue à torturer Isabelle Veillet.
Puis Isabelle Veillet revient de ses voyages, car il a gardé le corps mais a envoyé le reste dans l’espace. Elle est deçu de la vie elle lui avoue qu’elle l’a regretté. Mais comme lui il l’a torturé, il ne peut croire en son amour, il a tué ainsi l’amour.
Desesperé, il se denonce et est condamné, il reprend ses études de physique et invente la machine à remonter le temps, il remonte au temps de la préhistoire, et il devient grand sorcier et il leur parle d’Abraham pour que l’histoire recommence.
Le clone du Christ :
Avec le Saint Suere, les hommes ont pu cloner le chirst, A qui donner l’éducation de l’enfant. Il y a beaucoup de palabre, finalement on donne l’éducation à Isabelle Veillet, Elle l’élève dans la gloire de son nom. Le clone du Christ sait qu’il aura un destin, mais quand le diable le tente il choisit les royaumes de la terre, il ne veut pas d’éternite, il veut l’imortalité ce coup ci.
Il va defier dans un show televisé le clone de Georges bush, il gagne, ainsi il conquiert le monde.
Il se sert du clonage. Petit à petit les femmes ne font plus l’amour qu’avec le clone du Christ et devienne lesbienne. Les hommes sont utilises comme des esclaves. Les femmes élèvent les hommes avec des tètes de loup, ils deviennent fous, alors ils travaillent comme des fous pour le clone du Christ et les femmes.
Il y a deux façons de devenir immortelle, celle des femmes qui s’autoclone des cellules mais conservent la mème envellope, mais elle perde la mémoire de leur naissance. Le clone du christ n’a pas cet inconvenient, il devient lui gigantesque, et devient le christ à mille bites, que les femmes vient sucer.
Isabelle Veillet fait tuer très rapidement Erik Worme. Mais le petit fils d’Erik Worme a des talents extraordinaire, il peut entendre à 4 kilometres, ainsi les femmes l’éduquent avec des tètes de loup, mais il entend leur conversation et apprend leur language, il ne devient pas fou.
Il se cache car son instinct de survie lui commande. Devenu adulte, il séduit une femme qui décide de lui faire l’amour ce qui est sacrilège, par amour pour lui elle se laisse convaincre de devenir mortel, ils combattent ensemble Isabelle Veillet et le clone du Christ et l’anéantisse, les rêves d’imortalité du clone du christ s’envole.
Seul l’éternité compte, l’immortalite n’est qu’une illusion humaine. la religion chretienne est mortelle mais elle est eternelle, comme toutes les religions.
Le monde est devenu fou pendant son sommeil :
Erik Worme est amoureux d’Isabelle veillet, c’est un amour deçu, alors il se perd dans un chagrin d’amour, il dort ainsi dans son chagrin.
La société a changé, toute sorte de petit détail dans la langue, dans l’administration, il est depassé par ces changements, mais il va s’apercevoir d’une chose ; les extraterrestres ont pris le contrôle de la terre parce que la terre fonctionne en réseau et qu’il est facile de manipuler l’homme.
Il va combattre les extraterrestres.
Mémoire d’un puceau ou des mefaits de la masturbation :
C’est l’histoire de ma vie d’adolescent et de jeune homme. La masturbation n’est pas un mal, mais l’idée que je m’en fais est une vraie maladie.
Chance et malchance du vainqueur de loto :
C’est l’histoire d’un type qui gagne deux fois au loto, cela n’est pas banale, il lui arrive des choses incroyable dans sa vie, dans un sens comme dans l’autre, c’est le destin avec la chance et parfois la malchance, la solution devenir philosophe.
La vie de Paul Morphy :
Paul Morphy est le plus génial praticien des échecs de tous les temps, on raconte sa vie en expliquant sa dépression par un chagrin amoureux, il a rencontré à Paris une aristocrate qu’il a aimé mais il est joueur alors elle l’a repoussé, toute sa vie il sera repoussé parce qu’il est joueur, il abandonnera tout et finira dans la tristeste et les bras de sa mère.
Peut être que ma mission est de faire de ces œuvres imaginaires quelque chose de bien réel.
Je militais pour Ségolène Royal tout seul dans mon petit coin, car je voyais dans la femme l’avenir de l’homme, car je disais que la maison monde était devenu trop petite que le temps de la découverte était fini il était temps de l’entretenir, alors voila pourquoi il est temps que les femmes interviennent.
Mon incarcération a gaché ma campagne présidentielle, Sarkozy, le grand populiste, l’ami des riches, l’ami des Martin Bouygues est elu, Big Brother continue, mais est-ce que Big brother gagnera à la fin.
Ma femme me fait rentrer en Hollande j’échappe au griffe de Daudet et Naudin, les psychiatres hollandais récupèrent un légume, je ne peux mème plus jouer au volley ball, ils diminuent de facon impressionnante la dose de médicament.
Quand j’ai repris contact avec Isabelle, je me suis posé la question de savoir si je lui parlais de Dieu uniquement ou de Dieu et du sexe, j’ai choisi la deuxième option, c’est une bonne chose, car elle m’a diabolisé et les hommes m’ont diabolisé, c’est une bonne chose au regard de l’Histoire, pour mon cerveau cela a été un massacre. Le retard que constitue le mensonge d’Isabelle fera la gloire de Dieu.
Epilogue : Ma mission
« J’ai rencontré Dieu, ce n’est pas pour Isabelle, pourtant Isabelle fait partie du synode protestant, mais elle a menti a la police, elle a dit je n’ai jamais dit « je suis sur le point de succomber » et en mentant elle m’a tué, pas elle directement, mais les psychiatres qui m’ont bombardé de psychotrope, mais alors c’est pourquoi. Je pressens que j’ai une mission « donner la bombe atomique à l’Iran, Pour capturer Ben Laden, c’est ma quête, je cherche à rentrer en contact avec du monde pour aboutir, mais je sais que j’ai peu d’espoir. En fait, sur cette terre je n’aboutirai a rien, c’est pour le ciel que Dieu est venu à moi. »
J’ai rencontrë Dieu, je pensais que c’était pour faire sa gloire avec celle qui m’avait dit « je vais succomber », malheureusement Isabelle Veillet a choisi le diable et le mensonge-le faux témoignage.
Mais néanmoins Dieu ne m’a pas trahit, à la question est ce qu’Isabelle Veillet m’a dis je vais succomber la reponse est oui, est-ce qu’il s’agissait de moi, la reponse est oui, est-ce que Catherine a dechainé Big Brother, la réponse est oui.
Mon destin est peut être de faire de la théologie d’expliquer au monde ce que m’inspire mes rencontres avec Dieu. En plus la société moderne est devenue complexe, la corruption prend des formes complexes, nous avons besoin de nouvelles réponses.
Mais je ne crois pas que mon destin soit uniquement dans le débat théologique, que mon destin soit uniquement de parler de Dieu.
Mon destin réside dans la politique. Apres tout c’est Chirac qui m’a mis sous écoute en faisant cela il m’a tout appris.
Mon destin est de donner la bombe atomique à l’Iran, il est de l’intéret de la France que Teheran est la bombe, car ils resteront une puissance secondaire mème avec la bombe, mais dans le but d’une paix durable dans le monde un rééquilibrage est necessaire entre Israel et l’islamisme.
Je peux développer à l’infini pourquoi il faut donner la bombe à l’Iran, c’est ma vraie mission, ma misison n’est pas de faire du sexe avec Isabelle, cela s’aurait été mon plaisir.
Je pense que Mitterand a créé un PS a son image, hyper corrompu, la corruption de gauche n’a d’egal que la corruption de droite pour casser le cercle vicieux, il faut casser le PS et créer un nouveau PS avec Ségolène Royal, il faut qu’elle est ce courage politique.
Je pense que notre constitution est mauvaise, la Vieme devient une présidence a l’americaine, c’est pitoyable pour la France. Je propose un mixte de IV et de Vieme republique. Je propose de se servir du modèle hollandais. Le problème du système hollandais c’est de trouver une autorité morale pouvant endosser le rôle d’arbitre qui est fondamental dans la stabilité néerlandaise.
Ce rôle d’arbitre cela doit être le président de la République, alors pour qu’il ne devienne pas un pantin comme dans la IV il faut lui donner des pouvoirs, trois ministères directement rattachés à lui, la justice, l’armée et la diplomatie. Ensuite un premier ministre issu d’un parlement sous l’arbitrage du président. Plus de proportionnel, plus de démocratie, un président élu pour huit ans, un parlement élu pour 4 ans. Voilà le sens constitutionnel dans lequel il faut travailler, la France est dans le mauvais sens de la marche. Sarkozy a toujours voulu devenir premier ministre, cela n’est pas un président, c’est un super premier ministre.
La réforme de la France passe par la reforme de ses élites.
Premièrement laisser à l’extreme gauche un super ministre de la lutte contre la corruption.
Deuxièmement faire rentrer des non professionnels en Politique, l’ENA a été un massacre pour la France.
Troisièment inserrer, les grandes ecoles dans l’universite et multiplier les effectifs par deux en dématérialisant l’ecole.
Faire de la démocratie participative un idéal économique politique et culturel, donnez un sens pas uniquement politique a la démocratie participatives. Les forces vives de la nation sont etouffées, des hommes de génie, alias moi, sont sous le couvercle de Big Brother.
Enfin, il faut oser faire la révolution, les démocraties se sclérosent la prochaine crise économique nous fera implosser, la seule solution c’est la révolution. Il faut faire la révolution de l’Amour et du bonheur, alors paraitra évident l’intérêt collectif. Sans amour pas de croissance durable, notre société occidentale se suicide.
Et puis, j’ai été inspiré par Dieu pour faire la paix entre protestant et catholique, pour faire la paix entre l’Islam et le monde occidental. J’ai trouvé la solution, j’ai écrit à Sarkozie, je me suis rapproché de l’ambassadeur du pape, j’ai trouvé la solution pour faire la paix avec l’Iran, le secret de ma vie en chiraquie m’a inspiré. Je voulais que le pape aille à Téhéran accompagné de Willem Alexandre d’Orange, pour qu’un prince protestant participe à cette paix. La solution la voilà, il faut qu’Obama donne dix bombes atomiques à l’Iran, mais ces bombes seront de fausses bombes ou plutôt, cela sera un secret d’état, seul Obama sera si ces bombes atomiques sont vrais ou fausses. L’Iran recevra une onzième bombe et la fera péter devant les caméras de télévision. Tout le monde se demandera est-ce qu’Obama a donné la bombe oui ou non. Ainsi, on donnera la dissuasion à l’Iran. Cela sera un électrochoque dans la diplomatie dans la région, cela forcera l’Iran à faire la paix avec Israël. Donner des fausses bombes à l’Iran et en faire un secret d’état, c’est la solution que je cherchais depuis cinq ans. La Chine est la menace, l’Occident doit faire la paix avec le monde musulman, c’est une sorte de nouveau plan Marshall pour l’occident. J’ai entrevu de faire la paix avec le pape et un prince calviniste entre l’occident et le monde musulman. J’ai entrevu de créer une congrégation des religions chrétiennes, avec un droit de vote de 3% à l’élection du pape, en contre partie cette congrégation sera placé sous l’autorité du pape. Ainsi, viendra un jour la venue d’une papesse protestante, la boucle sera bouclée. J’ai entrevu de placer à Rome une congrégation des religions d’Abraham : l’oecuénisme est ma véritable religion. C’était la véritable raison de mon retour vers Isabelle pour faire régner cette gloire de Dieu
Epilogue 2
J’ai écrit une vie en chiraquie sur l’effet de la bipolarité, je continuais à faire ma révolution contre la société, je continuais à faire mon harcèlement sur Isabelle, l’épilogue 1 n’est pas la conclusion cela n’est pas mon destin. Un psychiatre hollandais me dit « deviens qui tu es. » C’est comme en amour, pour aimer il faut se souvenir de la première rencontre, après l’on gache tout.
Qui est Erik Worme, c’est un simple ingénieur qui rêve de faire carrière à l’international, de chiffrer des projets à l’international, c’est cela mon jardin secret, je dois cultiver mon jardin.
L’ Evèque d’ Autun me dit, “il faut enterrer sa vie avec le Christ, que le Christ est le seul messager.”
Nous sommes Christ, nous sommes donc les messagers, mais la sagesse est de laisser faire l’esprit Saint.
J’ai fait ma revolution, c’est maintenant à l’ Esprit Saint d’agir.
Je n’ai pas beaucoup de force, j’écrirai un petit peu.
En fait qui sont mes héros: De Gaulle qui s’ est retiré après le referendum de 69, alors moi aussi je me retire sur ma terre de Hollande, un autre héros, c’est un général romain qui sauva Rome et ne pris pas le pouvoir qui se tendait à lui et revint dans sa ferme, je reviens sur mes terres, je prends ma retraite. Une vie en chiraquie passera à la postériée, je ne serais pas reconnu de mes contemporains, alors soyons sage.
Et puis je pardonne
Je pardonne à Isabelle de me faire passer pour fou quand je lui parle de son “je vais succomber”, car je la plains.
Je pardonne à la bande des quatre car je ne les ai pas beaucoup considéré, parce qu’ ils n’ont jamais existé pour moi.
Je pardonne au Michelet parce qu’ils ont renié leur origine et qu’ ils sont à plaindre
Je pardonne à Chirac et à Mitterand parce qu’ ils n’ont pas péchés contre moi, mais qu’ils ont péchés contre la France.
Chirac et Mitterand ont obtenu ce qu’il voulait obternir la première place, mais l’histoire les retiendront pour la corruption, et ils seront classés au mème titre que les rois fainéants.
Je pardonne au PS et au RPR, parce qu’ils ont realisé la prediction de De Gaulle, ils ont fossoyé la France dans l’immobilisme, par démagogie.
Je pardonne au groupe comme Bouygues, parce qu’ils ne sont pas responsables, ils ne font que sucer la France, le système est créé que pour eux, et le système fonctionne sur un individualisme amoral. Il y aura un retour vers la vertu, car seule la vertu des élites permettront un retour vers une croissance forte de notre civilisation, une croissance saine.
Je pardonne à la societe parce qu’elle n’est pas responsable de ma souffrance.
Devenir sage, voilà la solution pour quitter la folie, c’est facile, mais c’ est un effort de chaque instant.
L’Homme n’est pas au centre, l’Homme tourne autour de quelque chose, peut être peut on l’appeller Dieu ou lui donner un autre nom. Il faut donner la bonne distance entre ce centre et l’Homme, je me suis rapproché trop prêt de Dieu et je suis tombé. Les Hommes ont peur de ce message qui n’est pas humain, laissons faire le temps, le temps n’est pas venu de faire la Vérité, la Vérité d’ une vie en chiraquie éclatera bien après ma mort, alors pour l’heure parce qu’ il faut vivre soyons sage.
La sagesse, c’est de sentir en soi, L’Amour infini de Dieu et pour ce que le mot fait peur Dieu, il faut savoir reconnaitre que le vivant est fait d’amour et d’altruisme, c’est un principe génétique, nous sommes à l’image du microscopique, le macroscopique est fait du microscopique et le microscopique est Amour altruiste, Dieu vous aime, priez le comme, je l’ai fait et vous gagnerez.